Mahomet et les mathématiques

Au paradis des vaches…

…point de mouches mais bien l’herbe la plus tendre, tandis que le paradis des mouches, on s’en doutera, est plein de vaches. De même, le paradis des chats fourmille de souris, alors qu’on chercherait vainement ne fût-ce qu’un seul chat au paradis des souris, par ailleurs plein de fromages plus alléchants les uns que les autres. De même, le paradis des musulmans [1] est bourré de bonnes choses… – de là à dire que la théologie musulmane et la théologie vache se ressemblent étrangement, il n’y a qu’un pas qu’il est permis de franchir allègrement, vu que Dieu [ou Yahwé [2], ou Numbakula, ou Manitou, ou Boaitjia, ou Viracocha, ou Allah [3]  –  …] n’est qu’une hypothèse non prouvée/prouvable, tandis que les religions, elles, ne sont à tous les coups que des constructions humaines dont l’utilité primaire (dont question plus loin) est sociale, et donc, traditionnellement, tout est “religieux”, cf Mircea Eliade, p. ex. Mythes, rêves et mystères, folio essais, Paris 1957, p. 229: “Mais, répétons-le, tout ceci a une signification religieuse (…) L’union sexuelle et l’orgie sont des rites (…); ou encore Le sacré et le profane, Gallimard, Paris 1965, p. 11: “Certes, pour faire mieux ressortir les catégories spécifiques d’une existence religieuse de type archaïque et traditionnel (…), nous n’avons pas insisté sur certains aspects aberrants et cruels comme le cannibalisme, la chasse aux têtes, les sacrifices humains, les excès orgiastiques, que nous avons d’ailleurs analysés dans d’autres travaux.” Là-dessus Nietzsche : “Comment aujourd’hui un théologien (…) peut-il encore avoir bonne conscience, voilà qui pour moi est incompréhensible”, p. 452 des Nagelaten fragmenten – Deel 5  (Fragments inédits – Vol. 5), Uitgeverij Sun, Amsterdam 2007. Il faut dire que Nietzsche parlait des vaches avec beaucoup de respect: “Si (…) nous ne devenons pas comme les vaches, nous ne pouvons pas entrer dans le royaume des cieux” (Ainsi parlait Zarathoustra, Le livre de poche 987/988, 4e trim. 1967, p. 306).

Le groupe “Inârah”

Dans mes précédents articles, de nombreuses références furent faites aux publications, chez le Schiler Verlag Berlin, de ce groupe basé à Sarrebruck (http://inarah.de/, cliquer “English” puis “Français” [4] ). Puis, étant tombé gravement malade, je n’ai pu acquérir qu’il y a peu les 3 volumes les plus récents.

Les mathématiques

Or, dans le tout dernier volume, “Die Entstehung einer Weltreligion IV” paru en 2017, se trouve en pp 851 sq un passage de Jean-Jacques Walter  disant que “le qor’ân eut au moins trente auteurs, au maximum cent, plus probablement une cinquantaine.” Il faut insister sur le fait qu’il a fait usage, là, d’ une discipline mathématique, ainsi nommée “Code theory” qui(…) rend possible le fonctionnement des ordinateurs, de l’internet, de la compression d’images pour photos digitales, de la réception TV à canaux multiples et de beaucoup d’autres technologies indispensables au monde moderne. (…) En menant mes recherches pour ma thèse, j’ai fait usage de cette branche de la ‘code theory’ qui s’applique aux textes écrits. Elle s’appelle Analysis of Text Data (ATD). […] Le nom de ‘Mahomet’ fut introduit dans le qur’ân par un seul auteur, distinct des autres auteurs ayant contribué au texte. ‘Mahomet’ fut mentionné pour la première fois 60 ans après sa -” (prétendue) “mort, mais un seul artéfact d’avant le 9e siècle – (= l’inscription au dôme du rocher analysée par Luxenberg [5]) – dit qu’il fut un prophète. […] Il n’est habituellement dépeint comme prophète fondateur de l’islam, supérieur à tous les autres, qu’après au moins 200 ans ayant suivi sa -” (prétendue) ” – mort.” S’agissant là de mathématiques, “il est impossible d’à la fois utiliser une TV, un ordinateur, une voiture, les services d’une clinique etc, et de soutenir que “Mahomet” a existé et que le qor’ân fut de lui. De deux choses l’une.”

