« Les histoires d’amour finissent toujours mal » comme dans la chanson. Pourtant ça avait bien commencé. Le despote français n’avait pas ménagé ses efforts pour africaniser la France. Fin démagogue, il attirait toujours davantage de Noirs pour remplacer les Gaulois. Et il les conviait en son château pour danser la bamboula avec eux.
Mais il ignorait les subtilités de la palabre à l’ombre du baobab. La tradition veut qu’on discute. Pas qu’on assène ses vues. Vieux travers colonialiste dont il n’a pas su se défaire. Résultat : les Africains refusent de servir de boys aux Ukronazis. Et ils accueillent les Wagner à bras ouverts après avoir viré les Français comme des malpropres,
L’histoire commence avec un stage croquignolesque au Ghana
Admis à l’ENA par inadvertance, il en ressort par la petite porte en 2004, la seule année où il n’y aura pas de classement.
Le phénix choisi par la Mondocrature pour représenter plus tard ses intérêts avait-il des notes si médiocres qu’il fallait les cacher ? C’est la seule fois où le Conseil d’État annule les résultats au motif que l’école n’avait pas organisé le concours dans des conditions transparentes, respectant l’égalité entre les élèves.
Quoi qu’il en soit, alors que les plus grands corps de l’État lui sont destinés de plein droit, Young Leader oblige, il part faire son stage de fin d’études à Abuja au Nigeria pays anglophone et membre de l’Organisation de la Coopération islamique.
Le principal intérêt du Nigeria était d’être le premier pays producteur de pétrole d’Afrique avec 2 millions de barils exportés chaque jour. La production était sous la tutelle des trusts du Nouvel Ordre Mondial, représentés par des sociétés nigérianes qui étaient des coquilles vides, servant à gérer la corruption. Pour le plus grand malheur d’un pays devenu un État-voyou aujourd’hui ruiné.
Que voilà un début formateur propre à inspirer le futur dictateur des Français ! Celui-ci a laissé à ses commensaux d’Abuja le souvenir d’une espèce de Tintin au Congo, anachronique et déjanté, mâtiné d’un joyeux fêtard habitué du «Schrine» la boîte gay branchée de la capitale.
Une politique africaine désastreuse
Il multiplie les propos condescendants. Mais il n’est pas raciste. Il méprise tout le monde sauf Brichelle qui lui a fait tâter de la chicotte. Et il tente d’imposer par les cris, la menace ou le chantage ses caprices de gamin mal fini. Ignorant tout des sujets sur lesquels il pontifie, le paltoquet arrogant a ruiné soixante ans de relations apaisées et parfois fructueuses avec nos anciennes colonies.
Aujourd’hui, Marine à qui les marabouts ont prédit un grand destin, se promène à Dakar et est reçue comme un chef d’État par le président Macky Sall… Tandis que le paltoquet sans ses sbires s’exposerait là bas, comme en France, aux insultes, aux crachats, aux envois de fruits pourris et aux jets de boulons.
Les dirigeants Africains n’ont pas été dupes des danses du ventre du paltoquet, en extase entre les bras d’éphèbes d’ébène, délinquants assumés. Ou en organisant une fête de la Zique très spéciale à l’Élysée. Les relations internationales sont trop sérieuses pour qu’on les mélange avec des gay prides.
Un donneur de leçons devenu la bête noire des Africains
Le Mali, le Centrafrique et le Burkina Faso sont les premiers volcans d’une chaîne éruptive qui vomit la France. Ils ont foutu dehors la glorieuse armée française, incapable de réduire des bandes de guenilleux sur leurs 4X4 bricolés, mais qui voudrait entraîner l’Afrique vers un désastre annoncé, dans une guerre contre la Russie.
Là où on ne nous a pas encore éjectés, au Tchad, au Bénin, au Togo ou au Niger, ce n’est plus Macronescu qui commande. Ce sont les autorités locales qui décident des forces qu’ils souhaitent accueillir et des missions qu’on leur assignera. Humilié, le tyran prétend que c’est conforme à ce qu’il souhaitait.
