Première partie
Avec 30,4 millions de km², soit trois fois la superficie de l’Europe, l’Afrique est le deuxième continent le plus étendu au monde après l’Asie (44 millions de km²), et compte 55 États souverains où vivent 1,5 milliard d’habitants.
Pour comparaison, l’Union européenne couvre 4,1 millions de km² et compte 448,4 millions d’habitants. La France métropolitaine fait 551 695 km² pour 67 millions d’habitants.
Sur notre planète, l’Afrique est le continent qui recèle le plus de ressources naturelles :
– 54 % des réserves mondiales de platine,
– 78 % de diamants,
– 40 % de chrome,
– 28 % de manganèse.
Mais également diamants, or, pétrole, gaz naturel, uranium, lithium, cuivre, cobalt, fer, bauxite. Auxquelles il faut ajouter des productions agricoles : riz, vanille, ylang-ylang, bois, fèves de cacao. Le tourisme constitue aussi une activité économique importante.
Les études démographiques s’accordent à conclure qu’en 2050, l’Afrique comptera plus de 2 milliards d’habitants. Corruption des classes dirigeantes, progression de l’islamisme, absence de vision d’avenir pour la jeunesse, dégradation des conditions climatiques, sont autant de facteurs qui pousseront des millions d’Africains à envahir l’Europe.
Ce sera le « Camp des Saints » prophétisé par Jean Raspail en 1973.
La France pourra-t-elle échapper à ce cataclysme ?
UN PEU D’HISTOIRE
16 juin 1895 : création de l’AOF (Afrique Occidentale Française) autour du Sénégal réunissant le Soudan français (futur Mali), la Guinée et la Côte d’Ivoire. À noter que les communes sénégalaises de Saint-Louis, Gorée, Dakar et Rufisque avaient le statut de communes françaises (« les quatre communes ») depuis 1872 et que leurs habitants étaient citoyens français à part entière.
1903 : création du système scolaire en AOF, structuré en 1916 sous le nom d’École Normale William Ponty qui forme la plupart des enseignants, médecins et cadres dont de futurs députés et ministres qui exerceront en France avant de devenir chefs d’États (Houphoët-Boigny, Hamani Diori, Abdoulaye Wade, Modibo Keita, etc.). Plus de 2 000 diplômés sortiront de cette institution. À noter que, dès 1817, des congrégations religieuses avaient déjà créé des écoles au Sénégal pour instruire gratuitement les enfants sans distinction d’origine sociale.
1904 : l’AOF regroupe six colonies : Sénégal, Haut-Sénégal et Niger (qui englobe des espaces non définis du Niger, Soudan et Haute Volta), Mauritanie, Guinée, Côte d’Ivoire, Dahomey (futur Bénin).
15 janvier 1910 : création de l’AEF (Afrique Equatoriale Française) à partir de la colonie du Gabon, avec le Moyen-Congo (futur Congo-Brazzaville), l’Oubangui-Chari (future Centrafrique) et le Tchad. Déjà, de 1842 à 1886, la France administrait deux territoires autour des fleuves Congo et Oubangui. Ce sont les missions de l’explorateur Savorgnan de Brazza qui ont permis d’élargir les possessions françaises de la future AEF.
De 1842 à 1886, la France administrait deux territoires autour des fleuves Congo et Oubangui. Ce sont les missions de l’explorateur Savorgnan de Brazza qui permettront d’élargir les possessions françaises de la future AEF.
1914 : Blaise Diagne, est élu premier député français d’origine africaine. En 1917, il sera chargé de l’amélioration des conditions de recrutement des tirailleurs sénégalais (unité créée en 1857).
1919 : création de la nouvelle colonie de Haute Volta et rattachement des anciennes colonies allemandes du Togo à l’AOF et du Cameroun à l’AEF.
Il faudra attendre 1932 et 1947 pour que les frontières soient tracées et que les différentes colonies trouvent leur définition territoriale définitive.
