Selon le site officiel service-public.fr, l’apologie du terrorisme consiste à « présenter ou commenter favorablement des actes terroristes ». Cette infraction se distingue de la provocation directe au terrorisme qui consiste à inciter à commettre des actes terroristes. Les peines encourues sont de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende, mais elles sont portées à 7 ans de prison et 100 000€ d’amende si les propos ont fait l’objet d’une mise en ligne via un site internet, car cela est considéré comme une circonstance aggravante. Christine Tasin, devait répondre de ses actes devant la Xe chambre correctionnelle du tribunal de Paris, ce mardi 3 décembre 2019.
Le grief retenu par le parquet à l’encontre de Christine Tasin, suite à un signalement du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) ne portait que sur la première infraction : « apologie du terrorisme ». Le propos litigieux est un article paru le 20 juin 2017 sur le site de Résistance Républicaine. Mme Tasin est mise en examen en qualité d’auteur et de directrice de publication. Le contexte est important : on était au lendemain de l’attentat de la mosquée de Finsbury Park, au nord-est de Londres. Un certain Darren Osborne, au volant d’une camionnette avait foncé sur un groupe de fidèles qui portaient secours à un des leurs, suite à un malaise, aux abords de la mosquée. Mais au moment où l’article a été écrit, on ne savait rien sur les circonstances de cet attentat et toutes les hypothèses étaient permises.

Acte 1 : faites entrer l’accusée !
C’est l’ouverture de l’audience qui a déjà été reportée deux fois, car le Collectif contre l’islamophobie en France, pourtant à l’origine des poursuites, n’était jamais prêt. Malgré un appel par internet à un rassemblement sur le parvis du nouveau tribunal de Batignolles contre les vilains racistes, les soutiens se limitaient à quelques personnes dans la salle, dont une femme voilée. Un groupe scolaire avait choisi d’assister à cette audience, et ils ont bien fait car le débat soulevait des questions de société non dépourvues d’intérêt, comme l’indépendance de la justice par exemple…
Le juge rapporteur ouvre la séance et pose quelques questions sur les éléments de personnalité. Après avoir décliné son identité et détaillé ses ressources, Christine Tasin explique son combat contre l’islamisation de la France. On rappelle charitablement ses condamnations en omettant de dire que pour certaines, les voies judiciaires ne sont pas toutes encore épuisées.
Dans cette affaire, le parquet avait diligenté une enquête préliminaire dont il ressort que l’article incriminé publié le 20 juin 2017 a été retiré peu de temps après. Christine nous explique que cet article était un brouillon et qu’il a été publié par inadvertance par un collaborateur. « Je voulais faire un article complet sur la perception des attentats (…) Je l’ai retiré pour y revenir. Mais lorsque j’ai appris qu’il y avait une plainte contre moi, j’ai laissé les choses en l’état ». Sur l’objectif de l’article. Christine Tasin nous explique qu’il s’agissait pour elle de montrer que la multiplication des attentats islamistes risquait de conduire des tas de gens à commettre aussi des attentats et que des personnes « pouvaient péter les plombs ».
Tenter de comprendre ne veut pas dire « pousser à » ! Elle s’étonne que M. Macron ne soit pas poursuivi pour apologie du terrorisme alors qu’il avait lui aussi commenter l’attentat du Bataclan « en essayant de comprendre comment des individus avaient pu en arriver là ».
Dans le jeu des « questions/réponses », Christine Tasin brille par sa détermination : pas question de se laisser intimider !
Celles du procureur portent sur le site internet de Résistance Républicaine : « Quel est le nombre de visiteurs et quelles sont vos ressources financières ? » On voit où il veut en venir : mesure l’ampleur des « dégâts » ! Puis il jette ses dés : « je ne suis pas satisfait de vos explications : votre publication ressemble à un article très bien construit ».
