Le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a récemment dénoncé, avec juste raison, la complaisance de la gauche face à l’impérialisme de l’islam dans les universités françaises (https://www.fdesouche.com/2020/10/22/jean-michel-blanquer-denonce-lislamo-gauchisme-dans-les-universites/). Cette complicité est loin d’être récente et de ne concerner que l’enseignement supérieur. Les lycées et collèges en sont également le théâtre, et ce depuis de nombreuses années. Samuel Paty enseignait en collège, non à l’Université.
On se souvient des mésaventures de Louis Chagnon lors de l’année scolaire 2003-2004 (https://fr.metapedia.org/wiki/Louis_Chagnon). Lors d’un cours de cinquième, ce professeur d’histoire-géographie d’un collège de Courbevoie avait dépeint à ses élèves, en termes très objectifs, la figure crapuleuse du prophète de l’islam. À la suite d’une cabale montée par un collectif de parents d’élèves et d’enseignants de gauche, le recteur de l’académie de Versailles lui avait alors infligé un blâme. Parallèlement, Louis Chagnon avait dû faire face à l’habituelle meute « antiraciste », emmenée entre autres par les incontournables MRAP et LDH. L’Inspection académique n’avait pas hésité à appuyer son accusation sur un faux, l’une des phrases dictées par Louis Chagnon à ses élèves : « Mahomet fait exécuter 600 à 900 Juifs en un jour » devenant, à la suite d’une grossière manipulation : « Mahomet fait exécuter 600 à 900 Juifs par jour ».
Qu’on me permette un petit témoignage personnel sur ce même sujet. Dans le court billet que j’ai récemment consacré sur Riposte Laïque au prochain départ en retraite de Jean-Paul Brighelli (https://ripostelaique.com/brighelli-bientot-en-retraite-requiem-jaculatoire-pour-un-patriote.html), j’ai déjà évoqué cette histoire, que je vais vous narrer plus en détail. J’y reviens à l’occasion de la décapitation rituelle de Samuel Paty, le 19 octobre dernier. Non que les situations soient comparables, loin de là (j’ai pour ma part toujours la tête sur les épaules), mais ce qu’on entend dire çà et là sur le lâchage éhonté de ce collègue par sa hiérarchie (https://www.fdesouche.com/2020/10/23/gilles-raveaud-professeur-on-sait-avec-certitude-que-samuelpaty-sest-fait-engueuler-par-leducation-nationale/) m’a rappelé ma modeste mésaventure.
En janvier 2010, j’ai été dénoncé au recteur de l’académie de Versailles par huit collègues de mon établissement, le lycée Hoche bien connu. Ces « islamo-gauchistes » avant la lettre (l’expression est assez récente) se nommaient Michalak, Taleb, Simsolo, Loiseau, Hug, Pavageau, etc. J’ai oublié le patronyme des deux derniers corbeaux : j’espère qu’ils ne m’en tiendront pas rigueur. En tout cas, on le constatera, pas le moindre ou la moindre Abderrahmane ou Bakhayokho (je cite au hasard, bien entendu).
Motif de ce caftage en règle : sans penser le moins du monde à mal, j’avais transféré sur la messagerie personnelle de l’ensemble des collègues de ma discipline (les mathématiques) un document pdf (voir ci-dessous) donnant quelques exemples hilarants de problèmes que les professeurs qui enseignent dans nos banlieues colorées pouvaient se proposer de poser à leurs élèves. J’avoue que lorsque je l’avais reçu sur ma messagerie, ce pdf m’avait fait rigoler comme un bossu. J’ai eu la naïveté de croire qu’il en serait de même de mes chères z’et chers collègues (à l’époque, l’écriture inclusive n’était pas encore en usage dans la gauchosphère…). Je n’avais oublié qu’un simple détail, pourtant bien connu : on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde.
Dans les heures qui ont suivi l’envoi de ce pdf, je recevais de plusieurs de mes destinataires une bordée de mails à haute teneur stigmatisante : « Racisme », « Xénophobie », « Prose nauséabonde », « Islamophobie », « Sexisme », « Extrême droite », « France moisie », « Pétainisme », et j’en passe. Ces mails se recopiaient les uns les autres, donnant l’impression d’un véritable tsunami. Le vocabulaire était stéréotypé et la syntaxe minimaliste (on ne peut s’attendre à du Bossuet de la part de modestes profs de math, même enseignants au prestigieux lycée Hoche…). En revanche, les bouffées de haine étaient fort palpables. En fin de soirée, alors que l’ire de mes gauchiottes semblait s’essouffler, j’ai envoyé une réponse collective assez banale, affirmant qu’il fallait évidemment prendre tout cela avec humour et ne pas voir le mal partout…
Le pdf envoyé par mes soins n’était naturellement destiné qu’à mes collègues de mathématiques du lycée. Aucun élève ni parent d’élève ni membre de l’administration ne figurait parmi les destinataires. Je précise également que j’ai utilisé la messagerie privée de mes distingués collègues, et non leur messagerie professionnelle.