Moins virulents, d’autres dirigeants au Sénégal, au Gabon, en Côte d’Ivoire et à Djibouti. essaient de redéfinir leurs relations avec la France. Mais la situation risque d’empirer avec notre despote allumé qui n’a pas la lumière à tous les étages, et veut avoir toujours raison.
Macron marche tellement à côté de ses pompes qu’il lui faudra bientôt un déambulateur !
Il avait promis de réformer la « Françafrique », ce système inique qu’il n’a pas inventé mais dont il s’est accommodé. Lequel maintient, via des parodies électorales, des dictatures comme celle de Paul Biya au Cameroun, de la famille Deby au Tchad ou des Bongo au Gabon… On dit que bwana Makwon cherche sur « Le bon coin» le gri-gri qui permet de garder le pouvoir.
En plein déni de ses échecs, il claironne que les neuf ans de cache-cache avec les terroristes au Mali ont été « un grand succès ». Avec le Burkina, où on dégage la queue basse, il affirme qu’il maintient « d’excellentes relations diplomatiques ». Quant au Centrafrique où les Russes sont chez eux, le président Ouadéra serait l’otage des Wagner. Pourvu qu’il ne lui envoie pas le GIGN !
Les Russes rappliquent parce que la nature a horreur du vide
Quand Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, est accueilli cordialement, plutôt que de chercher à comprendre, le paltoquet tance la soi-disant hypocrisie de l’Afrique, et se pose en donneur de leçons, prétendant imposer aux leaders africains sa vision à sens unique de la guerre en Ukraine.
La vision géopolitique de Macronescu est tellement étriquée qu’il ne comprend pas les raisons pour lesquelles la plupart des États africains se sont gardés de vilipender la Russie pour une affaire qui, de toutes façons, ne les concerne pas.
D’abord, en héritage de la guerre froide, les pays africains conservent une attitude de non-alignés. Ils ne veulent pas prendre position dans le bras de fer entre la Russie et l’OTAN. Leur intérêt est de rester neutres et d’avoir de bonnes relations avec tout le monde.
Ensuite, l’Afrique est menacée d’une pénurie alimentaire gravissime à cause de cette guerre européenne. Il y a une forte dépendance en approvisionnements, car plus de 40 % du blé consommé en Afrique provient soit d’Ukraine, soit de Russie. Et pour l’agriculture locale, le continent africain est très dépendant des fertilisants importés de Russie. Comme l’a rappelé le chef de l’État sénégalais, président en exercice de l’Union africaine, l’Afrique refuse de s’aligner sur une position de quasi-belligérant.
L’internationale des dictateurs
Les visites de Macronescu, et celles des despotes africains à l’Élysée, contribuent à entretenir une forte hostilité à l’encontre de la France. On n’est plus dans le cadre d’un néocolonialisme pragmatique qui apportait quelques avantages, tant que subsistait un certain prestige de la France. On est dans le cadre d’une complicité affichée entre dictateurs. Blanc ou Noirs qu’importe !
Sur le plan de l’autoritarisme, de la violence contre les opposants, des mœurs dissolues des dirigeants, de l’État de droit piétiné, de la corruption, de l’emprise sur la justice et les médias, et du mépris des institutions, Macronescu n’a rien à envier à la plupart des autocrates africains. Certes on n’a pas encore Amine Dada ou Bokassa à l’Élysée. Mais on s’en rapproche chaque jour un peu plus.
En voulant donner des leçons, qui sont des ordres déguisés, le paltoquet renforce un sentiment de rejet et augmente la détestation de la politique française sur le continent. Et ce n’est pas en tripotant quelques jeunes gens mélanodermes, et en accueillant des cargos pleins à ras bord de racailles dont ces pays se débarrassent, que Macronescu se fera apprécier des élites africaines.
Le paltoquet a privilégié la canaillerie et piétiné la culture
Il fut un temps que les moins de trois fois vingt ans ne peuvent pas connaître. Un temps peu après les indépendances, sans islamistes, où les toubabs étaient encore appréciés. Sous la tente des Bidanes, dans les foundouks (auberges) de la brousse, comme dans les villas des gouverneurs ou les palais des ministres, le voyageur français bénéficiait du prestige de son pays. Faute de télés, il se faisait griot, rapportant des nouvelles du monde extérieur et des contrées lointaines, qu’il savait enjoliver pour captiver son auditoire.
