Macron, il est trop tard, vous êtes mort, et voici pourquoi…

Il est trop tard pour vous, M. Macron, votre visage provoque aujourd’hui une réaction de haine et votre voix un rejet viscéral dans une bonne partie, sans doute majoritaire, de la population française. Vous ne pouvez plus revenir en arrière, vous êtes mort, et voici pourquoi…

Radio, télévision, presse écrite sont des centres de conditionnement du peuple au service d’acariens milliardaires qui les possèdent, tirent les ficelles et placent leurs pions au sommet de l’État.

C’est en effet cette loge de financiers qui met en place une bande de privilégiés intouchables, dont nombre de mafieux et repris de justice, une caste qui se gave du racket du peuple esclave (esclave du dictateur élu pour cinq ans qui tient son peuple à l’écart de toute décision) en lui imposant par chantage (menaces de saisie, contrainte par corps…) une profusion d’impôts, taxes, amendes et pénalités dont, de plus, une partie est détournée au profit d’intérêts étrangers plus ou moins sympathiques.

À cela s’ajoutent de prétendus avantages sociaux, qui ne sont en fait que de la poudre aux yeux, reprenant d’une main ce que l’autre donne.

C’est cette caste corrompue qui, pour mieux régner, a divisé artificiellement le peuple aveuglé en gauche et droite, mélangeant les questions et les échelles d’organisation.

C’est cette caste mafieuse qui a mis en place une dictature administrative qui s’est imposée par une accumulation de centaines de milliers de lois, décrets, règlements, arrêtés, circulaires, normes, codes, décisions et autres interdits, dans tous les domaines y compris celui de la pensée, dont la complexité vise à noyer le citoyen en l’occupant à plein temps, à le culpabiliser dans le moindre de ses gestes et à le dissuader de toute initiative.

L’ensemble de ces mesures a conduit à appauvrir le pays et à l’endetter face à la concurrence étrangère, d’autant plus agressive depuis l’ouverture des frontières.

C’est enfin cette caste de traîtres qui livre le pays, la nation, notre patrie à l’invasion de migrants issus de cultures archaïques, de valeurs primitives et d’une religion exogène hostile et totalitaire, avec pour conséquence d’augmenter le chômage et de généraliser l’insécurité.

Voilà pourquoi, M. Macron, la bombe est prête à exploser.

Votre réaction violente, arrogante, méprisante, traitant de gueux les pauvres, bafouant le droit de manifester, ordonnant à votre milice de gazer et tabasser des femmes et des vieillards, de tirer en pleine figure et de mutiler à vie des personnes pacifiques dont le seul crime est de crier leur mal de vivre, votre réaction inhumaine a déclenché la colère et la haine d’un peuple exsangue, trompé, humilié, spolié, désarmé mais riche du nombre de ses hommes et de sa solidarité soudain retrouvée, un peuple qui est chez lui, un peuple qui vous paie grassement, un peuple à présent résolu à éradiquer ses prédateurs – quel que soit le prix à payer !

Car, M. Macron, vous ne lui laissez aucun espoir.

L’Histoire le rappelle, le jour et l’heure sont proches où le sang risque de couler du côté de chez vous, car vous l’avez déjà fait couler du côté de chez nous.

Le peuple appelle à sa délivrance. Au nom de la morale et au chant de la Marseillaise un seul cri résonne aujourd’hui partout en France…

Votre vie ne tient qu’à l’obéissance de votre milice. Fuyez tant qu’il en est encore temps !

Jean Ducluzeau