C’est dire que, en seulement 30 années, les populations locales, nomades pour beaucoup, ont eu du mal à s’y retrouver. Il fallait donc que les personnels chargés d’administrer ces colonies soient conscients des difficultés de compréhensions que ces découpages successifs avaient pu occasionner chez les indigènes. Le code de l’indigénat étant aboli, ceux-ci, de par la loi Lamine Gueye de 1947, avaient acquis la citoyenneté française en leur qualité de ressortissants de l’Union Française, fondée par la IVe République.
Une communauté de destin ?
Par leurs proximités à la fois historique (colonisation), géographique (Gibraltar/14 km), linguistique, culturelle, l’avenir de l’Afrique est en partie liés avec celui de la France et, plus largement de l’Europe puisque le traité de Schengen permet le libre circulation des personnes dans l’espace de l’Union européenne.
Deux options :
L’Afrique continue de régresser, impactée par de multiples insuffisances (politiques, économiques, sanitaires, sociétales, religieuses), amplifiées par une poussée démographique démentielle (1960 : 350 millions, 2050 : 2,5 milliards soit le ¼ de l’humanité). La première conséquence sera une aggravation majeure du défi migratoire (qualifié de « tsunami » par JL Borloo).
L’Afrique va mieux (miracle !) : nous pourrions en en bénéficier si les pays africains se comportent en partenaires économiques, commerciaux, financiers, et en renouant des liens qui ont été, du fait de l’incompétence de Mitterrand (et successeurs dont Macron), terriblement distendus, voire rompus.
Que peut faire la France ?
Face à la submersion migratoire, il est absolument nécessaire et urgent d’appliquer une politique de fermeté, associant des mesures au niveau national (fin du regroupement familial, fin du droit du sol, renvois des demandeurs d’asile déboutés, expulsion des OQTF, des délinquants et des condamnés)
Mettre en place une politique d’appui au développement ciblée et efficace, principal moyen de prévention.
Cette politique volontariste doit nous permettre de renouer avec le continent Africain, en particulier avec les pays francophones (anciennement « du champ ») et retrouver ainsi un rayonnement qui s’est effondré au cours de ces dernières décennies.
Deuxième partie
Quel destin pour l’Afrique et la France ?
Pour avoir à cette question une réponse pertinente, j’ai sollicité l’avis d’un expert des questions africaines :
Général, chirurgien du service de santé des armées, Professeur agrégé du Val de Grâce, il a vécu, avec sa famille, et travaillé durant 17 années dans des pays d’Afrique sub-saharienne (Cameroun, Sénégal, Rwanda, Côte d’Ivoire, Madagascar et Afrique du Sud) où il a formé la quasi-totalité des chefs de services hospitaliers, mais aussi exercé des fonctions diplomatiques.
Voici son analyse et quelles sont ses propositions.
Appui au développement
Afin de déterminer une politique d’appui au développement efficace il est absolument nécessaire d’identifier les décisions politiques et techniques responsables de cette situation d’effondrement et d’en tirer les conséquences.
A : Évolution de la politique d’appui au développement de la France :
Durant ces 60 années (1960/2020), notre politique d’appui au développement a schématiquement connu 3 périodes de 20 années marquées par deux inflexions majeures aux effets catastrophiques (effondrement de notre rayonnement).
1960/80 : Politique souveraine et bilatérale :
Menée par un ministère de plein exercice (Coopération/rue Monsieur), la politique de Coopération décidée au niveau politique (souveraine) mène des actions d’appui direct (bilatéral) aux « pays du champ » ciblant les trois piliers (outils/financement/ressources humaines). Si l’appui « financier » est resté ponctuel, des efforts d’équipement et de construction se sont poursuivis et un accompagnement sur le plan ressources humaines a été mis en place. La France a mis à disposition des pays des personnels sur le terrain (Coopérants et VSN) afin de palier des déficits en compétences. Tous les secteurs étaient concernés mais deux étaient particulièrement ciblés : l’Éducation et la Santé. La France était alors le pays au monde qui avait le plus de personnel sur le terrain Africain. Ces personnels travaillaient pour et à coté de leurs collègues locaux, au bénéfice direct de la population (éduquant, soignant, etc.), assurant également par leur présence de la formation des différents personnels dont ceux appelés à assurer leurs relèves. Présents sur tous les territoires (grandes, moyennes et petites villes), ces personnels nouaient des liens forts avec leurs collègues et la population, participant au rayonnement de la France.