Par ailleurs, je fus grandement rassuré [6] par une intervention d’ Albert Gam qui donc, le 14 sep 2017 à 17:06, me fit réaliser que non seulement les 8 volumes – en allemand – du groupe Inârah traitent des dernières recherches en islamologie, mais qu’en français également, il y a moyen de se renseigner, même si les 5473 pages desdits volumes sont et de loin plus complètes :

Oui.

Tout est dans le livre Le Coran révélé par la Théorie des codes (Studia Arabica n°XXII)’ de Jean-Jacques Walter aux Editions de Paris… (thèse de Doctorat soutenue avec succès et publiée en juillet 2014) [et cætera].

En tout cas, la réflexion d’un intervenant “que Mahomet ait (sic) existé ou pas ne change rien aux données du problème auquel nous sommes confrontés avec l’Islam aujourd’hui” ne pouvait qu’appeler la réponse suivante : “Au contraire, cela change tout puisque tous les musulmans, et pas seulement les jihadistes, se réfèrent continuellement à leur fameux ‘exemple à suivre’, qui d’ailleurs fait partie de la shahada (profession de foi).

Or donc: Pas de ‘Mahomet’ = pas d’exemple = rien à suivre.

Le principe d’égalité

Reste cette fameuse égalité devant la loi. Or, la devise de la République mettant bien en exergue ce mot, il ne devrait y avoir aucun aucun problème à enseigner la vérité mathématiquement prouvée de la “Korankritik” sur un pied d’égalité parfaite avec la “Bibelkritik” et ce, dans le cadre des cours d’histoire générale : s’agissant là de sciences, une démocratie digne de ce nom est en effet dans l’obligation absolue de faire accéder tous les élèves à ce niveau élémentaire de scientificité, peu importe leur orientation politique ou religieuse. En effet, n’enseigner que des sciences “politiquement correctes” reviendrait à introduire, dans les sciences, le même principe funeste qui prévaut en ce moment en politique. Or et heureusement, le “corpus scientiarum” est Un (qui veut des médicaments doit vouloir la méthode de datation par carbone 14) tandis que, heureusement aussi, le “corpus politicum” n’est pas Un mais multiple.

Or, le plus cher désir des musulmans en général, et des jihadistes en particulier, est justement de faire en sorte que le corpus politicum devienne Un lui aussi.

Au vu de la censure actuelle [7], peut-on croire que c’est précisément là le but également recherché par nos “élites”? Ou est-ce une simple coïncidence ? Rappelons-nous tout de même le “groupe Bilderberg” dans lequel ces champions toutes catégories de la démocratie, les Saoudiens, mènent nos “politiciens” polichinelles par le bout de la ficelle (et du nez). Je viens de lire quelque chose au sujet de l’Arabie saoudite créant Al-Qaeda et ISIS et finançant ces groupes radicaux sans jamais être inquiétée pour leurs atrocités. Puis encore, il y a longtemps, j’ai lu que le roi saoudien Abdallah (mort récemment) était un membre du ‘Top Rung’ du groupe Bilderberg, c’est-à-dire des gens extrêmement riches qui sont les créateurs mondiaux d’ ‘idées’ (ou créateurs des ‘idées’ mondiales) et qui envoient ces idées au groupe Bilderberg pour décider des qui, quoi, quand, où, comment et pourquoi…” [8].  Pour ce qui est de ce groupe Bilderberg, une liste très intéressante mais apparemment non exhaustive [ni le sous-fifre Macron ni le sous-fifre Merkel n’y figurent (encore) ; de toute façon ils n’appartiennent pas et n’appartiendront jamais au “top rung” comme par exemple un Soros], est donnée par https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants. Au vu de cette liste de “participants Bilderberg”, il serait téméraire d’exclure une influence saoudienne, fût-elle “indirecte”, sur les MSM (main stream media) subventionnés.

