Macron, parfait exemple de décivilisation

McKinsey vient encore de souffler une idée géniale à Foutriquet ! Un prodigieux gadget : la décivilisation.

Et les crétins médiatiques d’aller disserter sur le mauvais état de notre société, pertes de valeurs et de repères, discourtoisie, défaut de culture, etc.

En matière de décivilisation, l’arrogant de l’Élysée est un prototype ! Dans le genre malappris ne sachant ni se tenir, ni se retenir, alors qu’il est, rappelons-le, président de la République… on ne fait pas mieux.

Issu de la bourgeoisie de province, il devrait en avoir conservé quelques codes de ce savoir-vivre enseigné aux enfants, nés par chance dans des familles privilégiées : être très courtois, ne jamais se montrer ostentatoire, demeurer discret, fuir le ridicule.

À maintes reprises, et à raison, Michel Onfray a fustigé “sa grossièreté, son obscénité, sa vulgarité”, dont ses célèbres photos, énamouré, dans les bras d’un dealer de Saint-Martin.

Cet ignare décivilisé ne connaît ni la culture ni l’art français. Il n’est pas surprenant qu’il fut recalé trois fois à l’entrée de Normale sup… Cependant, il connaît bien le pédophile André Gide qu’il mit à l’honneur parmi les trois livres présents sur sa photo officielle…

En 2018, pour fêter la Musique, il invita à l’Élysée le DJ Kiddy Smile, arborant un T-shirt où était écrit «Fils d’immigré, noir et pédé», et ses danseurs transsexuels… sans oublier cette célèbre vidéo, dans laquelle pour inciter ce DJ à avancer, le salarié Manu ne le poussa pas en posant sa main dans le dos mais sur les fesses ! Et cette nuit-là, pour son plaisir, le palais résonna de phrases élégantes, telles : «me suis fait sucer la bite et lécher les boules», «danse enculé de ta mère», etc.

Toujours d’une inconvenance totale, ce tactile maladif papouille et tutoie tout le monde : le pape, le Premier ministre de l’Inde…
Personne n’aura oublié la séquence indigne dans une université du Burkina Faso, lors de laquelle, le tutoyant aussi, il se montra si discourtois avec le chef de l’État que ce dernier quitta la salle…
Afrique toujours… il y a peu de temps, une vidéo le montrant transpirant et éméché dans un bistrot zaïrois a fait le tour de la planète.

Et le jour d’une visio-réunion sur la culture, moumoute en folie, manches retroussées, poudre de perlimpinpin aidant, surexcité, il débitait fadaise sur fadaise…

D’une impudente vulgarité : il invective constamment ceux qui le salarient et l’entretiennent somptueusement, jusqu’à vouloir en «emmerder» certains…

Qui se ressemble s’assemble… ce n’est pas par hasard qu’il s’entoure d’individus assortis… À commencer par l’amour de sa vie, depuis ses quatorze ans.

Dès son arrivée à l’Élysée, la potiche officielle nous honora de mini-jupes et de slims indécents, toujours trop peinturlurée, ce qui lui valut de se faire traiter de cagole par le Financial Times et railler par la presse italienne car, ne sachant pas s’asseoir convenablement, elle montrait sa culotte, photos à l’appui… jusqu’au couronnement de Charles III auquel, au mépris du protocole, Brichel se rendit sans chapeau.

Parlons ministres.

Sautillant sur les podiums, faisant le pitre chez Hanouna, chantant du Dalida à la télé… qui ne connaît Marlouna, l’un des poids lourds du gouvernement, célébrité de pacotille pour de pauvres bouquins lubriques, toujours aussi mal attifée que mal coiffée, laquelle n’a pas compris ses fonctions et jongle avec des formules idiotes et du franglais, telle une ado attardée, en manque de vocabulaire.

L’ineffable Grivaud qui ne cacha rien de son intimité…

Le minable Castaner, sorti d’un film de gangsters toulonnais de série B, promu à l’Intérieur… flirtant outrageusement en boite de nuit… un soir de manif de Gilets jaunes…

Véran photographié torse nu… imité par le tressautant Attal au débit de mitraillette…

Généralement déguisée en Téléttubies, l’inoubliable Sibeth arriva même en t.shirt-jeans-baskets à la tribune officielle un 14 juillet…

Darmanin, ministre de l’Intérieur, désormais VRP de la franchise O’Tacos…

Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, la tignasse en folie, la fringue lamentable, semblant toujours sortir d’un squat…

L’outrecuidant Dupond-Moretti qui «collait» des affiches, Patek Philippe et boutons de manchette au poignet, pensant, par ces artifices très onéreux, récupérer un chic lui faisant grandement défaut, sans oublier ses trois bras d’honneur à l’Assemblée…

Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, qui s’est récemment trémoussée à un concert du rappeur J-Zay…

La clopeuse Borne tirant sur sa cigarette électronique à l’Assemblée…

Le Maire, ministre de l’Économie, si faraud des lignes salaces parlant d’anus dilaté de son dernier bouquin…

Plus ceux qui ne nous ont pas épargné leurs histoires de matelas LGTB+ : Sarah El Haïry, Olivier Dussopt…

La décivilisation, c’est aussi de systématiquement et ostensiblement taper dans la caisse, de ne jamais avoir honte, d’humilier, fustiger et saborder son pays.

À se demander si les petits futés de chez McKinsey, agacés d’avoir été montrés du doigt par l’Assemblée, ne se sont pas vengés sur Macron en lui soufflant un concept pouvant si facilement se retourner contre lui.

Daphné Rigobert

image_pdfimage_print
23

7 Commentaires

  1. Notre pays n’a vraiment pas de chance même si OUI, la majorité des français mérite ce taré !
    Le problème est qu’il y a 20% de Français qui ne mérite pas de souffrir à cause des débiles !
    Que faire ????????????????????????????????????????????????????????????

  2. EXCELLENT ARTICLE ! À garder sous le coude et à ressortir en tant que diplôme du freluquet (psychopathe pervers narcissique) pour chaque fadaise qu’il débitera…

    • Bon Dieu Kabout mais où allez vous les chercher ? Je me suis encore payé une belle muscu pour zygomatiques !

  3. Macron LE decivilisationneur. Ou L’euthanasie de la France

1 Rétrolien / Ping

  1. Macron, parfait exemple de décivilisation | Espace détente, poésie, judaïsme et lutte contre la désinformation

Les commentaires sont fermés.