1980/2000 : Virage idéologique : du bilatéral au multilatéral et abandon progressif de notre souveraineté
Au début des années 80, une inflexion majeure a été décidée. Résumée dans un discours du ministre de la Coopération (Jean-Pierre Cot), il a été décidé :
De réduire drastiquement le nombre de coopérants (leur présence étant qualifiée de « néocoloniale » par le ministre !). En moins de 10 ans, le nombre d’enseignants et de personnels médicaux est passé de plusieurs milliers à 0 pour les enseignants et moins de 50 pour les médecins, vécu comme un abandon catastrophique par les populations africaines !
De supprimer le ministère de la Coopération et de confier la charge à un secrétariat d’État rattaché au quai d’Orsay.
D’adhérer au système anglo-saxon du multilatéral dans lequel les actions sont globalisées : Schématiquement, on répond à une situation « globale » (objectifs du millénaire) impliquant plusieurs pays donateurs, encadrés par des « experts/conseillers ». De plus la langue utilisée est l’anglais (même en Afrique francophone). Ce système, qui est parfaitement adapté à des grands projets, tel la lutte contre le SIDA (global found), se généralise.
Résultats : nous perdons progressivement notre souveraineté dans la majorité des actions de développement (comme dans d’autres secteurs : économiques, stratégiques, industriel, etc.). La part du bilatéral gérée directement perdure en se réduisant progressivement. Nous assistons alors à un effondrement rapide et majeur de notre rayonnement en devenant des « supplétifs » du multilatéralisme anglo-saxon.
2000 : Décès du bilatéral « souverain », abandon politique !
Il est décidé au début des années 2000 de transférer le volet décisionnel de l’appui au développement de type « bilatéral » à la « caisse française pour le développement » baptisée AFD. L’Agence gère cette charge sous la tutelle du ministère des Affaires étrangères (par l’intermédiaire des ambassades) jusqu’au début des années 2010, puis devient souveraine. Le fonctionnement de l’AFD s’appuie sur le recueil de projets élaborés et proposés par des structures variées (dont des ONG) et annuellement l’attribution des fonds sans avoir de compétences particulières ni de connaissances du terrain ! L’AFD a engagé en 2019 un budget de 14,1 milliards d’euros (subventions, prêts conventionnés ou non, C2D, etc.) 40% étant destiné à l’Afrique subsaharienne). Il est intéressant de consulter le site de l’AFD qui décrit l’ensemble des projets financés et en cours !
Conséquences sur le terrain :
Assurant le financement et n’étant pas à l’origine des projets proposés, l’AFD n’en perçoit pas toujours les contraintes, difficultés et maîtrises, prenant parfois des décisions compromettant leurs résultats ! Ainsi, à titre personnel, j’ai assisté à la décision de l’AFD dans les années 2010/12 d’interrompre brutalement et sans concertation les trois partenariats interuniversitaires (Santé) en cours (Cambodge, Madagascar, Mozambique) impliquant l’arrêt de la formation dans plusieurs Universités françaises de spécialistes, chefs de clinique et agrégés des 3 pays ciblés, au grand désarroi de nos partenaires !
Globalement : aggravation de l’effondrement de notre rayonnement, de notre présence et réduction des actions de formations (basées sur des partenariats).