Celles de maître Ouadie Elhamamouchi, le conseil du CCIF sont plus vicieuses : il s’agit de mettre Christine Tasin en porte-à-faux par rapport à l’institution judiciaire. « Répétez ce que vous avez dit devant l’École de la magistrature à Bordeaux ! Et bien moi, je vais vous le dire : « à cause de la loi Pleven, les magistrats sont des collabos et des tueurs de la France … » ».
Le président du tribunal prend la parole pour dire qu’il a du mal à comprendre que le site de Résistance Républicaine soit mal contrôlé. Mais le tout sans agressivité. On sent chez cet homme une forme de respect du justiciable, ce qui n’est hélas pas toujours le cas dans les nombreux procès auxquels nous avons assisté et Renaud Camus ne pourra pas nous contredire !
Acte 2 : les avocats du CCIF passent à l’attaque.
Bien qu’ayant demandé quatre heure d’audience, l’intervention de Ouadie Elhamamouchi est assez courte, à vrai dire peu convaincante et assez peu argumentée sur le plan juridique. « Christine Tasin est plus courageuse derrière son ordinateur qu’à la barre, car elle n’assume pas ses écrits », lance-t-il à l’auditoire. Il tente d’expliquer que les propos des articles incriminés visent à une double glorification : celle de Darren Ostborne, auteur de l’attentat de la mosquée de Finsbury Park et celle de l’acte lui-même.
Puis, reprenant un reproche déjà adressé pendant l’interrogatoire, il accuse Christine de complotisme, une manière assez grossière de tenter de la situer à l’extrême droite.
Puis il revient sur trois éléments qui seront récurrents au cours des débats : l’allusion au 18 juin 1940, Charles Martel et la Reconquista, autant de marqueurs historiques qui, selon lui, éclairent l’état d’esprit de Mme Tasin. Après s’être maladroitement avancé sur le terrain du « terrorisme catholique », faisant allusion à l’IRA, il réclame 5 000 € au titre de préjudice subi par le CCIF.
Sa collègue avocate (et oui, ils étaient deux !) revient sur l’article qui, selon elle, présentait Ostborne sous un jour favorable. « On aurait pu avoir un article en demi-teinte ». Elle cite divers articles publiées sur le site de Résistance Républicaine, pour « éclairer » le tribunal sur les intentions islamophobes de Mme Tasin. Enfin, elle tente de donner une image rassurante du CCIF « qui collabore avec de nombreuses instances officielles ».
Acte 3 : le procureur de la République, censé défendre les intérêts de la société, prend la parole.
Grand seigneur et sûr de lui, il commence par des précautions oratoires mielleuses mais qui ne trompent personne : « on est seulement ici pour l’article du 20 juin 2017 » (sous-entendu et non pas pour ceux cités par l’avocate du CCIF). Puis il ajoute : « personne ne cherche à restreindre votre liberté d’expression ». Merci du peu ! Puis il passe à l’attaque ! « Mais la liberté d’expression a des limites et c’est une garantie pour notre démocratie (…) Le tribunal devra dire si l’infraction est constituée et si oui, quelle est la peine à prononcer ». Pour lui, ça ne fait aucun doute : l’acte terroriste est bien réel (attentat à la mosquée de Finsbury Park) et il est présenté par Mme Tasin comme digne d’éloge, puisqu’il se réclame de grands moments de l’histoire de France et d’Europe : Charles Martel, l’appel du général de Gaulle du 18 juin 40 et la Reconquista. Il lance « l’article est bien construit, la thèse du brouillon ne tient pas. Personne ne croit qu’il y a un tiers en cause (..) et puisque Mme Tasin, malgré ses nombreuses condamnations, ne semble pas comprendre, je demande six mois de prison dont deux avec sursis et 5 000 € d’amende ». En clair, cela fait quatre mois ferme ! Effarement dans la salle, mais à vrai dire, nous nous y attendions un peu, car on voyait bien que le parquet voulait taper fort ! Sans doute des instructions venues de plus haut ! Tout récemment, le procureur d’Auch avait requis trois mois de prison avec sursis à l’encontre de Renaud Camus.
https://ripostelaique.com/proces-renaud-camus-accuse-de-preferer-la-guerre-a-la-soumission.html
Acte 4 : la défense n’a pas l’intention de se laisser intimider.
