Macron prétend défendre les femmes, mais fait l’éloge de l’islam

Emmanuel Macron veut faire de l’égalité entre les hommes et les femmes “la grande cause du quinquennat” et promet un arsenal répressif contre les auteurs de violences faites aux femmes.

Noble combat qui mérite tout notre soutien, tant notre pays s’enfonce dans “l’horreur et la honte”.

123 femmes ont succombé aux coups de leur partenaire en 2016.

“La France ne doit plus être un de ces pays où les femmes ont peur”, a dit notre président, en fixant les 3 priorités de son action, éducation en faveur de l’égalité, soutien aux victimes et répression accrue.

Le scandale Weinstein ayant provoqué une onde de choc mondiale, Emmanuel Macron veut “se battre pour l’égalité non négociable entre les deux sexes”, tout en rappelant que chaque rapport entre hommes-femmes ne doit pas devenir suspect. 

Ce sont 225.000 femmes qui ont été victimes de violences physiques ou sexuelles de leur conjoint, dont moins d’une sur cinq a déposé plainte.

Le harcèlement de rue sera sanctionné par une “amende dissuasive”.

L’âge minimum pour consentir à un rapport sexuel sera fixé à 15 ans.

La lutte contre les excisions clandestines mutilant les jeunes filles immigrées sera renforcée.

Les dépôts de plainte pour violences,  harcèlement ou discrimination, seront facilités dans les commissariats et les gendarmeries.

La lutte contre la pornographie sur internet sera intensifiée.

Tout cela va dans le bon sens, évidemment.

Mais on est très très loin du compte.

Car notre Président s’est bien gardé de faire le lien entre l’immigration musulmane et l’explosion du sexisme dans notre pays.

Quid des mariages précoces  et des mariages forcés ?

Quid des répudiations et de la polygamie ?

Car ces fléaux, bien qu’interdits par la loi, sont bien présents dans notre pays et l’islamisation permanente de la société n’arrange rien.

Tout le monde sait bien que la charia de fait s’est installée dans les quartiers, comme en Angleterre. La charia civile s’entend, pas la charia pénale, évidemment. Les mariages religieux clandestins célébrés par les imams sont légion.

Et  combien de polygames dans notre pays ? Aucun président n’a voulu savoir. 30 000 ? 50 000 ? Encore davantage ? C’est l’omerta pour ne pas effrayer le contribuable ou le paysan qui travaille 15 heures par jour pour 350 euros par mois.

Combien nous a coûté le célèbre polygame de Bobigny, avec ses 4 femmes et ses 46 gamins ? Combien en RMI, allocations familiales et aides aux parents isolés ?

Car les 3 épouses non légitimes en droit français, sont considérées comme parents isolés et perçoivent donc des prestations majorées.

Sarkozy évacuait la question, se contentant de dire que la polygamie était interdite en France, ce qui est totalement faux.

Elle est parfaitement légale quand les mariages ont été contractés à l’étranger.

N’importe quel immigré peut faire venir ses quatre femmes dans le cadre du regroupement familial.

Quand un polygame a  4 femmes et 46 enfants, comment espérer éduquer ces derniers, alors que l’exemple du père, qui ne travaille pas compte tenu de ses confortables prestations sociales, est un modèle pour tous les hommes de son village au Mali ?

Il est l’homme qui a réussi, le modèle à suivre  pour des millions d’Africains qui crèvent de faim dans leur pays avec 300 euros par an, mais aussi un modèle pour ses enfants !

On ne peut pas prétendre défendre la femme tout en faisant l’éloge de l’islam.

Petit rappel sur le Coran et les femmes :

Sourate 4, verset 34

“Les hommes ont autorité sur les femmes à cause des préférences de Dieu et à cause des dépenses des hommes. Les vertueuses sont dociles, elles protègent ce qui doit l’être selon la consigne de Dieu. Celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, reléguez-les dans leur chambre, frappez-les, mais si elles vous écoutent ne les querellez plus, car Dieu est sublime et grand.”

Ce qui n’empêche pas  Christophe Castaner de nous dire aujourd’hui :

“Certains, au nom de l’islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n’a rien à voir avec ce qu’est la religion de l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique“.

Oui, monsieur Castaner, en Arabie, pays des Lieux Saints de l’islam, pays de référence pour tous les musulmans sunnites, les femmes s’éclatent.

La lapidation et la flagellation c’est le grand bonheur.

“Le ministère de la vertu a arrêté une femme qui était au volant et l’a condamnée à 25 coups de fouet sur la place et dix pierres de lapidation pour avoir conduit une voiture dotée d’un GPS…à la voix masculine….pour lui indiquer le chemin. “ Un chemin de débauche certainement“, selon le ministère.

“Une Saoudienne a été condamnée à 6 mois de prison et 200 coups de fouet. Son crime ? Avoir été violée par un groupe d’hommes et l’avoir raconté dans les médias. Un acte indécent pour le pays.” Figaro du 12 janvier 2016.

Elle est belle la religion d’amour !

Restaurer l’égalité hommes-femmes en France va bientôt devenir mission impossible, tant le mal est profond.

Car c’est en France que le wahhabisme étend sa toile. Et que fait le gouvernement ? Il copine avec l’Arabie.

Quand un chauffeur de bus refuse de conduire derrière une femme, quand un salarié refuse de serrer la main d’une collègue femme, quand des lycéennes sont interdites de piscine par leurs parents, ou quand un mari refuse que sa femme malade soit examinée par un médecin homme, autant d’absurdités qui étaient inexistantes avant l’immigration  extra-européenne, et sur lesquelles nos politiques sans courage ont fermé les yeux pendant 30 ans, il est bien tard pour réagir.

Elisabeth Badinter a parfaitement raison de dire qu’on assiste à une véritable “régression” des droits des femmes “dans certains quartiers”, où les imams “les plus rétrogrades ont gagné la partie”.

La beurette qui portait minijupe et décolleté il y a 20 ans, fière de son émancipation par rapport à sa mère ou sa grand-mère, s’est transformée en femme fantôme sous le niqab. Les barbus et les grands frères veillent.

Après tant d’années de lutte pour acquérir leur liberté et l’égalité des droits, jamais les femmes n’ont connu une telle régression de leurs conditions de vie.

C’est cela la société multiculturelle paradisiaque.

Jacques Guillemain