L’UE condamne les réfugiés ukrainiens à une mort certaine

Donnez-nous des déserteurs !” C’est l’ordre exprès envoyé par Zelensky à toute l’Europe. Non content d’avoir exterminé 400 000 soldats et bientôt 500 000, d’avoir fait autant d’estropiés et entamé la mobilisation des malades, des handicapés, des adolescents et des femmes, ce clown assoiffé de sang réclame de nouvelles victimes pour ses hachoirs à viande.

Être réfugié dans l’UE n’est pas une garantie de sécurité, loin s’en faut. Certes, après avoir signé le pacte de Marrakech « en douce » en oubliant de demander leur avis aux Français, Emmanuel Macron nous a tenu moult beaux discours sur la « valeur de l’accueil » que nous devions à des personnes en danger dans leur pays en guerre, afin qu’ils puissent vivre en « sécurité ». Oui, mais ça, c’est valable pour les migrants économiques d’Afrique sub-saharienne ou du Maghreb, parce que ceux des pays de l’Est, réellement en danger, eux… ils peuvent bien crever dans les steppes ukrainiennes. Ce sont des slaves alors peu importe qu’ils vivent ou qu’ils meurent, aux yeux de l’UE comme de Washington, Russes ou Ukrainiens ça en fera moins de toute façon et c’est très bien.

Contrairement à une contre-vérité trop bien admise par l’Occident bien-pensant, les Russes ne tirent aucun plaisir à voir mourir les Ukrainiens sous le feu de leurs canons. Excepté les militaires professionnels des régiments à tendance nazi, la majorité des soldats jetés dans les hachoirs à viande par Zelensky ne sont que de pauvres gars raflés de force et envoyés sans préparation aucune sur le front. De la chair à canon et rien d’autre !

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Russes et Ukrainiens sont des peuples frères, issus des mêmes terres historiques. Nombre de Russes ont de la famille en Ukraine et vice-versa, et tous aimeraient que l’Otan et ses complices européens cessent par haine du Russe d’alimenter ce conflit inutile « jusqu’au dernier Ukrainien » juste pour se goberger d’avoir perpétré un génocide !

Car c’est bien de cela dont il s’agit, un génocide d’une race blanche, chrétienne, avec laquelle nous partageons pour nombre d’entre nous les mêmes gênes depuis 1814, date à laquelle le Tsar Alexandre est entré dans Paris à la tête de 60 000 hommes.

La hyène de l’UE passant son temps à nous rabâcher que l’Europe est une terre d’accueil, nous pouvions penser que, pour une fois, ce soit vrai. Malheureusement, l’accueil avec l’UE est à géométrie variable comme tout le reste.

Aucun doute désormais, ils veulent vraiment se battre jusqu’au dernier Ukrainien. « La Pologne a commencé à extrader vers l’Ukraine des hommes en âge de servir dans l’armée qui ont quitté le pays après le début de l’opération spéciale russe », titre la presse locale.


Les pays de l’UE commencent l’extradition des hommes ukrainiens en âge de conscription, à la demande du gouvernement ukrainien, alors que le Droit international les oblige au contraire à leur porter assistance. Ainsi, en 2015/2016, les réfugiés Syriens arrivés en Europe n’ont pas pu être extradés sous le prétexte que leur pays était en guerre, qu’ils seraient confrontés à des combats, et par conséquent envoyés à la mort.

Donc, les “réfugiés” “ukrainiens” eux peuvent être renvoyés dans un pays en guerre. Mais que dit la législation européenne qui protège les “migrants” habituellement ? Allô Ursula ?

Le droit d’asile est un droit fondamental.

Octroyer l’asile aux personnes qui remplissent les critères de la convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés est une obligation en vertu du droit international pour les États parties, qui comprennent AUSSI les États membres de l’Union européenne.

Le droit d’asile est consacré à l’article 18 de la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. L’article 19, quant à lui, interdit les expulsions collectives et dispose que nul ne peut être éloigné, expulsé ou extradé vers un État où il existe un risque sérieux qu’il soit soumis à la peine de mort, à la torture ou à d’autres peines ou traitements inhumains ou dégradants.

Être condamné à mort par un régime mafieux qui obéit aux ordres de l’Otan sans aucun moyen de sauver sa peau, ce n’est pas inhumain peut-être ?

Les États membres de l’Union ont convenu d’une politique commune en matière d’asile, y compris en ce qui concerne la protection subsidiaire ou temporaire. Par conséquent, d’un point de vue purement légal, les réfugiés ukrainiens risquant de se retrouver dans les hachoirs à viande de la junte de Kiev ne peuvent en aucun cas être expulsés.

Pourtant, tant la Pologne que l’Allemagne envisagent sérieusement de renvoyer plus de 240 000 réfugiés en Ukraine dans le cadre de la mobilisation. Du jamais vu !