Maître Frédéric Pichon rebondit sur la liberté de critiquer un texte législatif : « c’est un droit de considérer qu’une loi est une mauvaise loi » lance-t-il. En l’espèce, il faut rappeler la genèse de la loi sur l’apologie du terrorisme qui vise sa cliente. Cette infraction a été détachée du régime plutôt protecteur de la loi sur la presse de 1881, précisément dans le but se soustraire le justiciable à cette protection. Ceci s’est fait à la suite des attentats de 2015. Le délit d’apologie du terrorisme est devenu autonome, ce qui a permet de prononcer des peines de prison et pas simplement des amendes.
Le conseil de Christine Tasin s’enflamme contre les réquisitions exorbitantes du parquet. Il rappelle que le parquet n’avait réclamé à l’encontre de Nick Conrad que 5 000 € avec sursis alors qu’il appelait à « pendre les bébés blancs ». Ce qui ne l’a pas empêché de récidiver peu de temps après. Il fait remarquer que sa cliente n’est poursuivie ni pour incitation à la haine, ni pour incitation au terrorisme.
Puis il revient sur l’article incriminé qui « doit être apprécié dans sa globalité ». « Se mettre à la place de quelqu’un, c’est l’essence même du métier de journaliste ou d’avocat (…) Je peux comprendre le passage à l’acte d’un activiste de l’IRA, d’un Palestinien, ou d’un Irakien qui a vécu des moments traumatisants ». Cela ne veut pas dire pour autant que je glorifie cette violence ! (…) Ne tombons pas dans les procès d’intention ! (…) Il y a des situations où les déterminismes sont forts, où le désir de vengeance peut se comprendre ». Il évoque la souffrance de Patrick Jardin, dont la fille a été assassinée au Bataclan. Il reprend des passages du texte de Christine : « ils l’auront voulu, PAS NOUS », montrant ainsi qu’il y a bien une distanciation de la part de sa cliente, dans ses prises de position.
Il cite deux arrêts de la Cour européenne des droits de l’homme, qui ont condamné la France pour avoir fait un usage abusif du concept d’apologie : d’une part l’arrêt Lehideux et Isorni contre France du 23 septembre 1998 et l’arrêt Aussaresses contre France, qui conclut que reconnaître la torture ne signifie pas en faire l’apologie.
Il cite encore les déclarations de la nouvelle tête de liste d’Europe Écologie Les Verts, Julien Bayou qui se vante publiquement d’avoir eu une mère « porteuse de valise » pendant la guerre d’Algérie : pour le coup une apologie manifeste du terrorisme du FNL, qui semble n’avoir fait tousser personne, en tout cas pas le parquet !
On aurait pu aussi citer la déclaration d’Emmanuel Macron qui, le 1er novembre dernier, s’est cru obligé de commémorer l’anniversaire du déclenchement des attentats sanglants du FNL contre la France (dans lequel Guy Monnerot, un instituteur militant trouva la mort), semblant au passage ignorer que la fête de l’indépendance algérienne n’est pas le 1er novembre mais le 5 juillet ! Alors deux poids deux mesures dans le déclenchement des poursuites ? N’est-ce pas le signe d’une justice politique ?
Avant de demander la relaxe de sa cliente, Frédéric Pichon demande au tribunal de juger irrecevable la demande en réparation du préjudice, au motif que « la recevabilité de l’action civile est subordonnée à l’existence d’un dommage issu directement de l’infraction poursuivie », ce qui en l’espèce n’est pas le cas.
Enfin il conclut sur une note très politique à l’encontre du CCIF qu’il qualifie de proche des Frères musulmans et sachant parfaitement jouer de la taqîya. Il rappelle que la CCIF a récemment été débouté de sa demande en première instance et en appel pour sa plainte à l’encontre de Judith Wainstraub, journaliste au Figaro qui l’avait décrit comme « une officine salafiste, au service d’une tentative d’islamisation de la France ».
