Que l’on ne rende pas hommage à Dominique Venner « car il est interdit » cela peut nous attrister certes, mais tant d’hommages restent interdits et tant d’autres sont célébrés qui devraient être « jetés à la poubelle de l’Histoire ».
Le préfet de police Laurent Nuñez a justifié son arrêté. « Considérant que cette réunion ne constitue pas “un simple événement d’hommage” mais plutôt “une célébration à poursuivre les actions contre l’accélération du grand remplacement agro-maghrébin”, que sur les réseaux sociaux, il appelle à la défense de la civilisation et à refuser le « Grand Remplacement »
Mais, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, n’est-il pas l’un des premiers à se méfier de ce qui pourrait, un jour prochain, être ce « Grand remplacement ». C’est ce qui ressort de ces quelques déclarations préparatoires à une « loi contre l’immigration clandestine ».
Et Manuel Valls ne vient-il pas de faire une déclaration « étonnante » sur le quotidien « Le Figaro », pour « stopper » cette immigration clandestine « qui conduirait probablement au Grand remplacement ? ». Lui qui fut ministre de l’Intérieur puis Premier ministre et n’a jamais rien entrepris pour justement « stopper » cet envahissement.
Et « Les Républicains » ne viennent-ils pas de publier les mesures qu’ils estiment « absolument nécessaires » pour contrôler l’immigration clandestine, et même la légale, et qui, si elles n’étaient pas adoptées, permettraient inévitablement ce « Grand remplacement » ? Mesures qui furent, il y a peu de temps encore, proposées par le RN de Marine Le Pen (qui ferait bien de s’en souvenir !) et qui s’apparentent totalement à celles de « Reconquête » qui, je l’espère, ne tardera pas à rejoindre très prochainement les LR afin de redonner à la droite la place qui est la sienne.
« Ancien parachutiste, militant dans les années 50 au mouvement néofasciste Jeune Nation puis membre de l’OAS, Dominique Venner, spécialiste des armes à feu, s’est donné la mort avec un pistolet à un coup de fabrication belge le 21 mai 2013 à 78 ans devant l’autel de la cathédrale Notre-Dame.
Par ailleurs, la préfecture de police rappelle la condamnation de Dominique Venner à 18 mois de prison pour son appartenance à l’Organisation armée secrète (OAS), groupe terroriste clandestin opposé à l’indépendance de l’Algérie ».
C’est cette dernière déclaration qui m’a mis les « boules » : « OAS – groupe terroriste clandestin opposé à l’indépendance de l’Algérie » !
De 1954 à mars 1962 l’armée française a fait la guerre au FLN et à l’ALN « opposée à l’indépendance de l’Algérie ». L’Armée française était-elle « un groupe terroriste » ?
Lors de la dernière guerre 39/45, le CNR (Conseil National de la Résistance) dirigé par Jean Moulin puis, après qu’il eut été dénoncé aux nazis, par Georges Bidault et tous les mouvements de résistance contre l’occupant allemand et le gouvernement de la France de l’époque « étaient-ils des groupes terroristes » ?
Profitant de cette interdiction, la gauche, l’extrême gauche et la presque totalité des médias, permettent à cette petite musique de se faire entendre : si Dominique Venner, cet homme sans conteste très à droite, fut membre de l’OAS « c’est que cette organisation était fasciste ». L’OAS, sous la direction du général Salan (très loin d’appartenir à la droite et encore moins extrême) a rassemblé une majorité de la population européenne de l’Algérie et, forcément, de l’extrême droite à l’extrême gauche et notamment, dans les commandos opérationnels, un grand nombre de communistes et de socialistes.
L’OAS a poursuivi la guerre menée par la France « contre l’indépendance de l’Algérie ». Ce n’est pas l’OAS qui a trahi la France mais le gouvernement de l’époque et son président De Gaulle.
Manuel Gomez
L’OAS a sauvé l’honneur de la France, comme la Résistance sous Pétain, comme tout mouvement qui s’oppose aux traitres qui dirigent un pays. Tout mouvement qui se donnera pour mission de chasser les traitres qui gouvernent actuellement la France, s’inscrira dans cette glorieuse tradition de résistance.