B : Avis sur le modèle d’appui à l’Afrique adopté sur le plan mondial :
L’impression d’ensemble des politiques d’appui à l’Afrique ressenti lors de mes différents séjours, en particulier le dernier en Afrique du Sud (Conseiller Santé des ambassadeurs de France des neufs pays d’Afrique australe) est celle d’un déséquilibre dans les objectifs. En effet, parmi les 3 trois piliers (outils/financement/ressources humaines), l’appui à « l’outil » (construction, équipements, moyens techniques) est privilégié car simple à mettre en œuvre. Par contre, l’appui à la formation des ressources humaines semble insuffisant. L’accueil d’étudiants africains dans les universités des pays contributeurs (dont la France) est la principale voie de formation des élites. Puis, au-delà des « réticences» de retour dans leurs pays d’origine celles-ci devront, afin d’optimiser leurs efficacités, s’appuyer sur des strates de compétences (pyramides) nécessaires au fonctionnement des services et structures qu’ils dirigeront. Or il existe à l’évidence un hiatus important, véritable frein au développement, car ces « strates » sont insuffisantes voire inexistantes.
Les principales difficultés des programmes d’appui à la formation qui devraient cibler tous les niveaux de la « pyramide » sont :
– la complexité des mises en place (variabilité des personnels à former, nécessité de partenariats devant s’adapter aux niveaux et au nombre de candidats)
– l’identification dans le pays « formateur » de structures compétentes susceptibles d’être sollicitées.
– la durée des formations
– la nécessité d’associer, afin d’assurer des formations crédibles, les délocalisations dans les pays « formateurs » à des appuis in situ.
C : Proposition schématique d’une nouvelle politique d’appui au développement :
Une offre d’appui au développement résulte de la rencontre entre des besoins exprimés par le pays bénéficiaire et l’offre de moyens adaptés par le pays « donateur ». Nous ne pouvons pas répondre à toutes les sollicitations, mais nous pouvons répondre à tous les types de sollicitations !
En tenant compte des différents éléments cités plus haut, il est (par exemple) licite de résumer schématiquement une politique d’appui au développement comme des réponses à 3 questions basiques :
Quels en sont les Buts ?
Quelle stratégie doit-on adopter pour les atteindre ?
Quels outils doit-on mobiliser pour cela ?
Quels sont les buts d’un appui au développement : essentiellement deux
Obtenir une efficacité optimale sur le terrain
Être un facteur de rayonnement pour la France
Quelle stratégie doit-on adopter :
Retrouver notre souveraineté décisionnelle en privilégiant les mécanismes bilatéraux qui permettent de s’adapter aux besoins locaux et de maîtriser les processus, tout en maintenant notre participation au multilatéral pour des « grandes causes » (VIH par exemple).
Cibler majoritairement les projets de formations des ressources humaines à tous les niveaux des pyramides décisionnelles et techniques, en s’adaptant aux besoins et souhaits.
Quels outils doit-on mettre en place :
Niveau central : réappropriation politique afin de redevenir un outil souverain décisionnel pour notre pays :
Par exemple en restaurant un ministère ou secrétariat d’État (lié au quai d’Orsay)
°Sur le terrain :
En s’appuyant sur notre (magnifique) réseau diplomatique en renforçant le secteur du « COCAC » (Conseiller de Coopération) et le « pool des conseillers » car ceux-ci:
= Ont une excellente connaissance du terrain et des réseaux locaux (décideurs politiques, universitaires et techniques)
= Par leurs positionnements dans le pays ont la capacité d’identifier les véritables besoins, en lien avec les autorités locales
= Sont des appuis avec la capacité de contrôle à toutes les étapes de mise en place de projets : appui à l’élaboration, contrôle continu en cours et évaluation finale.
°Acteurs intervenants : multiples, la formation étant le fruit de compagnonnages, toutes les structures (publiques et privées) identifiées comme pôles de formations (universitaires, écoles de formations, structures techniques publiques/privées, etc.)
2 remarques :
L’AFD doit redevenir l’outil financier (banque de développement) au service du ministère de tutelle
Les actions de formations, essentielles mais non exclusives, sont couplées à des appuis en matériel, financiers, etc.