On lui prêtait une Land Rover s’il voulait visiter un site archéologique isolé. Ou aller voir une guelta, vestige des rivières et lacs sahariens du paléolithique où survivent encore quelques crocodiles. Et pas besoin d’être accompagné de miliciens armés jusqu’aux dents. Le visiteur n’était pas une cible.
Les chefs locaux, sans renier leurs coutumes et la spécificité de leurs mœurs, étaient pour la plupart imprégnés de culture française. Dès qu’on montait un peu dans la hiérarchie, au temps de Senghor, érudit et grand féticheur, il n’était pas rare de discuter de Pascal, de Bergson ou de Teilhard de Chardin en sirotant un pure malt avec des Africains en boubou, licenciés en Sorbonne.
Comment faire comprendre cela à un caractériel immature qui croit qu’il suffit de verser des pots-de-vin aux roitelets pour s’assurer de leur indéfectible reconnaissance sous forme de votes sur commande à l’ONU, et de privilèges miniers ou BTP aux sociétés qui ont financé son élection. En Afrique, pas de business sans des relations de confiance et un respect mutuel. Que Macronescu n’inspire pas. À la différence de Poutine.
Beaucoup d’Africains éduqués supportent mal le ton hautain du dictateur français à leur égard, alors qu’il lustre servilement les babouches des Algériens. En outre, ils attendent d’être associés aux décisions visant à développer l’économie de leur pays. Comme il le leur avait promis. Enfin, ils comprennent mal son intérêt pour le Kenya, l’Éthiopie ou le Nigeria qui n’ont jamais fait partie du « club ».
Par contre, les Noirs rigolent quand ils entendent la ministresse de la francophonie, la grecque Grisoula Rastapopoulos, qui parle français comme une vache espagnole. Ils s’en amusent et disent qu’elle devrait venir faire un tour en Afrique pour y apprendre notre langue !
Christian Navis
Faut lire entre les lignes 😂😂😂😂😂
” il a pu se trouver… Culer entre les membres… ”
Macron aime le bâton de reglisse surtout quand il est long et gros
depuis le temps, obono sibeth, le cran, si les Français ne comprennent pas ue l’afrique méprise et hait la France dans une grande proportion, que faut il? il suffit de lire RL qui ne parle que de ce qui est toléré pour n’avoir aucun doute sur la réalité
l’histoire le graet zidane est criante de la situation
Cet article sonne comme un acte de bravoure mais nécessite des Q.I développés à la puissance 10 pour en apprécier les sous entendus et les finesses. Le lecteur de R.L. en prend plein les neurones.
BRAVO, et merci pour cet exploit. G. Marçu
Exclamation d’un ministre africain: “Macron cet arrogant et ridicule personnage qui a épousé sa mère qui est peut être son père, pauvre France”
Oh mais vous oubliez volontairement ou pas les chinois qui sans faire de bruit s’accaparent du marché pays par pays , doucement sans faire de bruit , ils avaient je me souvient il y a des lustres un magnifique stade à Dakar , pas un seul ouvrier sénégalais, que des chinois maintenant allez le voir on dirait un vestige greco romain, alors les chinois après les américains ( temps très court) les russes quelques années , se sont installés avec leur marchandises à bas cout.Ils sont imbattables et deviennent lentement mais surement les maitres du continent africain sans faire de bruit.
Les Chinois sont, pour le moment, dans la même situation que les puissances coloniales d’antan. Ils investissent lourd depuis 3 décennies avec des retours décevants.
Confrontés à la corruption vermiculaire, à des bureaucraties surréalistes et à un je m’en foutisme général, les Chinois reprochent aux Africains de travailler peu et mal, et de ne pas comprendre toujours très vite. Et les Africains les accusent de faire venir des compatriotes au lieu d’embaucher des autochtones.
