Lynchage Morano : les faits sont racistes !

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Depuis les lignes ci-après, -écrites au sujet de Nadine Morano, en réaction immédiate au lynchage répondant à ses affirmations d’évidence-, une lourde machinerie s’est mise en route pour l’écraser ; cette machinerie est destinée à broyer l’impertinente déclarée raciste.
http://ripostelaique.com/les-vrais-racistes-sont-les-detracteurs-de-nadine-morano.html
Il faut déjà l’étouffer, parce qu’en plus de ne pas se soumettre au dogme devenu obligatoire, elle a osé persister dans « l’erreur » ; elle a continué d’affirmer, sans baisser casaque, avec courage, face à la meute, ce qui n’était que des faits et rien que des faits.
Un personnage, (l’ancien président de l’OM, s’exprimant dans le quotidien « Le Monde ») fait, à ce propos, dans le grotesque ubuesque doublé du vychinskien le plus pur : il assimile les propos de Nadine Morano à « l’idéologie brune » (le nazisme), qui constituerait un danger pas moindre que « les djihadistes et leurs complices ».
Bientôt, nos Vychinski convoqueront des assemblées ; ils y feront voter des motions réclamant le châtiment le plus sévère des « racistes ».
Les faits doivent avoir tort… les faits sont « racistes », veut-on nous faire admettre
Comme Galilée – que l’inquisition du Saint-Office obligera à se renier, en renonçant à dire que la terre était ronde et tournait autour du soleil, l’inquisition politique et journalistique de 2015 veut imposer de dire des Français qui ont en plus de quinze siècles fait ce pays : non, ce n’étaient pas des blancs ; non, ce n’est pas une nation formée d’une population devenue judéo-chrétienne il y a plus de quinze siècles -après avoir renoncé au chamanisme et au druidisme- qui a, dès 1352, inventé la démocratie politique moderne.
Cette population, dont il serait désormais criminel, « raciste », de dire qu’elle était blanche, rendra réelle la démocratie politique moderne, avec ses Grands Etats généraux formés de 800 députés élus représentant toutes les classes sociales du pays qui devenait la France. Elle formulera des exigences fiscales, politiques, militaires, que la majorité des nations d’Europe de la seconde moitié du 19ème siècle n’osaient pas encore envisager comme pouvant devenir leur quotidien.
La nouvelle inquisition veut ériger en crime raciste le simple fait de dire : que le petit peuple des sans-culotte – gens modestes, ouvriers, artisans, petits bourgeois, qui prirent les armes et la Bastille le 14 juillet 1789, qui s’emparèrent du Palais des tuileries et proclamèrent dans le même temps la République le 21 août 1792, la Première République Française- était formé de personnes toutes de couleur blanche. Non, il ne convient pas de le dire, ce serait raciste !
Le rappeler, voire simplement le mentionner, exclurait de la nation française les autres populations (noires, métissées) venues se greffer sur l’arbre français en adhérant à la République. Le procédé est grossier, mais il marche ; enfin il marche…auprès des médias et des politicaillons*1.
Serait raciste aussi de dire : qu’ils étaient les fils et les filles de Vercingétorix et des tribus gauloises, parfois mêlées aux Ibères (d’autres « blancs ») ou au Vascons (les basques, d’autres « blancs » encore d’origine ouralo-altaïque ou finno-ougrienne probablement), conquis d’abord par les Romains des légions de César (encore des « blancs ») puis par les tribus germaniques (toujours des « blancs »), dont ces Francs qui reconstituèrent un ensemble politique après l’effondrement de l’empire romain et se formeront en classe dirigeante, dans ce pays qui deviendra la France, en y devenant la noblesse d’épée, la chevalerie pour laquelle la littérature produira force poèmes et romans.
Mais il y a peu, tous les accusateurs de Nadine Morano versèrent des larmes, sur le sort de l’antique Palmyre dont les ruines ont été traitées au bulldozer et à l’explosif par Daesh.
Ici le bulldozer de la censure, destinée à effacer le passé de notre pays, n’est encore que verbale ; il vise à l’interdit professionnel, à l’ostracisation, précédée de condamnations morales multiples, il invite à couvrir d’injures le « coupable ».
On accuse et on déclare « raciste », en 2015, comme en 1936-38, comme en 1952-53, on déclarait contrerévolutionnaire, comme on décrétait trotskiste ou zinoviéviste, comme on accusait d’être agent de l’impérialisme, comme on qualifiait celui dont on voulait se débarrasser d’être « personnage douteux et individu à double face », « élément bourgeois dégénéré », « nationaliste réactionnaire liée aux débris des vieilles classes exploiteuses » ; plus tard on créera le crime des crimes, celui d’être un « sioniste » ou un « cosmopolite », dans l’Urss de Staline, dans la Chine de Mao ou dans la Corée du nord de la dynastie des empereurs « communistes », dans le Cuba des dynastes Castro, en Albanie d’Enver Hodja… Ce seront les procès truqués de Zinoviev et Kamenev (procès de Moscou) et de tant d’autres, de Rudolf Slansky (Procès de Prague) et de László Rajk (procès de Budapest).
C’est dans cet arsenal inquiétant que les inquisitions modernes, que nos chroniqueurs « d’on n’est pas encore couché » et que nos « Yazid » pétitionnaires, ou que nos lâches chefs de l’UMP devenue « les républicains », que tous les adorateurs de la dhimmisation, vont rechercher et puiser les arguments, le mode de raisonnement et la volonté d’ostraciser et frapper de mort morale à défaut de pouvoir exécuter d’une ou plusieurs balles dans la peau.
Ils accusent, ils sermonnent, ils réclament, ils exigent des sanctions
