Macron n’aime pas la France et méprise les Français

Emmanuel Macron n’aime pas la France.

Il veut le pouvoir et pour s’en emparer, il tente désespérément de nous faire croire qu’il épouse les idées du peuple français, mais ce n’est que posture tactique.

Quand on traite les ouvrières d’une usine d’illettrées, c’est qu’on méprise le monde ouvrier qui se lève tôt.

Quand on dit aux paysans, qui survivent avec 10 euros par jour, que sans la PAC ce serait pire, c’est qu’on oublie qu’un agriculteur travaille 15 heures par jour, 7 jours sur 7, et qu’il nourrit 50 personnes. Ils sont notre richesse depuis la nuit des temps.

Accuser la France d’avoir commis un crime contre l’humanité avec la colonisation, c’est ignorer qu’en arrivant en Afrique, nous y avons trouvé l’esclavage, les guerres tribales, les famines, les épidémies, et même, dans les régions les plus reculées, le cannibalisme et les sacrifices humains.

Tous ces maux, la colonisation les a éradiqués. Où est le crime contre l’humanité ?

Si monsieur Macron avait un soupçon de patriotisme, il ne salirait pas la France à l’étranger, une faute majeure quand on brigue la magistrature suprême.

Mépriser notre histoire devant les autorités algériennes, c’est une insulte au peuple français. C’est le signe d’une totale méconnaissance de l’histoire et surtout le signe d’un profond désamour envers notre pays.

Et chaque fois que Macron crée la polémique avec des propos inconsidérés, voire stupides, il tente aussitôt de se raccrocher aux branches en édulcorant son discours. Quelle hypocrisie ! Toujours dans le sens du vent.

C’est encore le cas avec la culture. Virage à 180° !

Après avoir affirmé “qu’il n’y a pas de culture française, il y a une culture en France”, il s’offre une belle tribune dans le Figaro pour se dédouaner et nous expliquer “Pourquoi nous sommes un peuple”.

Un magistral retournement de veste, qui en dit long sur la fiabilité du personnage. Je cite :

“Ce que nous avons en commun, d’abord, c’est la langue française. C’est elle, notre territoire.”

“Ce que nous avons en commun, ensuite,  c’est l’héritage culturel de notre pays.”

“…je voudrais redire aux Français qu’ils doivent être fiers de leur héritage.”

“Parcourant le pays depuis des mois, que vois-je ? Je vois une France qui n’a pas renoncé à perpétuer les arts et les lettres qui l’ont faite si grande. Elle continue de s’enorgueillir de ses écrivains, de ses peintres, de ses architectes, de ses musiciens, qui forgent, façonnent, dessinent  les contours et les reliefs de notre pays”.

“La culture française conserve son rang parmi les nations. Elle reste ce modèle vers lequel tournent les yeux ceux qui cherchent un surcroît de sens….. Dans ce monde qui change… notre culture est un atout maître”.

Comment pourrait-on faire confiance à un candidat capable de dire tout et son contraire, empêtré en permanence dans ses contradiction ?

Macron est un mondialiste, un défenseur de l’Europe fédérale et certainement pas un patriote attaché à la nation. Son véritable discours c’est le discours supranational.

Pour lui les patriotes “font leur nid au creux de notre identité. Leur premier combat fut de stigmatiser ceux qui ne leur ressemblaient pas et leur première victoire fut la naissance du ministère de l’Identité nationale”.

Tout est dit. Pour Macron, il n’y a pas de culture française qui serait le reflet de  l’identité d’un peuple. Il y a une culture en France, riche de sa diversité et de son ouverture sur le monde.

Le problème, c’est qu’il confond les apports culturels d’une immigration de faible intensité, qui s’est assimilée au fil des siècles, avec l’actuel tsunami migratoire de populations qui refusent de s’intégrer et veulent nous imposer leur propre culture. Macron reste sourd et aveugle aux inquiétudes du peuple.

On aimerait qu’il nous dise ce qu’il pense des 50% de jeunes musulmans qui lorgnent vers la charia. S’il pense les ramener dans le giron de la République à coups de subventions et de discrimination positive, il se trompe lourdement.

Macron est un immigrationniste qui estime que la France aurait dû faire comme Angela Merkel en accueillant des centaines de milliers de réfugiés.

Cazeneuve est déjà submergé. Le gouvernement a perdu le contrôle de la situation et Macron veut ouvrir les frontières ! Il nous mènera au désastre absolu.