Qui, comme par hasard… (voir ci-dessus).

René Fries

[1]     le paradis du qor’ân est plein de réminiscences perses, comme le prouve la mise en parallèle du “Dâdestân î dêni / Les jugements religieux, de Manoûjir (Der frühe Islam, Schiler Verlag, Berlin 2007, p. 447). Il y est donc question d’alcool, au sujet duquel le qor’ân ne sait d’ailleurs pas ce qu’il veut, ainsi 16:67 et 47:14 prônent l’usage du vin, 2:219 et 5:90 l’interdisent. Une influence du bouddhisme (“surāmeraya-majjapamādatthānā veramanī sikkhāpadam samādi-yāmi / “Je promets de m’efforcer de ne pas faire usage de substances qui déconcertent l’esprit et troublent la conscience”, dans: Vom Koran zum Islam, Schiler Verlag, Berlin 2009, p. 388-9) est ici probable

[2]     qui avait au départ une compagne nommée Ashera, perdue on ne sait comment, cf Der frühe Islam, op. cit., pp. 603-4

[3]     qui, à défaut de fils, avait des filles, cf Die Entstehung einer Weltreligion I, Schiler Verlag, Berlin 2010, p. 369

[4]     “Jusqu’à présent, nos recherches ont clairement montré que le récit traditionnel sur Mahomet, sur le Coran et sur l’émergence de l’islam n’a en fait que peu ou même rien en commun avec la réalité historique (…)”.

[5]     cf. en cas de besoin,  http://ripostelaique.com/nous-ne-devrions-pas-avoir-peur-de-combattre-lislam.htm

[6]     https://www.dreuz.info/2017/09/14/la-turquie-affirme-que-la-nouvelle-mosquee-moderee-de-berlin-est-incompatible-avec-lislam/comment-page-1/#comment-537983

[7]     Voir éventuellement “Face à la France totalitaire, je suis un dissident” https://www.dreuz.info/2017/05/14/face-a-la-france-totalitaire-je-suis-un-dissident/ ou encore “Six Incidents of Unmasking Social Media Giants as Enemies of Free Speech” https://townhall.com/columnists/robertspencer/2017/07/24/6-incidents-unmasking-social-media-giants-as-enemies-of-free-speech-n2357857

[8]      http://www.crisismagazine.com/2016/the-biggest-story-never-told

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24 Commentaires

  1. Avant de reprendre un traitement de durée incertaine, une petite mise au point. Le passage

    S’agissant là de mathématiques, « il est impossible d’à la fois utiliser une TV, un ordinateur, une voiture, les services d’une clinique etc, et de soutenir que « Mahomet » a existé et que le qor’ân fut de lui. De deux choses l’une. »

    semble une citation càd j’ai l’air de l’imputer à J-J Walter. En réalité il est de moi et devrait donc se lire

    S’agissant là de mathématiques, il est impossible d’à la fois utiliser une TV, un ordinateur, une voiture, les services d’une clinique etc, et de soutenir que « Mahomet » a existé et que le qor’ân fut de lui. De deux choses l’une.

    L’erreur ne se trouve pas dans le manuscrit mais doit sortir de Dieu sait où.

  2. Insignifiance dans tous les domaines : Malheureusement. Mais a certaines époques ils se sont illustrés par des pillages, la traite des blancs et des noirs, les guerres, les horreurs en tout genre : décapitation, lynchage. Ils n’ont pas renoncé à leurs désirs de domination par la force : maintenant ce sont les attentats, les décapitations, les viols. Bref, aucune amélioration en vue. L’islam de l’obscurantisme et moyennâgeux perdure et signe

  3. “Que celui qui a tout lu et tout compris me jette la première pierre !”
    Les Maths ? Rien à voir avec l’islam !
    Inconnues, dérivées, intégrales, tangentes, inflexions, hyper et para boles, puissances,
    asymptotes, infini, et j’en passe…
    Seul mot ? Kalach !