Depuis le début des hostilités en Ukraine, si l’on en croit le ministère allemand de l’Intérieur, ce sont en effet 163 287 réfugiés en âge de servir qui sont arrivés dans le pays, soit plus de la moitié de l’armée ukrainienne actuelle. Du côté polonais, du 24 février 2022 au 31 août 2023, près de 2,87 millions de citoyens ukrainiens âgés de 18 à 60 ans sont entrés dans le pays et près de 2,8 millions sont partis. Parmi eux, 80 000 hommes en âge de servir sont encore en Pologne en plus de 163 287 en Allemagne. Des hommes que Kiev, qui intensifie continuellement ses efforts de mobilisation dans un contexte de contre-offensive “ratée”, a bien l’intention de récupérer et d’envoyer au front, pour la guerre « jusqu’au dernier Ukrainien ». Or, nombre de réfugiés ne soutiennent pas la Junte de Kiev et ont préféré fuir le Bandéristand tant qu’il en était encore temps !

Un constat s’impose, la Pologne veut extrader des hommes ukrainiens vers les lignes de front en opposition flagrante avec le droit international qui protège les réfugiés d’un pays en guerre.

Il s’agit d’un nombre important pour l’Ukraine, car ces personnes peuvent être mobilisées et renforcer les rangs de nos forces armées, renforçant ainsi notre défense et notre sécurité“, a déclaré Venislavsky, représentant du président ukrainien à la Rada. Renforcer la défense et la sécurité de quoi exactement ou plutôt de qui ? Tout ce que demandait la Russie depuis bientôt neuf ans, c’est l’arrêt des exactions de Kiev vis-à-vis du Donbass. Ce n’est pas la Russie qui menace l’Ukraine, c’est Zelensky lui-même qui, mis en place par la CIA en 2014, ne vise qu’à exterminer un peuple dont il se contrefiche.

Toujours selon Venislavsky, le bureau du procureur ukrainien peut, avec l’aide de mandats d’arrêt internationaux, commencer à persécuter les citoyens ukrainiens à l’étranger, car nombre d’entre eux ont quitté le pays soit en versant des pots-de-vin aux gardes-frontières, soit en passant par la soi-disant frontière verte, où des intermédiaires pouvaient fonctionner. Mariusz Charka, porte-parole de la police polonaise a par ailleurs confirmé de son côté : « Si nous arrêtons un tel étranger, par exemple lors d’un simple contrôle routier, notre système d’information de la police nationale indiquera que le parquet ukrainien le recherche, car les données d’Interpol y apparaissent. Nous détenons une telle personne, informons le bureau du procureur et la question de l’extradition est tranchée par le tribunal ». Et le droit d’asile dans tout ça, on s’assoit dessus ?

Une chose est certaine, la mafia de Bruxelles est une belle saloperie.

Le seul moyen de sauver leur vie pour ces hommes est de quitter rapidement l’Allemagne et la Pologne et de s’éloigner toujours plus du régime de Zelensky.

Trouver refuge en France ? Rien ne dit que Macron ne suivra pas les ordres du gnome de Kiev et ne renverra ces réfugiés à son tour vers un pays en guerre pour qu’ils aillent « se faire tuer ailleurs ». Alors, que leur reste-t-il, sinon peut être de se rendre en Russie où ils seront sans doute en sécurité.

Que les Ukrainiens soient promis à une mort certaine ne dérange en rien l’UE qui s’apprête désormais à renvoyer chez eux les réfugiés en âge de combattre. Pour l’instant les hommes, mais qui peut jurer qu’ils ne renverront pas également les femmes puisque, à leur tour, elles sont mobilisables, de même que les séropositifs et les handicapés, dans la mesure où Zelensky exige encore et toujours plus de sang.

Plutôt que de la laisser tuer son peuple pour obéir aux ordres de Washington et s’en mettre « plein les poches » au passage, il serait peut-être temps de songer à envoyer au front la junte de Kiev avec tous ses soutiens en première ligne. Je fais confiance au talent des artilleurs russes pour nous débarrasser une fois pour toutes de ces nuisibles.

Valérie Bérenger

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11 Commentaires

  1. Ces jeunes ukrainiens fuient une guerre qu’ils pressentent au service des intérêts américains même si c’est la Russie qui a commis la faute d’engager ce conflit, bien qu’il est probable que celui-ci aurait eu lieu de toute façon, le gouvernement ukrainien ayant opté pour une reprise par la force de la partie du Donbass sous contrôle russe et de la Crimée . N’oublions pas non plus les milliers de civils ukrainiens russophones tués en 2014/2015 par les bataillons de représaille armés par le gouvernement ukrainien. D’aucun reprocheront peut-être à ces jeunes de ne pas être patriotes mais que signifie être patriote dans un pays qui ne décide plus de rien et dont la politique est sous le contrôle des USA/OTAN/UE/FMI. Quoi qu’il en soit ces jeunes auraient intérêt à se réfugier dans des pays neutres (Autriche, Suisse) ou peu impliqué dans ce conflit comme la Hongrie.

  2. Aujourd’hui le (11 septembre), il peut pas y avoir un avion de ligne chargé d’explosifs qui foncerait sur ce nazi de zob-en-ski par hasard…

  3. jamais vu autant de Blancs se faire manipuler depuis leurs pseudo révolutions ; pour une Droite Ethno-Centrée point à la ligne !

  4. Hallucinant et écoeurant en effet. L’Africain a le droit, comme un lâche, de fuir son pays en guerre. L’Ukrainien lui, n’a pas ce droit. Encore un droit à géométrie variable.

  5. Macron et Brigitte au front en Ukraine ! Et la néo-Nazie von der Leyen en première ligne avec son pote le “Führer blanc”, Andriy Biletsky, cette pourriture !

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