Acte 5 : Christine Tasin revient à la barre pour un dernier temps de parole.
Elle cite les propos de plusieurs responsables politiques : Manuel Valls qui déclare le 16 novembre 2015 que « nous sommes en guerre » , Michel Delpuech qui dit, à Lyon que « Daesh a déclaré la guerre à la France. Enfin Bernard Cazeneuve qui déclare que la thèse développée par le CCIF doit être combattue (thèse selon laquelle, suite aux attentats, la France était « un goulag pour les musulmans »).
Elle rappelle la citation mémorable de Marwan Muhammad à la mosquée d’Orly : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française ».
Elle fait référence à des articles qu’elle a publiés pour Résistance Républicaine, dans lesquels elle dénonce les actes de terrorisme : « s’en prendre aux musulmans, explique-t-elle, serait la dernière des choses à faire ! » Puis se tournant vers le procureur, elle lance : « avec des hommes comme vous, qu’est-ce qu’ils doivent se marrer les djihadistes ! »
Le président clôt la séance et nous informe que l’affaire est mise en délibéré. La salle se vide dans le calme ! Nos collégiens et leur professeur auront pas mal de choses à raconter dans les écoles de la République !
Verdict le 4 février à 13 h 30.
Hector Poupon
Soutien à Madame Tasin
Pour commencer, il faut arrêter de dire “la Justice” quand on parle de cette organisation stalinienne.
Ce n’est, je le répète, que PAR HABITUDE ET PAR IGNORANCE que les gens continuent à utiliser ce terme sans rapport avec la réalité – et meme diamétralement opposé à celle-ci.
Moi-même, depuis plusieurs années, je dis systématiquement “l’institution judiciaire” et je demande à toutes les personnes autour de moi d’en faire autant.
Les mots ont un sens et permettent, à la longue, une prise de conscience.
Vous avez raison, je vais faire comme vous.
Une justice à faire pâlir la Corée du Nord! Très efficace, subtile, insidieuse, elle détruit psychologiquement et financièrement tout individu qui ne pense pas comme le régime, et ce sous couvert de la LOI. Bien vu. Aucune torture physique. Mais, au fait, l’école de la magistrature est implantée dans quel pays?
La LOI en Iran punit les femmes qui enlèvent leur tchador ou dansent cette danse rythmée appelée “shuffle”qui déplaît aux mollahs puritains qui préfèrent le mariage temporaire avec des petites filles.
La LOI punit en Arabie Saoudite les femmes qui sortent de leur maison sans l’autorisation d’un mâle,fût-il leur fils de 11 ans si pas d’autre mahram disponible.Alors quelquefois la loi….Le bon sens peut y être supérieur.
Si Christine est condamnée – ce qui n’est pas encore le cas – pourra-t-elle faire appel ? et je ne vois pas comment l’appel pourrait donner une peine plus réduite étant donnée que la défense m’a parue parfaite, il n’y a rien à plaider de mieux, enfin je n’ai pas tous les éléments …
Oser dire qu’elle fait “l’apologie” du terrorisme est un peu fort de café !
Ses écrits dans RR et RL démontrent tout le contraire.
Les Mots ont perdu toute valeur avec le Ministère de la Vérité.
Une seule solution ? “Fermez- là” !
“La Vérité sort de la bouche des enfants…. de France” !
👍👍👍👍👍👍
Allons, allons !! Chers amis, nous devons faire confiance à la justice de la ripoublique.
Veuillez m’excuser mais je ne peux mettre de majuscule qu’à “France” mais pas à cette horreur qu’est devenue notre ancien Royaume.