J’ai cru naïvement que les choses allaient en rester là. Erreur : quelques jours plus tard, j’étais convoqué par le proviseur du lycée, un certain Toussaint de Quièvrecourt, qui me mit immédiatement sous les yeux une pétition de collègues à mon encontre. Au bas de cette pétition, huit noms sur les quinze que comptait à l’époque l’équipe de mathématiques du lycée. Ce qui fait que sept membres de cette équipe, ou bien n’avaient pas souhaité se joindre à la curée, ou bien n’avaient pas eu le temps d’être contactés pour signature : il s’agissait sans doute pour la meute de frapper vite et fort. « M. l’Inspecteur pédagogique « régional » (sic !) est au courant de l’affaire », me précisa le proviseur. Évidemment : cet inspecteur (« IPR », selon l’un des innombrables sigles en vogue dans l’Éduc’Nat’) n’était autre que l’époux de la susnommée Michalak, signataire de la pétition et sans doute meneuse en chef du cafardage. « J’ai reçu ce matin un coup de fil de M. Michalak », continua le pauvre Toussaint d’une voix blanche. « M. Michalak m’a demandé : “Mais que se passe-t-il au lycée Hoche ?!” J’ai donc transmis cette pétition à M. le Recteur ». Ce « donc » était éloquent : c’est clairement sur l’injonction du susdit « IPR » (avec lequel j’avais eu quelques mailles à partir une paire d’années auparavant) que le malheureux proviseur avait dû se résigner à alerter sa hiérarchie, à savoir le recteur en personne.
Bref, une innocente plaisanterie sur l’enseignement des mathématiques en banlieues, plaisanterie faite sur mails privés et à destination de quinze enseignants (aucun élève ni parent d’élève ni membre de l’administration parmi les destinataires, je le répète), était remontée jusqu’au recteur de l’académie de Versailles ! J’ai immédiatement pensé au livre de Milan Kundera, La plaisanterie (https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Plaisanterie). Là aussi, comparaison n’est pas raison : j’ai heureusement échappé à l’enrôlement forcé dans l’armée, avec les déviants politiques du régime… Je n’ai eu droit, comme on va le voir, qu’à des emmerdements administratifs à répétition, et des manifestations continuelles de mesquinerie à vous faire désespérer du genre humain. C’est certes ennuyeux, mais c’est quand même beaucoup moins grave.
Quelques jours après l’entrevue provisorale, et avec une célérité qui m’a sidéré (étais-je donc un « cas » aussi important aux yeux de ces gens-là ?), je recevais par voie hiérarchique un courrier officiel de l’académie, m’informant que M. le recteur me sanctionnait… d’un blâme !