OAS signifiait république, “aux armes citoyens” ironisait Roro de Babeloued.Pourquoi ne pas interdire aussi la barbouzerie gaulliste et la fellouzerie omniprésente et omnipotente dans l’Alma mater?
Ne vous en déplaise ,le grand remplacement à commencer dans les années 60 et vous auriez voulu “rapatrier” tous les Algero français,, les nord’af ??
Quand l’état a tranché, poursuivre le conflit, sanglant au demeurant, est évidemment un délit gravissime, qui met en cause l’autorité politique, que l’on soit d’accord ou pas avec elle. L’OAS a agi dans l’illégalité. Et on peut penser que ce combat d’arrière garde ne tenait pas compte du fait que l'”Algérie française” était un coût exorbitant face au défi de la modernisation industrielle. Les Pieds noirs n’ont pas pesé lourd dans la mise en œuvre de cette stratégie nécessaire, et cela est regrettable. Mais quel aurait été leur avenir dans un monde musulman en ébullition?
Je me souviens bien d’un article, il me semble paru sur ce site, la majorité des pieds noirs pour que l’Algerie reste Française et qui ont adhéré et fait parti de l’OAS étaient en majorité communistes ou socialistes et certainement pas d’extreme droite comme les gauchistes bien pensant voudraient nous le faire croire.
Bab el Oued (la porte de la rivière) était un fief communiste jusqu’en 1960 avant de devenir un bastion de l’OAS.
Pratiquement tous les Pieds Noirs, qui avaient été volontaires pour rejoindre l’armée d’Afrique en 42, combattre Rommel puis faire la campagne d’Italie, soutenaient l’OAS, militairement, financièrement, ou par le renseignement, en infiltrant les Pathos qui s’étaient mis à la disposition des fellaghas. La trahison était déjà dans l’ADN de beaucoup de métropolitains.
En ce temps-là, le député maire d’Ager ville à majorité européenne s’appelait Omar Bouharaoua, et comme il était pour l’Algérie française, il fut assassiné par les fellouzes.
Non, monsieur Gomez, non et toujours non ! Le Général de Gaulle en charge des intérêts de la France devait mettre fin à cette ruineuse colonisation qui n’avait plus aucun sens après la seconde guerre mondiale !
L’OAS n’a fait qu’ajouter de l’huile sur le feu… en incitant toujours plus d’algeriens à rejoindre le FLN. De toute façon, les deux communautés étaient irréconciliables…
Je ne me permettrai jamais de mettre en doute le patriotisme et l’attachement des Pieds-noirs à cette terre d’Algérie qu’ils ont tant su mettre en valeur, mais la violence de l’OAS était un combat inutile et perdu d’avance.
digne d un pied rouge! les exactiond du fln commencerent des 54 donc bien avant la creation de l oas, cest 2GOL QUI PAR SA POLITIQUE DE GRIBOUILLE PUIS DE LACHE ABANDON AMIS DE L HUILE SUR LE FEU, continuez mr GOMEZ a nous informer icisur la forfaiture gaullistequi nous a amene ou nous en sommes
Non, Dissident, je ne suis pas un pied rouge… et les exactions du FLN étaient inévitables après notre défaite en Indochine…
Le drame de la fin de l’Algérie française est révoltante, j’en convient ! Dans bien des cas le gouvernement Debré a mal agi… c’est sur ce site d’ailleurs, par un article de monsieur Gomez je crois, que j’ai appris que des familles oranaises avaient pu être sauvées par Franco qui avait envoyé deux ferries pour leur éviter le pire…
“à cette ruineuse colonisation”, le gaz du Sahara??? Qu’est-ce qu’il ne faut pas lire!
Les sommes englouties depuis 1830 en Algérie auraient été bien utiles pour le développement et la modernisation de nos campagnes…
En 1940, les allemands qui étaient “logés” dans les fermes françaises ont cru débarquer 50 ans en arrière !
je ne lis plus et je ne commente plus les articles de Manuel Gomez LE CENSEUR … Comme ça il pourra censurer le vide
👍👍👍👍