Tous les régimes totalitaires ont pris le pouvoir et étendu leurs noirs manteaux de l’horreur parce qu’une minorité agissante a réussi à justifier leurs exactions grâce à une fraction de traîtres et une énorme majorité d’idiots utiles ou de niais…
C’est ce qui nous arrive aujourd’hui ; tout le monde le sait, y compris l’Armée, mais personne ne fait rien !
De Gaulle, avant de nous niquer profond avec l’Algérie a organisé, du moins pour la version officielle, la résistance depuis Londres.
Ma chère Christine, ne penses-tu pas que tu pourrais avec Pierre aller t’installer un peu au soleil ? Tiens, au hasard, Israël, c’est un pays sympa qui sait comment causer à ceux qui lui veulent du mal, et puis tu nous serait bien plus utile en liberté là-bas qu’enchristée ici hein !
Enfin j’aurais aussi bien pu te proposer le Pakistan…
Hum…
…tu nous “seraiS” évidemment !
Dis Cyrano, on a récupéré les commentaires, c’est quant que tu nous remets la touche “éditer” hein ?
Juges et Magistrature collabos islamistes, ces mêmes juges et magistrats crachent sur les morts du Bataclan, les morts de Nice, les morts des attentats du mois de Novembre 2015, ils profanent psychologiquement les tombes des chrétiens, allez savoir si le Qatar ne financerait pas ces juges et Magistrats pour alléger les peines des racailles et des terroristes islamiques, ce ne serait pas surprenant et pour ceux qui aiment le PSG et le foot en général vous cautionnez le terrorisme du Qatar que cela vous plaise ou non, LE QATAR doit être viré de notre pays…
Une grave carence intellectuelle des juges rouges pour qui le mot « apologie » est pris à contre sens de sa signification académique.
Sa définition est pourtant simple : “Discours ou écrit visant à défendre, à justifier et par extension à louer une personne, une doctrine.”
Ce qui est étonnant, absurde, écoeurant et abject c’est que le simple fait de dénoncer de la haine, des violences, des tortures et des faits de guerre monstrueux peut vous envoyer devant la justice pour « apologie du terrorisme. »
Donc, pour nos magistrats peu intelligents et pas très cultivés (le niveau a terriblement baissé depuis une quarantaine d’années), dénoncer le terrorisme revient à le glorifier…
Mais le vrai sujet, aujourd’hui, c’est l’atteinte à toute liberté de parole.
C’est normal en France puisque les français par leur inertie, leur manque d’engagement, leur j’menfoutisme, leur excès d’individualité, leur distance par rapport au nationalisme et au patriotisme, leur manque de connaissance de l’histoire, leur acceptation de l’inacceptable, le refus de se lever, préférant rester à genoux….Comment un peuple comme celui-la, plus grande gueule que combattant va-t-il s’en sortir ? Le peuple français participe à un véritable dîner de con ! Il est grand temps de vivre debout de faire ce qu’il faut pour renverser la vapeur ! Mais comme la grenouille qui s’habitue progressivement à la douce chaleur ses forces s’amenuisent avant qu’elle ne finisse par être complètement cuite ! Je crains en effet que le dindon de la farce soit devenu cette grenouille !
Quelle bonne femme rare, notre Christine, ! quelle détermination et quel courage!.
(Le terme bonne femme est à prendre bien sûr au sens premier de bon, de vrai)
comme on disait chez nous; dame! une sacrée bonne femme!
J’ai autour de moi des bobos (enseignants en fac, de gauche) qui légitiment les tueries des muslims en prétendant qu”ils font la même chose que les cathos quelques siècles auparavant.
Ils prétendent qu”avec le temps cela va se tasser.
Ils précisent que si nous en sommes là c’est parce que nous les avons abandonnés et qu”ils ont été récupérés par les intégristes.
Pourrait on avoir un argumentaire détaillé sur le sujet car je me sens seule dans ces échanges.
nous ne les avons pas abandonnés, ils ont décidé parfois par la guerre, parfois non, de reprendre leur destin en main. (les chinois les vietnamiens, les indiens aussi)
devant les intégristes musulmans ils n’ont qu’à faire comme nous : les accepter, car avec le temps tout va s’arranger….n’est ce pas ?