Bref, se méfier des descriptions idylliques de la propagande. Les Chinois butent sur un fait civilisationnel. Leur pays est une fourmilière où s’activent des robots humains bien programmés. Les Africains sont dans l’ensemble, démerdards et individualistes, mais peu enclins à se fondre dans des structures verticales.
Avec en plus de la part des chinois un racisme total envers les noirs !
Vous avez déjà vu un couple sino-africain ? Moi jamais !
C’est normal, les “connectiques” ne sont pas calibrées. 🙂
Ils travaillent peu et mal et ne comprennent rien, dites-vous ? Bah euh…comment dire ? On ne va pas parler des théories ici mais je pense que les réputations sont toujours fondées…
Logique : les Africains en Afrique ont 65 de QI en moyenne !!!
Les africains restés en Afrique ne l’aiment peut être plus mais les africains qui remplissent nos centres d’aides sociales diverses et variées semblent apprécier ses largesses! Ils arrivent toujours et bien jeunes!!
Bonjour . Voilà où même la crédulité des Français , à avoir écouté les uns et les autres, vous avez voter un gamin et le résultat vous l’avez sous le nez , et comme vous le dites si bien les Africains n’aime pas la France ni les Français , il n’y a que freluquet, qui les aiment les africains , la preuve il est toujours entrain de les tripoter ( ce n’est pas du harcèlement ça ? ) . En attendant avec freluquet notre pays est complètement ruiné , il faut absolument le virer de la présidence car cela ira de pire en pire . Et arrêter d’écouter les uns oû les autres, réfléchissez par vous même , vous avez un cerveau il me semble , alors servez vous en , pour l’avenir de notre pays , si vous ne réagissez pas , la guerre est à notre porte, et qui fichera vite le camp ?? devinez . Bonne journée
Ces indigènes n’ont jamais aimés ni Macron ni un autre et encore moins la France
Ils aiment uniquement l’argent quon leur donnent au lieu de le donner aux Français
Rastapopoulos : l’escroc Grec des BD de Georges Remi !.. décidément tout s’accorde et concorde.
les africains préfèrent les russes anti lgbt, respectueux des traditions millénaires aux français wokistes et hypocrites, je les comprends
“membre” de l’Organisation de la Coopération islamique : Ahahahahaha ! Combien de membres aurait-il rencontré au Nigeria ???? Certains membres sont durs sur la position et n’en change pas facilement ! Il a pu se trouver acculé par différents membres ????
Petite précision : Il avait demandé le Ghana, le pays de l’or, et avait été envoyé au Nigéria voisin à l’échelle africaine, le pays de l’or noir.
Déjà motivé à se remplir les fouilles d’une manière ou d’une autre, sous la houlette de ses mentors du NWO.
macron ne sait rien faire de ses 10 doigts a part compter des billets de banque,tout ce qu’il entreprend par en couille,les seuls africains qui aiment encore macron ce sont les racailles des citées car ils ont besoin de lui pour les protéger.
https://www.lepoint.fr/afrique/burkina-faso-que-restera-t-il-de-l-armee-francaise-en-afrique-26-01-2023-2506348_3826.php#11
Il n’est pas là pour faire mais pour défaire, c’est un expert en démolition, le tout bien camouflé par un tchatche incessante mais rassurante pour le veau qui est évidemment opposé en très grande majorité à son arnaque de la réforme de la retraite.
Normal, puisque ces cons sont toujours convaincus qu’avec MLP ce serait le chaos alors qu’avec le p’tit cron, les électrons circulent comme jamais, le pétrole et le gaz aussi à profusion, les boulangers pondent de la baguette comme jamais, les trains ‘quand il y a une grève à la SNCF on ne s’en aperçoit plus’ dixit un autre nain, ça joue du couteau de Dunkerque jusqu’à Marseille et pendant ce temps bercy engrange de la tva comme jamais et qui sait demain les cognes pourront utiliser leurs nouveaux joujoux blindés mitrailleurs tous neufs???
Oui, la seule compétence de l’État micron, c’est la taille, la gabelle, la matraque.. pour le reste passez chemin et rasez les murs !
On en est à regretter Flanby, c’est dire l’état du frankistan !