Marianne, l’enfant-roi, et la régence

L’enfant-roi va poser ses couches sales, bourrées d’euros et de dollars, sur le trône de France restauré. C’est un régime de régence qui va se mettre en place. Un absolutisme par ordonnances royales, pré-écrites. Cette factualité qui n’est pas nouvelle – nous sommes déjà sous la tutelle de l’UE – va entraîner une légalisation a posteriori. Celle-ci semble acquise puisque la dictature qui veut l’entériner échappe tout autant à la décision nationale qu’à la pratique démocratique, étant elle-même subsumée par un pouvoir extra-européen centralisé.

Nous sommes au début d’un siècle atemporel et néanmoins profondément régressif, dans un espace dont nous sommes dépossédés, devenu sans frontière. Un anachronisme civilisationnel. La monarchie nouvelle est censée pallier les désagréments de la démocratie, déjà largement galvaudée, par une régence financière permanente ayant éliminé la possibilité légale d’une opposition politique.
Cette période de régence ne s’achèvera que lorsque les citoyens seront prêts à rejeter les tutelles de l’UE et de ses instigateurs financiers et mondialistes.

De vilaines sorcières voulant la mort de la France par pandémies exotiques invasives se sont penchées sur le berceau du bambin : idéologues dégénérés travaillant pour des États étrangers ou des communautés (les mêmes depuis 3/4 décennies derrière tous les « présidents », c’est dire si leur efficacité à nous démolir est reconnue), grands banquiers, grands patrons, grands malades, pédocriminels notoires, la clique médiatique au grand complet, une nounou teutonne tyrannique et bien sûr, l’oncle Sam. Que du beau monde. Tous grands prêtres de la nouvelle religion économique mondialiste. Et grands serviteurs du capital et de ses spéculateurs.

Son prédécesseur, un mollusque tenu en laisse par un crabe qui en réfère directement aux requins, finissait à 4 % d’opinions favorables. Bien qu’il eût souhaité un autre mandat dans sa mégalomanie, il fallait montrer un masque plus gracieux pour détourner l’attention du peuple ; celui-là était censé plaire aux jeunes garçons comme aux vieilles peaux, jusqu’à l’élection. Le consentement, globalement, est obtenu par l’inoculation, sous-traitée aux médias, d’un virus cérébral. Un vaccin est aussi proposé contre le fascisme, que chacun est censé s’administrer soi-même en votant de la bonne manière. Il s’agira ensuite de gouverner avec le 1 %, et les mêmes méthodes.

L’imposture est monstrueuse. S’il avait voulu, un tant soit peu, apporter quelque chose à la France, s’il avait eu la moindre dimension politique et le minimum de respect pour les Français, il aurait eu un programme. Il aurait dénoncé les ascendances mondialistes et financières, il aurait proposé un plan pour se dégager des tutelles scélérates et restaurer notre souveraineté.
Faute de programme, la programmation du petit larbin est simple : démanteler la France en avivant les antagonismes entre le camp multiculturel du bien et celui des individus libres dénommés « fachos », qu’il s’agit d’ostraciser jusqu’à leur extinction, continuer à détruire l’économie nationale, ce en quoi il s’est déjà illustré, casser la démocratie par des manœuvres d’appareil, islamiser à tout-va et abroger la laïcité, abolir les droits des femmes et des enfants afin qu’ils soient des produits marchands comme les autres. Son logiciel est fourni par l’UE, elle-même inféodée, et c’est son zèle qui fera la différence. Tous savent que lorsque la France sera détruite, l’Europe sera à eux, corps et âmes.

En l’an 17 d’un siècle que les puissants destinaient aux ténèbres, un morveux de deux/trois ans – gestation et formation comprises – vint au pouvoir, en France. Il fallait que ce soit lui et que ce soit là, et de manière aussi paradigmatique. Il saurait incarner avec ingénuité le dessein maléfique du retournement des valeurs, celui de la Caste : En marche arrière toute, la République !