Ils exigent la mort politique. Peu importe les faits. Les faits risquant de déplaire aux idéologues de l’expansion de la « diversité » et à ceux qui réclament son hégémonie ; alors les faits doivent disparaître, les faits doivent être traités comme fut traitée l’astronomie selon Galilée, revenant aux racines grecques du savoir (Ptolémée, un autre « blanc ») ; les faits doivent disparaître !
Mentionner les faits doit être sanctionné : c’est un délit de racisme
Je lisais, ce matin, l’interview d’un jeune homme de Pontoise. Il fait partie de ces militants de l’action catholique qui, à Cergy-Pontoise, se dévouent quotidiennement à l’accueil des « migrants » syriens et irakiens. Il mentionne des « tensions entre chrétiens et musulmans », mais le journaliste ne lui pose aucune question à ce sujet ; serait-ce déplacé ; serait-ce « cliver » (un autre crime en 2015) ? Aucune comparaison ou rapprochement n’est effectué avec les graves évènements allemands, avec les brutalités constatées et dénoncées par des migrants victimes ou des prêtres s’occupant de réfugiés, avec les fréquentes persécutions en Allemagne (dans les centres d’accueil pour migrants) de chrétiens (Assyro-Chaldéens) et de Yezidis ; persécutions provenant d’éléments sunnites imposant autour d’eux une hégémonie religieuse absolue ouvertement revendiquée (« là où nous sommes, la sharia règne ») antagonique aux valeurs, de liberté de conscience et d’expression de l’opinion, construites par les peuples « blancs » d’Europe.
Quant à l’importation de l’Etat islamique, -pour commencer, dans les centres d’accueil en Allemagne-, pas question d’en parler dans les médias français et moins encore dans le petit monde politique français en voie de défrancisation.
Pangloss préside à tout ce qui a trait à la question dite de la « crise migratoire », jusques à quand ?
Szyja Waldman
*1 Les politicaillons sont ces pseudos démocrates, ces pseudos antiracistes, raisonnant selon le principe d’une comptabilité en partie double : ils admettront dans leur sein les doctrinaires racialistes qui ont dévoyé la négritude de Senghor, Césaire, Gontran-Damas, racialistes qui mènent une guérilla destinée à obtenir que les manuels scolaires aux Antilles ne parlent plus de « nos ancêtres les Gaulois, mais ils feront une chasse féroce à celui qui continuera d’être fier des dizaines de générations qui ont fait ce pays, qui l’ont construit et en ont fait un exemple positif pour les autres humains.
Pour cela, nier la fierté française, le Mémorial de Pointe à Pitre, consacré à l’esclavage et à la traite négrière, ne dit pas un mot du décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement et totalement l’esclavage, interdisant aux Français de s’y livrer, directement ou indirectement, même dans un pays où il resterait légal, sous peine de déchéance immédiate de la nationalité française. La nationalité française est incompatible avec le trafic esclavagiste. Ce qui implique de déchoir de la nationalité française toute personne dont il est établi qu’elle est partie rejoindre Daesh, Boko Haram, les Jenjawid… entités sanguinaires fanatiques toutes organiquement esclavagistes
Nos ancêtres, disent-ils, les amis noiristes de nos politicaillons : ce sont, ce ne sont que, les esclaves déportés depuis l’Afrique. Nos ancêtres ne sont pas les esclavagistes… Nous sommes noirs, nous ne sommes pas des descendants de Gaulois se retrouvant en zone caraïbe. Les dix mille pétitionnaires (des « blancs »), dont une délégation fut reçue par Guizot, premier ministre, en 1847, qui réclamaient l’abolition immédiate de l’esclavage, il n’y a pas lieu d’en être fiers ? Les milliers d’ouvriers parisiens qui, en 1847 toujours, réclameront « liberté pour nos frères noirs », c’étaient des ouvriers blancs, ils le savaient et ils considéraient les esclaves noirs comme leurs frères.
N’y a-t-il pas lieu d’être fiers de ces Français ?
Quel pays peut-il s’enorgueillir de tels hommes, se trouvant dans toutes les classes de la société, génération après génération, depuis le combat de l’Abbé Grégoire et la société des Amis des Noirs, les votes de la convention, le décret impérial de mars 1815, en passant, bien avant, par l’édit royal de Louis X le Hutin (1315) ?
Quel pays a produit de tels hommes et femmes, de telles décisions légales, j’attends une réponse.
Combien de fois n’a-t-on entendu ce qui est un slogan noiriste (au sens que le mot a pris avec la dictature de Papa Doc et le macoutisme) ?
On continue régulièrement à entendre cela, « non, les Gaulois ne sont pas nos ancêtres ! », sur les antennes, -et à le lire dans la presse-, sans qu’aucun journaliste ne le relève, sans qu’aucun anthropologue ne fasse observer que rares sont les Afro-Antillais n’ayant pas les gènes d’un Français.
Blanc dans leurs patrimoines génétiques, sans qu’aucun chroniqueur d’émission nocturne ne s’en offusque.
En d’autres termes, la France métissée qu’il veulent bâtir c’est d’abord une France d’inégalité dans l’expression autorisée des convictions et des croyances ; c’est une France construisant un apartheid, à partir d’un système discriminatoire, donnant aux uns le droit de revendiquer ses racines africaines et noires, ou ses racines musulmanes (il seront même chaudement applaudis pour cela), tandis que celui ou ceux qui revendiqueront leurs racines gauloises, romaines, franques, burgondes, alamanes, magyares ou hunides, leurs racines spirituelles chrétiennes, judéo-chrétiennes, seront sifflés, conspués, objets de dérision, de pétitions, et même de sanctions pour délit, pour crime… de racisme.
Pour les uns, les racines, c’est noble, pour les autres, les racines, c’est scandaleux.
Deux poids et deux mesures, ou la construction d’un apartheid à « l’européenne »…
 