Un avocat de nos milieux, abasourdi par les circonstances de ce blâme, me propose un recours amiable auprès du recteur, m’assurant que cela suffira à classer le problème. Erreur : après plusieurs mois de silence, le recteur me fait savoir qu’il maintient son blâme à mon encontre. L’avocat me propose alors de passer au mode contentieux. L’homme de l’art avait en effet remarqué que les attendus du blâme s’appuyaient sur un document – un avertissement qui m’avait été adressé par le précédent recteur de l’académie de Versailles pour des raisons également grand-guignolesques, mais passons… – document qui n’aurait pas dû se trouver dans mon dossier administratif puisqu’un simple avertissement est automatiquement « effacé » au bout d’un certain nombre d’années. Oui mais voilà : le tribunal administratif de Versailles a estimé que, même si ce document n’aurait pas dû figurer dans les attendus du blâme, il témoignait d’un antécédent fâcheux à mon encontre, antécédent qui justifiait pleinement le blâme du recteur. En résumé : « Même si le recteur a juridiquement tort, il a politiquement raison, et cela suffit pour maintenir la sanction ». Les plus anciens d’entre nous se souviendront de la déclaration du Montagnard Laigniel au président de l’Assemblée nationale, Jean Foyer, en octobre 1981 : « Vous avez juridiquement tort parce que vous êtes politiquement minoritaire » :
https://www.histoire-en-citations.fr/citations/laignel-vous-avez-juridiquement-tort-parce-que-vous
J’ai bien entendu jeté l’éponge. De toute façon, les décisions du tribunal administratif sont sans appel. Je ne vous parle pas des nombreux allers-retours Paris-Lyon (l’avocat avait ses bureaux sur Lyon), ni des milliers d’euros de frais d’avocat…
Dernière chose et je vous laisse tranquille : durant l’année scolaire 2011-2012, un instit’ de l’école Marcel Cachin (sic…) de Morsang-sur-Orge dans l’Essonne, lit à ses élèves de CM1 des scènes de viol…
Oui, vous avez bien lu : des scènes de viol lues en classe par un instituteur à des enfants de 9 ans ! Émoi, tout à fait légitime, des parents… Que croyez-vous qu’il arriva à ce brave instit’ ? Un renvoi ? Une suspension ? Une interdiction d’exercer une profession le mettant en contact avec des enfants ? Un suivi psychothérapeutique ? Que nenni : un simple blâme du recteur de l’académie de Versailles, soit la même « punition » que m’avait infligée ce même recteur pour une « faute » autrement vénielle. Oui mais voilà : l’instit’ en question était adjoint au maire socialiste de Morsang, et lui-même encarté au PS. Alors… Et puis, comme l’a affirmé un de ses collègues : avec ses descriptions crues et ses détails atroces, ces lectures étaient censées constituer un « outil pédagogique » dans le cadre d’un « travail sur le respect de l’autre et de la dignité humaine ». Bref, ce brave homme aurait pu pousser la pédagogie jusqu’à violer en classe une de ses élèves pour bien montrer aux petits camarades de la fillette combien le viol est une chose haïssable. Nul doute que le recteur, sans doute du même bord politique, voire de la même loge, aurait su se montrer compréhensif…
Henri Dubost
Les gauchiasses sont de gens à qui il ne faut jamais tourné le dos, il faut s’en méfier comme de l’huile sur le feu ! Ne jamais blaguer avec eux, d’ailleurs ils ne savent pas rire !
très intéressant, mais ce que je conteste, c’est le côté “confidenciel” de la messagerie des prof ; je n’ai été prof qu’un an, vacataire, il y a plus de 10 ans, mais j’ai appris pas mal de tours des lycéens en informatique, les notes modifiées, les moyennes “arrangées”, et les sorties sur des sites internet pirates (le moniteur du prof devait se raccorder sur un quelconque moniteur d’élève, mais une astuce l’évitait, ce que mes chers collègues contestaient vivement), sans compter des anti-sèches cachés !
Traître gaucho-islamo-collabo.
Vécu plusieurs fois.
Témoignage plein d’humour sur une réalité abjecte dont j’ai, de mon côté, quelques exemples savoureux, dont un prof (lorsque j’étais pion dans un collège du XIXe arrondissement), qui picolait son whisky en laissant allègrement sa classe sans surveillance. Mais intouchable car syndiqué. Ou cette autre petite tapette (et je ne suis pas homophobe !), toujours dans le même établissement, qui se permettait de traiter en toute impunité et publiquement une jeune fille de petite pute par ce qu’il haïssait les femmes, quel que soit leur âge, et ne s’en cachait pas. Lui aussi était syndiqué…
On peut compter sur sa hiérarchie pour être soutenu. Cette gauche m’ancre de plus en plus à droite.
Autrement, la blague raciste, ( ou pas, ou pas vraiment) c’était quoi ?
morte de rire !
Le ‘caftage’ des profs, pas étonnant. La upart d’entre eux n’ont pas quitté l’école de toute leur vie. Forcément, ça laisse des traces au niveau des neurones, et ça explique qu’ils se conduisent, empathie oblige, comme les gamins ‘ qu’ils côtoient toute leur vie.
A mon sens, c’est un comportement infra-politique et carrément régressif.
Franchement, c’est parfaitement raciste (ne jouons par les tartuffes) … et aussi très drôle ! Ici ça va d’ailleurs de pair. Voilà pourquoi ils n’ont pas apprécié ! Vous les avez confrontés à une dissonance cognitive : ils ont dû réprimer leur rire pour s’en indigner. Vous auriez dit que ça venait d’un ami du Maghreb leur réaction aurait été toute autre.