@ Martine, C’est très grave ce que vous nous faite part: des enseignants en fac de gauche qui légitiment les tueries, du moins les attentat des musulmans, donnez moi l”adresse de cet FAC, je vais m’occuper de leurs cas…
Martine A mon humble avis (car j’ai déjà creusé le sujet) leur dire d’abord que c’était justement “il y a quelques siècles” et que nous sommes en 2020…Mais que justement l’Islam est intemporel et ne veut aucune transformation ou évolution. Que si tout le monde avait lu “Mein Kampf” dès sa parution, les gens se seraient mieux rendus compte de la dangerosité d’Hitler et qu’il faut lire le Coran. (liens internet sur certaines pages les plus violentes) Ecouter Zemmour qui justement a donné son avis hier soir sur sur ce soi disant “abandon” de notre part. Leur parler de témoignages très instructifs ( Ghislaine Dumesnil, Bernard Ravet, etc..)Il y a mille choses à faire mais je vous avoue que c’est plutôt décourageant car,la plupart du temps,on ne peut convaincre que les convaincus.ou presque
Martine,
Je ne suis pas réputé sur ce site pour être un exemple de politesse et je vais vous le confirmer :
– Dîtes à ces putains de dhimmis qu’ils arrêtent de sucer les muzz et qu’ils aillent expliquer ça aux cpf dans les cités avec leurs parures Cartier et leurs coupes bobos.
Dîtes-leur que quand leurs gamines serviront de putes à ces véroles et qu’eux-même devront payer pour avoir le droit de vivre, ils commenceront à comprendre ET SURTOUT Martine, restez DROIT DANS VOS BOTTES, c’est vous qui avez raison ! Ne leur laissez jamais le dernier mot, avec les gauchiasseux, c’est toujours le dernier qui cause qui a raison et montrez-leur que vous les conchiez, que vous avez pas du tout l’intention de baisser pavillon et proposez-leur éventuellement d’inviter Patrick Jardin, il SAIT lui !!!
à MARTINE : je vous suggère d’aller sur le site des Identitaires car ils proposent des argumentaires. Il suffit d’aller dans leurs archives ou de simplement leur demander. Je suis certaine que vous obtiendrez ce que vous recherchez.
Toujours ce vieux truc des gauchistes : accuser les “cathos” d’avoir commencé dans le mal et d’avoir fait plus de mal que tout le monde. Une falsification de l’histoire et un mensonge de plus, comme toujours avec la gauche – cette idéologie reposant elle-même uniquement et entièrement sur le mensonge.
Dites simplement ceci à ces connards de professeurs et cathédrants aux poches bourrées de diplômes mais à la cervelle complètement vide :
Le christianisme a pu être sanglant les quelques fois où il s’est écarté de ses Textes, l’islam l’a été à chaque fois qu’il s’est rapproché des siens (c’est-à-dire tout le temps…).
Se soumettre à cette justice est déjà une faute de la part de celui qui est victime de cette justice idéologiquement acquise à la gauche.
Il faut refuser ce genre de démarche, certains osent le faire et tenir tête à cette “magistrature” qui ne représente plus la justice en France, mais simplement leur façon de voir et d’interpréter les affaires, je l’ai lu il n’y a pas si longtemps dans un journal.
Ces magistrats se mettent d’eux-mêmes hors jeu dès lors qu’ils sont syndiqués ou qu’ils affichent leur orientation politique.
Il faudra tout de même bien qu’un jour, le peuple se révolte contre toutes ces mascarades.
Le plus tôt sera le mieux.
On fait un procès de type stalinien à Christine
Tasin ;heureusement, la partie adverse semble
assez nulle et les raisons de la poursuite bien embrouillées. Au final ;peut-être en appel, la relaxé s’imposera.
