Masomah Ali Zada, une Afghane réfugiée en France pour promouvoir le voile

Une certaine Masomah Ali Zada, réfugiée politique afghane en France, musulmane de naissance et de cœur, n’a pas trouvé mieux pour se faire connaître que de faire la réclame au voile islamique. Son combat se limite uniquement à vulgariser le voilement des femmes, une fois arrivée en France, si comme Allah l’avait missionnée au pays du vin et du cochon pour prendre son bâton de mourchida – éducatrice islamique – afin de convaincre les mécréants de suivre sa foi mahométane.

Son combat, au lieu de le mettre au service de ses sœurs afghanes qui sont privées d’éducation et qui n’ont pas le droit de mettre le nez dehors sous aucun prétexte, elle fait la promotion de leurs bourreaux, les talibans, ces adeptes acharnés de la charia. Néanmoins, les Afghanes, pour le moment, peuvent sortir de leurs foyers mais en étant hermétiquement voilées, et accompagnées de leur wali – tuteur – mari, père ou frère.

Cette réfugiée aurait dû avoir, par solidarité, une pensée pour les Iraniennes qui se font canarder par les mollahs, mais elle n’en a  cure, car son combat reste avant tout islamique. Elle veut marquer les esprits des Français par son engagement pour le port du voile, comme si sa nouvelle vie en France en dépendait.
Finalement, le combat dont elle se pare, elle le met au service d’Allah qui l’a contrainte à fuir l’Afghanistan en catimini pour ne pas subir les affres de l’islam. Elle a oublié les talibans et leurs méthodes barbares qui rappellent celles du califat abbasside, au VIIIe siècle.

La misogynie de l’islam, elle l’a enterrée en foulant le sol français, et dire qu’elle a remué ciel et terre afin de se réfugier au pays de Voltaire.
Quelle est-elle, cette duplicité qui l’habite ?
Son remerciement pour la France se résume en une affirmation de son islamité pour prouver qu’elle demeure une musulmane contre vents et marées. Son mépris envers ses bienfaiteurs est sans équivoque. Au moins, elle s’assume et ne pratique pas de taqîya. Elle ne se renie pas et exige qu’on la respecte, parce que pour elle, sa foi islamique est plus importante que l’asile politique et les avantages qu’elle en tire.

C’est le djihad permanent pour elle, qu’elle soit à Kaboul ou à Paris mais ça, les élites françaises déconstruites ne le perçoivent pas. Au lieu d’y mettre un terme, au contraire, elles l’encouragent.
Plus déconstruit que moi, tu meurs.
Cette Afghane ne déroge pas à la règle islamique qui veut que ce soit les mécréants qui doivent s’agenouiller devant elle. Au lieu de retourner à Kaboul afin d’y goûter la douceur de vivre islamique, elle préfère narguer les Français qui l’ont accueillie en héroïne.

On est face à une schizophrénie aiguë, une maladie incurable dont souffre une grande partie des Hagarènes.
Mais peut-être aussi qu’elle a été influencée par la pensée de la Macronie qui considère que le voile, c’est du féminisme. Qui peut sonder son esprit lobotomisé par l’islam ?
La misogynie n’est-elle pas le fondement de la religion islamique ? Apparemment, Mme Masomah Ali Zada a oublié les versets coraniques et les hadiths qui l’assimilent à un objet de jouissance pour l’homme, son maître ici-bas et dans l’au-delà.

En vérité, cette sportive afghane (cycliste) de haut niveau ne fait que se conformer aux commandements d’Allah et son Envoyé tout en tentant de profiter des bienfaits matériels fournis par les contribuables français. Et qui peut refuser une telle offre aussi alléchante et gratuite ?