Conclusion : en 1963, René Dumont publiait « L’Afrique noire est mal partie ». En 2023, entre coups d’États, expansion de l’islamisme, implantation de la Chine, influence de la Russie, perte d’influence de la France, appauvrissement des populations malgré les immenses richesses du continent confisquées par la corruption, que va devenir l’Afrique ?… Et que va faire la France face au péril migratoire ?
Jean-Yves Leandri
Pourquoi faut il tjrs les aider ? Et pourquoi ce serait une obligation ? On le fait depuis des siecles, France, Europe, USA..organisations internationales, associations etc Cela nous coute un pognon de dingue et beaucoup de pertes humaines Et à quoi ça sert ? à rien…En plus, ils considerent que nous sommes des envahisseurs et que nous les exploitons Ils vivaient comme à l age de pierres, l occidental a voulu leur apporter la civilisation, erreur cela ne convient pas à tout le monde Leur systeme politique tribal de violences leur plait, nous n avons pas à nous en mêler
Mais oui ! partons ! livrons les aux russes ! qu’ils apprennent un peu ce que c’est que de prendre des coups !
L’Afrique aux africain ,On est tous d’accord ici donc qu’ils y restent et s’y démerdent
Et Mélanchon le créole blanc peut y retourner AUSSI !
Un aspect que je n’ai pas vu évoquer dans ce très bon texte , c’est l’importance du phénomène tribal qui continue à structurer les états et les mentalités par delà les frontières , et le nomadisme , “ancetre ” du djihadisme .Les rébellions actuelles qualifiées de djihadisme sont , à l’origine la reprise des raids nomades d’autrefois , l’islam étant venu les justifier après coup , et surtout pour des raisons financières …
L’Afrique est le continent qui recèle le plus de ressources naturelles.
Et pourtant, ils ne doivent pas le savoir ( étonnant ) où alors, d’autres continents maintiennent celui ci en léthargie depuis très longtemps ?!
Ce n’est pas faute de leur dire, en France, qu’ils se font bananer.
Cependant, tous nos allogènes à la Traoré pourraient repartir sur ce continent, forts de leurs enseignements divers et afin, enfin, d’y faire prospérer tous ces pays si riches mais mal gérés.
Non ? Ils ne veulent pas ?
Pourquoi ?
Ce continent sera conquis et colonisé .
On ne sait pas tout ça mais quand on voit à la télé des émissions comme «rendez-vous en terre inconnue »,les camions pourris sur des routes en a pic sur le vide ,les trains rigolos de Philippe Gougler ,on s’aperçoit que les Africains ont un courage incroyable qui n’aboutit à rien à cause de leur natalité débridée ,de la corruption partout , de leur religion qui les freine et les bobards qu’ils se racontent ou qu’on leur raconte.
Tout récemment une bonne douzaine de soldats nigériens viennent de se faire dessouder par quelques Djihadistes☠. Que la fête 🥳 au bled 🥳 commence💣💥.!
L’un des apports non négligeables à la colonisation française a été la fin des guerres tribales. L’Afrique y retourne à grands guides, la Chine et la Russie ont tout intérêt à ce que les africains s’entretuent, cela leur laisse le champ libre pour l’exploitation des richesses minières et vivrières. Ceux qui trinquent et vont continuer à trinquer le prix fort sont les africains des campagnes, plus d’état central ou de colonisateur français pour les protéger.
Je viens de relire
Brazza et la fondation de l’A.E.F , de rené Maran
Gallimard 1941.
Le très grand homme Pierre Savorgnan de Brazza,
ignoré de la plupart des franCons, y compris 99,99 % des politicards
actuels.
En 1890 , il y avait encore des tribus anthropophages ( dont les Apfourous )
, c’était la guerre entre chaque tribu le long du fleuve,
l’esclavage entre les négroides était généralisé à 100% des tribus,
d’ou la création de Libreville par Savorgnan , peuplée par les esclaves que libérait ” Le père des esclaves “.
Néanmoins , à noter l’hostilité des fonctionnaires français contre Savorgnan ,
( souvent vendus à Léopold de Belgique , qui développait la conquête du Congo belge , avec le criminel Stanley ).
les choses ont bien changé.