Il n’y a rien de pire que le rire pour corroder et finalement détruire les idéologies religieuses ou laïques. Rappelez vous le Nom de la rose et le rire d’Aristote. Le rire est le pire des blasphèmes comme nous le rappellent les bigots de tous bords, particulièrement en ce moment les islamiques fanatisés qui ont décidé de rivaliser de saloperie pour faire la course en tête. Vous avez eu du bol de vous en sortir vivant. :-)))
Nous sommes hélas dans un pays de type totalitaire qui n’admet certaines lectures ou plaisanteries que sous le manteau et entre gens de même sensibilité, comme ce fut le cas dans les pays communistes.
Moi aussi j’ai fait suivre, je trouve ces blagues plutôt drôles et somme toute assez réalistes.
C’est du niveau Bac+2 option “territoires conquis”
aucun media ni patriote ne parle de L’OCI , de L’ICESCO ni de la genèse qui est le protocoles de BARCELONES en 1973 accords sur le pétrole arabes . Ces 3 principaux vecteurs sont la cause de la transformation ,de la disparition voulu et programmée de notre société occidentale. Jamais le moindre quidam pour parler de : LA STRATEGIE DE L’ACTION ISLAMIQUE CULTURELLE à L’EXTERIEUR DU MONDE ISLAMIQUE ces mots sont nos maux.
Je note quand même que Mamadou est un souteneur généreux car il laisse 130 euros à chaque fille. Zlatan, souteneur albanais ne laisse que trois dents à ses filles !
attention aussi aux blagues sur les homosexuels ( qui peuvent se marier et acheter des enfants desormais dans ce pays ou les hommes sont necessairement pervers voire violeurs, voire pire…de toute facon indigne de s approcher de la gente feminine ou des enfants😂😂😂😂). ceux ci sont referents de l ordre moral, franc mac oblige, et desormais symbole de respectabilité et d ordre naturel. la pyramide inversée quoi!
Ca dépend si la blague “raciste” était aggravée par teintement de caractère anti-sémitique supposé, alors là c’était autre chose ..
je dis ça je dis rien.
Quant à moi qui suis aussi prof d’une discipline scientifique, des étudiants (français de souche et certainement bien gauchistes) m’ont ennuyé en me menaçant de dénonciation car je leur avais demandé :
“Que mange un mathématicien arabe ?”
Reponse: “du coscos” (les matheux comprendront)
C’est fin effectivement… après ça je prendrai la tangente à votre place.
Merci pour ces blagues qui m’ont vraiment fait rire. Je les ai transmises. C’est une bouffée d’oxygène dans ce monde de cinglés. Dommage qu’elles vous aient causé du tort.
Merci d’avoir donné les noms des balances collabos.
Michalak, Taleb, Simsolo, Loiseau, Hug, Pavageau, etc.
Nous retrouverons facilement leurs adresses.
Nous saurons les utiliser à bon escient; le cas échéant. Ces déjections n’ont pas le monopole des nuisances.
Je reconnais que c’était plutôt marrant, et qu’il n’y avait , en tout cas, pas de quoi fouetter un chat. Petite erreur de débutant malgré ton ancienneté ; il fallait juste des prénoms chrétiens…M’enfin tu sais dans quel pays tu vis ? car quoi qu’en dise JJ Bourdin le prénom mohamed n’est pas reconnu comme tous les autres prénoms français, tes ex collègues ont fait preuve d’un racisme inavoué, et se sont offert une virginité à bon compte, c’est tout.
Miguel et Evgueni sont des prénoms chrétiens.
ce n’est pas ceux là qui ont posé problème..(sourire)
Gregarius pourquoi des blagues de beauf ? quand ce connard d’humoriste sur France inter demande pourquoi jésus n’a pas été encule c’est une blague de gauche ,non une blague de con ? celle ou l’instit fait l’appel interdit ?:Muhammed : présent, mamadou: présent, ben Oite : ha non moi c’est Benoît !! la on une blague a prendre ave le sourire !!
Aujourd’hui je ne sais pas si cette blague passerait très bien.
Je ne comprends pas.
Les blagues du pdf ne seraient pas racistes si on avait eu comme prénom Nicolas, Eugène, Isabelle etc. C’est bien ça ??