La relation consanguine de la finance avec sa progéniture médiatique a produit un rejeton arriéré, un petit singe se croyant savant, sans avoir jamais vu ni la culture française, ni son art, ignorant son histoire, qu’il transforme à sa guise par traîtrise, sans parler de la géographie. Bref, son expertise, c’est la vacuité, habillée de risettes, de postures ridicules et de discours éructés avec une voix de castrat. De cette manière, le petit dictateur en herbe ne fait pas peur. Si la métaphysique du vide est son domaine d’exploration exclusive c’est parce qu’elle est sans limite. Les questions politiques, quant à elles, n’appellent que rigueur, principes, éthique et responsabilité, ce dont il n’a pas la moindre notion. C’est pourquoi, alors qu’il s’apprête à plonger la France dans un hiver polaire, le têtard enjoint les Français à «penser printemps », areuh-areuh !

Avec Macron, il faut penser Printemps….

Le message de la haute finance mondialiste qui veut éteindre la démocratie pour asseoir son pouvoir sans partage, est clair : nous mettrons sur le trône n’importe qui, choisi par nous, comme ça nous chante, quand ça nous chante. N’importe quel avorton haïssant les Français fera l’affaire dans la mesure de sa servilité aveugle, de toute façon c’est nous qui sommes derrière, c’est nous qui décidons. En matière de perversion, nous sommes les maîtres, les autres ne sont que des élèves et des sous-fifres.

Alors, à notre tour nous allons être très clairs : Nous citoyens intègres, soucieux de justice, garants des valeurs de liberté et de démocratie de notre nation ancestrale devons vous le dire sans ambages : l’enfant-roi lige n’est pas le président légitime des Français. Nous ne le reconnaissons pas comme tel. La corruption et la manipulation ne sont pas des méthodes démocratiques, définitivement. Nous vous combattrons. Devant les tribunaux de la Justice intemporelle nous vous traînerons, et devant l’histoire vous serez jugés, tous.

Nous l’enverrons dans une prison multiculturelle ou il sera tenté de se radicaliser. Mais elle viendra le hanter, partout. Dans les douches, lorsque des muscles tatoués et tendus viendront lui faire de l’œil, dans sa cellule où de vieilles matonnes esseulées voudront le câliner, il ne verra qu’elle. C’est quand il s’est assis dans le box des accusés, qu’il l’a vue, pour la première fois ; et son regard n’a pu se détacher d’elle. Au fond de la salle d’audience, dans un halo de lumière éclairant son port de tête altier et ses traits d’une jeunesse éternelle, Marianne se tenait droite. Et ce désir qu’il n’a jamais eu, dont il n’était pas à la hauteur, vint le transpercer. Dans un espoir, il priera Lucifer pour que des paysans illettrés, avec leur fourche, viennent lui crever les yeux, mais ce supplice que nous lui refuserons sera son ultime tourment.
Car vous n’êtes pas un mythe monsieur bébé. Vous êtes juste un petit monstre qui se croit malin.
Pour avoir un destin, il vous reste à tuer les pères.

Isabelle James

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7 Commentaires

  1. De la roulette russe au jeu de quilles, les électeurs Français ayant voté par inaptocratie ont, une fois de plus, aggravé notre Republique bananière. Du nouveau, le système hors système à gardé le système en attendant de retrouvé l’anti système après les législatives.

  2. Je propose que l’on décide de mettre le régime de Hollande et celui de Macron entre parenthèses dans l’Histoire de France …. comme on l’a fait du régime de Vichy !

  3. . Je dois’ toutes affaires cessantes, approcher Mrs James, la voir, lui dire mon admiration pour ce beau texte, car nous avons besoin de cautériser nos blessures avec des mots, des mots quI nous donneront envie à nouveau de nous battre. il ne faudra rien céder, n’accorder aucune trêve, ni pactiser avec les gagnants du jour. Juste repartir, la rage au ventre pour une traversée du désert qui n’en finit pas.

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