Bravo Madame, vous défendre c’est nous défendre tous………
Je sens que les guillotinés vont reprendre rapidement du service contre les traîtres a la patrie en danger !
Juste bien les graisser, afin d’éviter la surchauffe ! Il y a tant à faire.
le fachisme mussolinien prévoyait
1) baillonner les opposant
2) les embastiller s”ils ne comprenaient pas
3) alors les faire taire ad vitam aeternam!
on en est où en france du fachisme?
Y LAREM, y LAREM…
Christine, vous incarnez le courage dans un État qui a perdu toute sa raison. Tenez bon, la roue tourne, et ces traîtres à la France devront très bientôt répondre de leurs actes.
L’ecoeurement est a son comble devant ces méthodes fascistes visant à faire taire les résistants d’aujourd’hui. Ces procureurs sont violents, car de telles attitudes, c’est de la violence. Mais ce genre de violence se retournera contre eux, soyez en sûre. Le peuple est en colère, que ces mauvais magistrats la craignent.
Nous savons aujourd’hui que nous avons à faire a des procès politiques, donc truqués. Qui ne s’est extasié sur leur brillante dénonciation via 2 films magnifiques portés par le grand Yves Montand, l’un sur un procès politique dans une dictature d’extrême gauche (l’Aveu), l’autre d’extrême droite (État de siège). Eh bien la France est entrée a son tour dans le totalitarisme. Attendons le réalisateur (étranger, bien sûr puisque le dénoncer en France conduirait à un autre procès politique) qui mettra en lumière les méthodes immorales de ces magisteats ayant oublié la définition du mot justice. Courage, Christine, le pouvoir tremble, ébranlé sur ses fondations qu’il a lui -même sapées. Ce n’est pas sa violence qui le sauvera, bien au contraire.
J’ai perdu Montand, mais je suis pas l’seul !
Bon il était un très bon acteur, c’est certain, mais quelles idées politiques de merde quand-même !!!
* La CEDH se transforme en haute autorité sunnite : Mohamed n’est pas pédophile , même si les hadiths disent le contraire !
26/10/2019 L’ABBÉ PAGÈS – LA CHARIA À LA CEDH (VIDÉO)
la CEDH a confirmé la condamnation par la justice autrichienne de Mme Elisabeth Sabaditch Wolf, coupable d’avoir rappelé ce que les traditions musulmanes elles-mêmes rapportent de la défloration par Mahomet, âgé de 54 ans, de Aïcha, âgée de neuf ans.
https://www.islam-et-verite.com/la-charia-a-la-cedh-labbe-pages-a-losce-septembre-2019/
L’argument de ‘accusation est monstrueux !
Postez tous (et toutes) cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=JvsAB29iPmg&feature=youtu.be et demandez à être appelé devant le juge pour apologie de la prévarication…
Mieux : montrer des images de la shoah et vous serez accusée d’apologie du nazisme, telle est la logique de l’accusateur publique !
Avec cette régression amenée par l’islam, nous voilà revenu aux temps de l’Inquisition et e la chasse aux sorcières…
En Europe, la chasse aux sorcières connaît son paroxysme de 1560-1580 à 1620-1630, pour se terminer vers 1680. On parle de 100’000 procès, avec 70 à 80’000 exécutions pour lesquelles 70% des condamnées sont des femmes.
L’inquisition (aujourd’hui les associations de type CCIF et Licra) instruit les dossiers (aujourd’hui et la justice laïque poursuit en sorcellerie car l’Eglise ne dispose pas du droit de glaive…
Des musulmans massacrent au Ba Ta Clan , à Charlie Hebdo , à Nice , à Marseille ( 2 jeunes filles égorgées ) ……Serait-t-il incompréhensible que les familles des victimes réagissent par la violence ?
Ce sujet a é(é magnifiquement traité par Ingmar Bergman dans le film ” La Source ” .
Il faut défendre les courageux Camus , Tasin , Zemmour , Finkelkraut , Zineb , et tant d’autres – HEUREUSEMENT !!!!!!!