    • “Fatoua” serait mieux adapté à leurs rituels compulsifs, non?
      Pour rappel, des dizaines de Citoyens sont actuellement “condamnés à mort” par quelques fous d’Allah autoproclamés imams, et ce délit majeur n’est même pas poursuivi par la djustice, puisqu’il ne s’agit que de “l’intention de tuer”. Il sera toujours temps de mettre à l’asile les déséquilibrés qui seront “passés à l’acte”.
      Il n’en est pas de même si l’on s’avise de dire ce que l’on pense de ces rituels mortifères. Mais Macron, qui vient de signer le décret interdisant de prononcer le mot “races “en privé – on ne rêve pas- a dit qu’il allait s’occuper du terrorisme islamique. Ça va chauffer pour leur grade, aux salafistes, on n’en doute pas. Déjà que Sarko devait “nettoyer la racaille au Karcher”…

  4. Lisez ces quatre ouvrages :
    – La règle de Saint Benoît, aux sources du droit, de Gérard Guyon, où il est démontré que tout le droit européen, sacré comme laïc, civil comme pénal, ceci de Brest à Vladivostok (via Saints Cyrille et Méthode, au neuvième siècle), découle du travail de ce juriste, formé à l’université italienne, imprégné de la philosophie grecque, du droit romain et des deux testaments :
    http://www.editionsdmm.com/A-180592-la-regle-de-saint-benoit-au-source-du-droit.aspx

    • Cyrille et Méthode on inventés l’alphabet Cyrillique slave.
      Un ancien qui a étudié le Russe.

  5. Lisez ces quatre ouvrages :
    de la secte des judéo-nazaréens, chassés de Palestine à la suite du second sac de Jérusalem, en 586 de notre ère.
    Bref, à l’inverse de l’ancien et du nouveau testament, pour lesquels il a toujours existé une exégèse fondée sur des documents de toutes origines, il se révèle que le Coran est exclusivement à but politique.
    – Une révolution sous nos yeux, de Christopher Caldwell, publié en anglais en 2009, refusé par tous les éditeurs francophones, et publié dans la langue de Molière en 2011 (500 pages de texte, 100 pages de références , pas un mot plus haut que l’autre , du LE PEN à la puissance dix) :
    https://www.amazon.fr/Une-r%C3%A9volution-sous-nos-yeux/dp/2810004447
    – La règle de Saint Benoît, aux sources du droit, de Gérard Guyon

  6. Lisez ces quatre ouvrages :
    https://www.youtube.com/watch?v=P0hcluIab7M
    La synthèse de ces deux ouvrages est la suivante : le Coran n’est pas l’œuvre d’un auteur unique, écrivant au sixième siècle sous la dictée de Dieu (Allah), mais un texte écrit par plusieurs personnes (minimum 30, maximum 100, médiane 50), sur une période de 200 ans, les deux tiers de cet ouvrage étant une traduction en langue arabe d’un texte écrit originellement en araméen ; tous les documents du « proto Coran », rédigés entre le sixième et huitième siècle, ayant été systématiquement détruits par les deux califes qui se sont employés à élaborer une doctrine officielle, conçue pour combattre le christianisme, ceci à partir des ouvrages de la secte des judéo-nazaréens,

    • Les califes sont très probablement à l’origine de la légende du prophète arabe. Car tous les Arabes le disent : le prénom Mohammed ne fait pas partie de la culture arabe. Jusqu’en 800 après J.-C., aucun homme dans la région ne portait ce prénom.

