Marine Le Pen est un cauchemar pour tous ceux qui vomissent la Nation

Marine Le Pen, la patriote respectée des Français, est un cauchemar! Ben merde alors…

Le Huffington Post, dirigé par l’ex consentante cocue du dépravé DSK, nous fait la morale ! Si ! Si !

Elle ose diffuser un article non signé, d’un non moins dépravé Bernard Grelon, illustre inconnu, mais non moins « Associé et cofondateur de UGGC Avocats ».

Le Monde et leurs journaleux lobotomisés (organe officieux du PS) du 8 avril 2014, par une mise en page dont ils ont seuls le secret, ont osé juxtaposer un article du dégénéré Ulrich Beck (qui constate un changement dans la configuration de la société, en raison du développement industriel et technologique, où la question centrale est désormais la répartition du risque. Et qui s’interroge également sur une société à venir dans le cadre de la mondialisation où la valeur de l’avenir pourrait être le cosmopolitisme), tout un programme de désinformation… et cela avec une interview détournée de Marine Le Pen, titré « La mondialisation est un cauchemar ».

Du ravissement patriotique que l’on ressent à lire Ulrich Beck, que je vous invite à découvrir :

  • une pensée interrogative,
  • curieuse,
  • attentive à l’autre,
  • soucieuse d’élaborer des concepts rendant possible la perception d’un monde qu’il essaie de décrire avec modestie,
  • prudence et honnêteté,
  • qui vas vous expliquer que : La tolérance au risque qui, selon lui, en baissant, augmente la demande d’assurabilité. »

Quoi ? Mais de quoi il parle le mec ?

Galileo a grillé un câble !

Ben non ! Comme vous j’ai rien compris !

Je cite toujours le dinosaure adoubé du Huffington Post :

« Cependant, prenant l’exemple de l’industrie nucléaire et de la longévité des déchets nucléaires, qui est selon lui mise en avant en raison du changement climatique et de la hausse des prix du pétrole, (et sans doute l’âge avancé de ma grand-mère…) il critique « les acteurs qui sont censés garantir la sécurité et la rationalité – l’État, la science et l’industrie – » dans la mesure où « ils exhortent la population à monter à bord d’un avion pour lequel aucune piste d’atterrissage n’a été construite à ce jour. »

ALLO ! Il reste quelqu’un ?

Je pars en week-end et je vous en reparle dans quelques semaines !

Bien je reviens !

Cet énergumène s’oppose au discours de Madame Le Pen construit selon lui « sur le dogmatisme, la haine de l’autre, et le refus d’admettre que la modernité puisse être autre chose que la décadence. »

Ben oui ! Et alors ?

Selon le discours convenu de cet europhile, « Madame Le Pen, l’Europe, la mondialisation, l’euro sont, par postulat, l’expression du mal, la cause de tous les malheurs des Français. » … , … , … bien !

Ou que, « les marques et signes du cosmopolitisme, de la finance internationale, les bons vieux thèmes antisémites (n’étant jamais loin), ces transformations du monde, ces institutions construites avec tant de difficultés et qui ont permis à l’Europe occidentale de vivre dans la paix et la prospérité pendant des décennies, sont le signe du mal absolu. »… « Elle refuse d’en admettre la nécessité, voire même l’utilité. »

Et alors ?!

Continuons les diatribes…

« Madame Le Pen, ne s’inscrit que dans les catégories, les schémas d’un passé disparu, celui de l’Etat nation, dont elle appelle un illusoire retour. »

Quel aveu !!! Donc vous l’avez fait disparaitre !

« Elle oublie les guerres, les massacres qui tout au long du XIXe siècle ont été conduits en son nom; »

De quel nom il parle ? Des milliers de morts du socialisme ? Des 100 millions de morts du communisme ?

Non, de la nation ! De cette nation qu’il vomit !

«  Elle préfère dénoncer des boucs-émissaires. Exploitant les peurs, les difficultés que nous avons tous à penser un monde qui change, où les repères traditionnels sont défaillants… »

« Elle tient ce discours si facile à entendre: la responsabilité de nos malheurs n’est jamais en nous-même mais toujours, chez l’autre… »

Ha ! Comme nous sommes coupable !… comme c’est facile !

« Plutôt que de prendre en compte nos propres défaillances, insuffisances ou erreurs, elle préfère la dénonciation: des autres, des étrangers, des mauvais Français, ceux qui « se mettent à genoux devant les institutions européennes ».

Marine ne se met jamais à genoux devant l’Europe, mais vous, OUI !

« Elle revendique le refus de toute analyse des transformations sociales (sociétale, mariage homo !) et économiques et en appelle à l’isolement, au retour au franc, à une France autarcique protégée par ses frontières devenues des obstacles infranchissables tant à la circulation des hommes que des capitaux. »

Ha ! Les capitaux !!! Cela les préoccupe beaucoup ! Et les immigrés encore plus !

Tout est dit ! Tout est avoué !

La traitrise en temps de paix ou de guerre est consommée, la couardise est assumée, la dissidence portée aux nues, la subversion décrétée !

Tout cela est passible pour le moins, d’emprisonnement ou de peine de mort en temps de guerre !

Triste dans son contenu, ce discours est effrayant dans sa structure.

Et il enfonce le clou du cercueil !

« Car Madame Le Pen ne se contente pas de cultiver la nostalgie du passé et de dénoncer ce qui nous en éloigne. Elle s’affirme comme ayant le monopole « de la France libre » déniant à toute autre opinion, tout autre discours, toute autre politique coupable d’avoir « retiré au peuple français sa liberté » le droit de prétendre parler dans l’intérêt de la France, des Français, de la liberté. Ne pas penser comme Madame Le Pen est au mieux une preuve de mauvaise foi, au pire de trahison. »

T’as tout compris mon lapin crétin !

« Arrivée au pouvoir, une telle idéologie appelle ouvertement à la dénonciation, à la traque et à l’enfermement de tous les « antifrançais », tous ceux qui prétendent défendre d’autres valeurs qui sont par construction définies comme démobilisatrices, subversives, antinationales. »

Vite un psychiatre pour ce pauvre type !

Cette brève interview sur la dénonciation de Madame Le Pen, démontre une fois de plus, qu’en dépit des efforts de ce dirigeant pour se présenter sous une forme attrayante et convenable d’européiste sectaire, il pose de mauvaises questions.

Plus, il n’en pose pas.

Il assène des diktats, il exacerbe les peurs.

Il excite la haine des Français.

Il demeure ce qu’il a toujours été, l’expression d’une pensée totalitaire, en un mot un fasciste de gauche !

André GALILEO

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