55 états “souverains”???
Faudrait peut-être changer de lunettes, non?
Islamisation, tribalisation, dictatures clanistes…ça en fait des souverains, en effet, beaucoup trop!
Après le Maghreb, “libéré” des français depuis des lustres, Macron a réussi en moins de 10 ans à finir de “libérer” le reste de l’Afrique de la présence française.
Toussaint Louverture aussi, avait libéré son pays de la “présence française”. Député de la république, il avait trahi son mandat en organisant la révolte dans son pays.
Résultat deux siècles plus tard: Haïti “indépendant” est le pays le plus pauvre de la planète, soumis aux hordes assassines des mafias locales.
Au point que le machin onu’sien vient d’envoyer en haïti les militaires de la démocratie “souveraine” Kéniane pour “aider” la police locale.
“Droit” d’ingérence ou recolonisation à l’américaine?
55 etats souverains au sens que donne l’ONU à cette définition. Il y a 8 autres entités qui n’ont pas droit à ce qualificatif.
Cet article est très instructif. Il montre ce qu’était l’apport positif de la France en Afrique. Il montre aussi que la décadence de notre pays a entrainé la diminution puis la disparition de cet apport. Comment imaginer qu’un pays où le premier budget de l’état ne sert plus qu’à faire tourner une “fabrique des crétins” puisse aller aider l’Afrique à développer son système d’instruction et de formation? Comment imaginer que des médecins prescripteurs aveugles de big-pharma et aux ordres des ARS puissent être d’une quelconque utilité sanitaire en Afrique?
Texte EXECPTIONNEL..
A LIRE ET RELIRE
MERCI
Un peuple totalement dépourvu d’une âme ne peut donner une destinée à son pays.
merci aux poutchistes du sahel de préserver la vie de nos soldats
m’enfin, “ils” ont fait envahir toute l’Europe Blanche par les afwicains pour ensuite s’emparer de la zone quittée par ces derniers. et avec l’aide de qui ? des africains “européanisés” pardi. selon quels critères ? ” on vous supporte à raison bientôt d’1 milliard, il nous parait justifié today que nous nous ré-appropriions l’essentiel des sols et des manufactures que nous vous avons légués”. on sait pas trop comment ils vont faire mais je vois pas autrement au vu de la mentalité mystico-Religieuse liée à l’envie, la concupiscence et la nécessité absolue de vouloir s’emparer de tout dès le moment où quelque chose existe. rappelez-vous les 3 facteurs principaux de notre conditionnement = la Vertu, la Passion et l’Ignorance.
La solution? Penser à nous d’abord, les renvoyer travailler chez eux cultiver noix de coco, cafe, coton etc…distribuer des préservatifs.
Malheureusement ce sont de fieffés feignasses! Et on voudrait d’eux comme main d’œuvre??…
Pour moi il n’y a qu’une solution, que tous ceux qui sont chez nous rentrent chez eux avec toute leur famille, femmes, enfants, petits enfants, y compris tous ceux qui sont nés en France et qu’ils se démerdent entre eux chez eux, comme ils l’entendent, sans que la France ne s’en mêle ni ne lève le petit doigt pour intervenir dans leurs micmacs. Que les français de souche qui les aiment tant, comme Sandrine et sa clique, Méchantcon et son cloaque, les accompagnent et restent là-bas ad vitam æternam, sans possibilité de retour. Sinon nous sommes foutus à plus ou moins court terme.
Totalement de votre avis
perso l’avenir de l’Afrique …rien a foutre,qu’ont renvois tout leurs déchets que l’ont as et subventionne sur notre sol,qu’ils redégagent tous chez eux avec femmes,enfants et maladies,pareil pour le maghreb…un ouragan ou typhon puissance mille la bas pour tout “nettoyer” et ce serait parfait.
https://www.datapandas.org/ranking/average-iq-by-country
Cette carte est la répartition mondiale du QI en fonction des zones géographiques. La réponse à l’article est évidente.