Masomah Ali Zada ne fait que se plier aux injonctions de sa chère religion qui l’obligent à se voiler.
Dans la sourate 24 (An-Nur-lumière) verset 31, il est écrit : « Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants, afin que vous récoltiez le succès. »

Dans la sourate 33 (al-ahzab- coalisés) versets 33 et 59, il est écrit :
« Restez dans vos foyers ; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’islam (Jahiliyah). Accomplissez la Salat, acquittez la Zakat et obéissez à Allah et son Messager. Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, ô gens de la maison (du prophète), et veut vous purifier pleinement. »
« Ô Prophète! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est pardonneur et miséricordieux. »

Selon Sahih Muslim l’Envoyé d’Allah a dit : « Toute femme qui se met du parfum et qui passe devant les hommes est une fornicatrice. »
Dans un autre hadith, Mahomet a dit : « Toute femme qui enlève son khimar (voile intégral) dans une autre maison que la sienne ou celle de son époux ôte l’enveloppe qui la protège devant Dieu. » Ou encore : « Vous les femmes, vous n’avez pas le droit de marcher au milieu des hommes en sortant de la mosquée. Restez sur les côtés. »
Pour Mahomet, la femme attire le chaytan (le diable) comme un aimant en disant : « Il ne peut pas y avoir de tête-à-tête entre un homme et une femme sans que le diable ne s’en mêle et ne provoque le pire. »

Un hadith rapporté par l’imam Boukhari, Mahomet a dit : « La femme en état de sacralisation ne porte ni niqab ni gants. » C’est-à-dire que la femme ne doit pas porter le niqab que pendant la période du petit ou du grand pèlerinage à la Mecque. En dehors de cette période de sacralisation (Ihram), elle est obligée de porter le voile intégral islamique (niqab, djelbab ou khimar).
L’imam Malik (716-796 ; juriste islamique et fondateur l’une des quatre écoles de l’islam sunnite) relate comment le prophète fit porter le voile à sa nouvelle femme Safiya (la juive) qu’il avait épousée après avoir assassiné son père, son frère et son mari lors de la conquête (628-629 de l’ère chrétienne) de l’oasis de Khaybar qui était habitée par des juifs (rapporté par Boukhari et Muslim).

Toujours au sujet du voile, Aïcha, la femme favorite du Prophète, raconte : « Il arrivait que des gens passent près de nous alors que nous étions en état de sacralisation en compagnie du Prophète. Lorsqu’ils arrivaient à hauteur de l’endroit où nous nous trouvions, nous suspendions notre voile par devant notre visage. Et lorsqu’ils s’éloignaient nous le relevions » (rapporté par l’imam Aboû Daoud).

L’islam est un système d’apartheid qui veut que la femme soit soumise à son tuteur (wali) parce qu’elle porte le vice, la tentation et surtout l’honneur des siens qu’elle porte entre ses cuisses.
Sa virginité et sa fidélité sont les preuves de sa soumission à Allah et à son Apôtre. Et à son tuteur !
La question qu’on doit poser à Masomah Ali Zada : pourquoi a-t-elle choisi la France comme point de chute et pourquoi pas un autre pays dont l’islam régente la vie ?

En vérité, elle veut le beurre et l’argent du beurre en considérant la France comme un paillasson de l’islam.
Chiche qu’elle soit courageuse et qu’elle suive à la virgule près le Coran et la sunna qui lui interdisent formellement de pratiquer le sport, surtout le cyclisme, car c’est haram !
Qu’elle soit en conformité avec l’islam, sans jouer à l’hypocrite. C’est tout ce qu’il lui est demandée, pas plus, pas moins. Malheureusement, la duplicité fait partie de son logiciel islamique.

Ceux qui doivent être blâmés sont évidemment les progressistes de tous les bords et surtout les islamo-gauchistes qui sont animés par la haine de soi et qui croient que l’islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance, sans oublier le Comité national olympique et sportif français… Et ce n’est pas Masomah Ali Zada qui est à blâmer, car au moins elle, elle s’affiche comme une combattante de l’islam.

Hamdane Ammar