  7. Lisez ces quatre ouvrages :
    – Le Coran révélé par la Théorie des Codes, de Jean-Jacques Walter (28 euros) :
    https://www.amazon.fr/Coran-Revele-par-Theorie-Codes/dp/2851622889
    http://ripostelaique.com/lautopsie-du-coran-par-jean-jacques-walter.html?doing_wp_cron=1467391610.2379589080810546875000
    http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/Walter_theorie-des-codes_Coran.htm
    (13’54’’) https://www.youtube.com/watch?v=k5pF5seXGIM

    – Le grand secret de l’islam, d’un auteur dénommé Odon Lafontaine, publiant sous le pseudonyme d’Olaf, joignable à l’adresse suivante : [email protected] ( gratuit en téléchargement ) :
    https://legrandsecretdelislam.com/
    https://www.amazon.fr/grand-secret-lislam-Olaf/dp/1517011310

  8. « le qor’ân eut au moins trente auteurs, au maximum cent, plus probablement une cinquantaine. »
    La légende voudrait que “Mohammed” (qui n’a jamais existé) ait dicté les versets d’inspiration “divine” aux scribes, qui se chargeaient de les mettre par écrit.
    Seulement voilà, à l’époque, les tribus arabes n’avaient même pas d’écriture, et vivaient de pillages. Comment, de par leur culture (si l’on peut dire) des plus rudimentaires, pouvaient-elles se transmettre un savoir, qui plus est, par écrit ???

    • Pour votre information, l’écriture arabe a commencé à prendre forme au deuxième siècle après JC, quelque part entre l’an 260 et l’an 270, donc plusieurs siècles avant le commencement de la rédaction du Coran. Et elle ne servait pas, lors de sa première mise en forme rudimentaire, à des besoins religieux mais à des besoins de commerce sur la seule et unique piste caravanière existante entre la côte OUEST sur les bords de la Mer Rouge (où se trouve l’actuelle Djeddah) et la côte EST sur les bords du Golfe Persique (où se trouvent les actuels Bahrein et Qatar et l’actuelle ville de Dammam) en passant par le centre de la Péninsule Arabique où se trouve l’actuelle Riyad. Le point de départ (côte ouest) était un petit golfe auprès duquel a été (beaucoup plus tard !) construite La Mecque.

      • “au deuxième siècle après JC, quelque part entre l’an 260 et l’an 270”

        Donc troisième siècle, pardon.

  9. L’islam des lumières ;curieux qu’il ait laissé si peu de traces,car les islamiques ont marqué les siècles par leur insignifiance dans tous les domaines .

  10. Une démonstration un peu fumeuse, mais suffisamment éclairante pour que l’on comprenne que les mathématiques et l’islam, ou, en élargissant, la Science et les obscurantismes religieux, sont deux modes de pensée antagonistes.
    Convictions rationnelles fondées sur l’expérimentation pour les scientifiques, vaines certitudes absolue, issues de fantasmes puérils pour les croyants.
    L’éducation et la culture pour la science, il ne reste que les délires de croyances pour les religions.
    Et l’islam veut dominer la planète!
    Merci, Citoyen Libre. ( N’est-ce pas ce que veut dire “Fries”?)

  11. Et si on adaptait la formule à l’islam ?
    Soit; “0 + 0 = la tete à momo”.
    On nous oppose souvent l’islam des lumières. La plupart des savants et érudits anciens en terres musulmanes sont d’origine européenne. Leur conversion à l’islam leur permettait de survivre.
    Les seules lumières que je vois sont celles des lampes à huile, puis à pétrole. Et quand on pourra se passer du pétrole des bédouins, ils pourront toujours l’utiliser pour s’éclairer. Leur courant de pensée étant rétrograde,n’y voyez aucune allusion spirituelle.

  12. Très intéressant. Voudrez-vous bien nous en apprendre plus quand vous en trouverez le loisir? Merci d’avance.

  13. C’est pourtant simple:”zéro plus zéro est égal à la somme de tout ce que les musulmans ont un jour inventé”

    • Le zéro lui même n’a pas été “inventé” par les arabes, mais par les indiens, au 2ème ou 3ème siècle de notre ère. (CF: G. Ifrah, spécialiste mondial des chiffres.)
      Pas même le zéro à mettre au crédit des islamistes. Rien!
      Ne dites pas que l’islam, c’est “moins que rien”, puisque c’est déjà quelque chose, ironisait Raymond Devos.

      • Exact, et le mot arabe zéro n’est que la traduction d’un mot indien (ou sanscrit) signifiant vide.

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