Macron, fouteur de “merdoliprane”, a mis le désert médical partout !
Comme dans mon bled de campagne qui compte près de 2500 habitants, où aucun des 4 médecins établis n’a cessé de se ranger, pendant l’épidémie Covid, derrière le protocole de la clique sanitaire, en refusant de soigner la population contaminée, sous injonction de la propagande criminelle du “restez chez vous, prenez du Doliprane et si vous étouffez, appelez le 15” !
Souvenons-nous que selon ce protocole paracétamol, l’incompétent Véran avait interdit à la médecine de ville de soigner en prétendant qu’il n’existait aucun traitement, dans le seul but de forcer à l’injection expérimentale élaborée en toute hâte par Big Pharma, qui a démontré son inefficacité et sa dangerosité avec sa cohorte d’effets indésirables mortels ou avec séquelles graves et irréversibles. https://ripostelaique.com/69-000-morts-en-france-34-fois-plus-quau-japon-cherchez-lerreur.html
C’est ainsi que j’avais dû exiger de mon médecin local une prescription préventive de traitement contre le covid… https://ripostelaique.com/jai-du-exiger-de-mon-medecin-un-remede-contre-la-solution-veran.html
Souvenons-nous que l’Ordre des médecins, à la botte de Macron, complice de ce protocole criminel, avait fait sonner la charge contre les médecins qui ont eu la volonté de soigner dès le début des symptômes, avec les antiviraux et macrolides connus et efficaces, comme l’Hydroxychloroquine, l’Ivermectine et l’Azithromicyne, entre autres, conformément à la déontologie médicale.
https://ripostelaique.com/lordre-des-medecins-pour-complaire-a-macron-debranche-hippocrate.html
D’autant qu’au moment où l’épidémie se déclarait, au moment où Didier Raoult claquait la porte du Conseil scientifique, on apprenait, en mars 2020, que dans un Ehpad de Seine-et-Marne, à l’occasion d’un épisode de gale, le traitement par Ivermectine des 69 résidents et des 52 personnels soignants avait permis de limiter la contamination à 11 cas sans hospitalisation ni décès, alors que dans les Ehpad voisins la mortalité Covid s’était élevée à 5 %. Ainsi était empiriquement démontré le bénéfice du traitement Ivermectine contre le covid, manifestement ignoré par la clique sanitaire pour forcer à l’inoculation de la fiole expérimentale.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S015196382030627X
Vous comprenez ainsi pourquoi la patientèle ne respecte plus cette médecine qui s’est tiré une balle dans le caducée, en piétinant son serment d’Hippocrate, pour se préoccuper davantage du montant de ses honoraires et de ses prébendes “pharmafieuses”, comme l’a justement remarqué ce patient, il y a peu.
https://ripostelaique.com/desole-mais-les-medecins-commencent-vraiment-a-nous-emmerder.html
Car Big Pharma, qui doit vendre toujours plus de médocs pour ses affaires et ses profits, est la cause du mal, et ses collabos de la clique sanitaire et vaccinale sont ses colporteurs rétribués de iatrogénie et de mort.
Ainsi ce que déclarait en 1976 le PDG du groupe pharmaceutique Merck : “Le problème… est de limiter le potentiel des médicaments aux personnes malades. Mon rêve depuis longtemps est de fabriquer des médicaments pour les personnes en bonne santé… Il est évident que de les vendre à tout le monde, ça arrangerait nos affaires”, l’escroc Albert Bourla, PDG de Pfizer l’a fait en 2020, avec la complicité intéressée des gouvernances occidentales, pour le meilleur des mondes…
Dans le courrier des lecteurs de la revue Prescrire de décembre 2022, un médecin de garde appelé, au fin fond du Cantal, au chevet d’un vieil homme de 85 ans qui ne sort plus de son lit et dont l’ordonnance prescrivait 12 molécules majeures, s’interrogeait sincèrement : “Que faire ? Que dire ? Sans me faire d’illusions, je réduis de moitié la posologie des psychotropes, j’arrête le Voltarène et je prescris un nouveau bilan… Je repars avec une certitude : la médecine moderne est maintenant solidement implantée jusqu’aux confins des déserts médicaux… car bonhomme il va mourir, de mort iatrogène…“
Que Brassens me pardonne, mais
Rien n’arrête le cours
De Big Pharma qui empoisonne
Sans détour et sans recours
Ni rien ni personne
Car Bonhomme ne va pas mourir
De mort naturelle…
Alain Lussay