Or, si l’intention du pdf n’est pas raciste (à moins d’un procès d’intention) on peut mettre les prénoms que l’on veut. Que ce soit Nicolas ou Rachid, le racisme n’existe que dans le regard du lecteur. Donc le pdf n’est pas raciste mais c’est la lecture qu’en font vos collègues qui est raciste. C’est donc eux qui auraient du être blâmés !
tout à fait…de plus l’envoi était limité à ses collègues, qui auraient dû avoir le courage de lui dire gentiment qu’ils n’appréciaient pas …point à la ligne…le terme collabo me vient à l’esprit, je ne sais pas pourquoi..
Tout ce ramdam pour des grosses blagues de beauf sans grand intérêt.
Ces profs n’ont ils rien d’autre à faire de plus constructif ?
Et bien vos collègues sont des abrutis finis (on devine leur comportement si ils avaient vécu en 39/45!!!!!!!!!!!!! Et j’adore vos blagues, je vais essayer de faire un copié-collé pour les envoyer!
La politisation orientée à sens unique de l’ecole est un stigmate avancé de son déclin et de la mort latente De la laïcité.
ce genre de prof est moins brillant à lutter contre le harcèlement scolaire.
les suicides d’élèves sont moins graves que des blagues entre collègues.
Objectivement, les modèles d’ épreuve en cause sont très anodins et d’ applications pratique dans maintes cités même si ces dernières pourvoient peu d’ élèves et d’ enseignants au lycée Hoche dont on devine que siprivé soit-il son statut sous contrat le réduit à être un lycée public…
Personnellement, je dois avouer que j’ ai toujours été nul en math… cela ne m’ a pas emperché de faire du droit et d’ être cadre dans l’ administration… Disons que j’ ai laissé les maths en général et ma part de math en particulier à ceux qui aimaient les math et je m’ en suis toujours très bien porté.
Ces gens ont le sang de Samuel Paty sur les mains, mais pas seulement, celui de tant d’autres victimes qui l’ont précédé et le suivront dans le sacrifice à la folie. Leur religion, celle de l’étranger, divinisé jusqu’au point où il ne peut même plus en être fait humour ou caricature, même ne pas lui donner la priorité étant devenu interdit et scandaleux. Mais leur religion a mis au pouvoir une religion plus ignoble et inepte encore, et qui ne les épargnera pas, comme ils viennent de le comprendre. Quant on nourrit un bébé monstre, un jour où l’autre on fait face à sa version mâture.
vous n’écopez que d’un blame, estimez vous heureux de n’avoir pas été décapité
samuel devait s’attendre à une inspection, le tchétchène aura évité à l’inspecteur de se déplacer
vive la kommendantur française qui dénonce votre anticrétinerie
Bonjour, vous avez mis le pdf de l’article, mais pas celui des blagues ! J’aimerais bien me marrer aussi, alors merci par avance.
De Quiévrecourt, c’est un nom que l’on retrouve dans l’Histoire. Ces deux-là seraient-ils de la même famille ? Ci-après un extrait de la fiche Wikipédia de l’amiral Muselier :
” En 1940, le capitaine de corvette de Quiévrecourt, qui commandait l’aviso Dumont d’Urville, refusa de rejoindre la France Libre lorsque Nouméa se rallia. Muselier envoya un télégramme le destituant et nommant à sa place le commandant en second. Celui-ci rejeta l’ordre et donna cette réponse pour le vice-amiral Muselier : « De la part Commandant, officier en second, état-major et équipage du Dumont d’Urville. Votre 230. Stop. Merde17. » C’est depuis ce temps-là que dans la Marine on ne renvoie pas au « mot de Cambronne », mais au « mot de Quiévrecourt ».
La PJ est l’article, et non pas les blagues « objet du délit » ppourtant annoncées. C’est dommage !
+1
les hyènes menant les meutes anti européennes sont de plus en plus de sexe féminin….tant qu’un chef de meute n’est pas menacé ….par d’ignobles fachos.
Alors guerre des races ou guerre des sexes ? Il va falloir que tu te décides. 🙂
Depuis que le monde existe, les plus forts dominaient les plus faibles.
Aujourd’hui les lois nouvelles ont donné des droit et des hormones à nos femmes et aux minorités. C’est pour ça que c’est compliqué…
Tous ceux qui se prennent pour des petits Fouquier-Tinville d’opérette, devraient, pour une fois, ouvrir un livre d’histoire et se renseigner pour savoir de quelle façon celui-ci a terminé, alors qu’il se croyait intouchable.