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15 Commentaires

  1. Très bien écrit, très juste…Mais je crois qu’il faudra au plus vite descendre dans la rue pour le faire entendre – vigoureusement – et rappeler à la “caste” les droits souverains du peuple…Avant qu’il ne soit trop tard…2017 est encore trop loin…

  2. Nadine Morano n’a fait que reprendre les paroles de de Gaulle qui, lui, n’a jamais été traité de raciste ni de nazi… Ce qu’elle a dit est une simple constatation.
    Bientôt, le fait de dire, par exemple, que les noirs ont les cheveux frisés et les chinois les yeux bridés, (ce qui n’a pourtant rien d’insultant!) passera pour un propos raciste. Sus aux infâmes fascistes qui s’exprimeraient ainsi…

  3. Les faits lui donnent raison en plus elle me laissait assez indifférent voir hostile maintenant après ce lynchage inutile non seulement je la défend mais du coup elle me semble bien sympathique.

    • Je suis tout à fait d’accord avec Nadine Morano. Evidemment elle ne se prénôme pas najat, raissa ou rachida; Ca passe mieux en France.

  4. «Afin de détruire un peuple, il faut d’abord détruire ses racines».
    Alexandre Soljenitsyne
    C’est ce à quoi ils s’évertuent depuis la fin de la guerre…

    • En effet, un peuple sans Histoire est comme un arbre sans racine, il est destiné à mourir…

  5. Pour moi les faits sont racistes, ils condamnent ceux qui les commettent !
    Manque de pot, ce n’est pas le racisme attendu, les auteurs ne sont pas ceux que la bien-pensance désigne mais ceux qu’elle protège, alors nous avons droit au PADAMALGAM !

  6. Les véritables RACISTES SONT CEUX; QUI ACCUSENT DE L’être CEUX; QUI NE LE SONT PAS !
    C’est ainsi que le FRANCE est devenue le Pays où,
    on ne peut plus rien dire, où des mots courants Criminalisés
    par des Inquisiteurs trous du C … STALINIENS n’ont qu’un
    seul but, vous faire traduire en Justice aux fins de se faire
    Royalement engraisser; à vos FRAIS !!!!!!!
    ALAMUT ! Prière de pardonner mes méconnaissances de votre
    Langue !

  7. Pour enfoncer MORANO qui pourtant n’a rien dit que le bon sens puisse condamner, d’aucuns rappelle sa présence auprès du traitre Sarko pendant des années, les mêmes se gardent bien de rappeler les origines gauchistes de nombre de responsables du FN de Philippot et Marine
    Désolé de critiquer mes anciens amis (toujours pour nombre d’entre eux, militants de base) mais pour moi Morano et les identitaires ont ce qui manque de plus en plus à ce FN, des burnes

    • Mieux vos des petites burnes reproductrices jusqu’à avoir la majorité plutôt qu’en avoir de bien grosses impuissantes ! Non ?

    • c’est pas faux,mais alors dite nous pour qui vous allez voter pour changer tout ça,Sarko ou hollande !!!

    • c’est clair. mais je pense que morano est a l’avant-garde d’une parole qui n’en peut plus d’etre enchainée et que d’autres vont s’engouffrer dans la brêche : en termes psychanalytiques ,cela s’appelle une catharsis !

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