La Californie, c’est à la fois un état des US, un rêve de hippie et de migrant européen, une chanson de Julien Clerc que j’aime beaucoup et un département français.
Vous ne le saviez pas que le 93 est un département français qui a été rebaptisé sur le Coran de « Californie française » ?
C’est pourtant un président de la République qui l’a annoncé fièrement à toute la cantonade médiatique, tout heureux d’être au milieu de ses pépites adoubé comme le roi d’un pays qui n’existe pas encore légalement pour n’avoir pas fait acte de candidature en reconnaissance de paternité à l’ONU : l’Africoranistan.
https://rmc.bfmtv.com/replay-emissions/les-grandes-gueules/la-seine-saint-denis-c-est-la-californie-la-petite-phrase-de-macron-fait-sourire-les-grandes-gueules_AV-202105280505.html
Remarquez que l’on peut trouver un point d’accroche avec le Président de pas tous les Français, le 93 est réellement un département remarquable par certains côtés.
D’une part tout le monde sait que tout recensement est déjà obsolète avant même compilation, pensez donc que les préfets qui y sont nommés ne connaissent pas même avec approximation à 400 000 près le nombre de têtes dans le cheptel dont ils ont la gestion, alors difficile de gérer quand on ne sait pas.
C’est d’ailleurs l’un des points communs à toutes les merdailles politiques qui ont prétendu gérer la France depuis de Gaulle : ils ne savent rien du pays, alors ça gère à la va-comme-je-te-pousse, puis sur le tard ils font les étonnés quand toutes les infrastructures et superstructures administrativo-régaliennes tombent en rade comme l’hosto, l’école, la justice et la police par exemple, tandis que la voyoucratie se voit offrir un espace existentiel qui normalement, dans une démocratie réelle fonctionnant vertueusement, ne peut pas avoir de réalité.
C’est à ça qu’on reconnaît une fausse démocratie, quand le voyou prime sur le citoyen. C’est la situation actuelle de la France mais aussi de bien des pays occidentaux ; quant à de nombreux autres pays, on connaît peu de vraies démocraties, d’autant plus que, pour certains, la voyoucratie a connu son ascenseur social en quittant la rue pour accéder aux leviers suprêmes de l’État et de la direction desdits pays, ce qui n’est guère mieux avec le bémol que ces dits États ne revendiquent pas forcément le qualificatif de « démocratie » aux contraires de nos guignols politiques qui tentent par tous moyens de maquiller les réalités pour essayer de sauver les apparences ; en réalité, ici encore, « leurs » apparences tant l’Éclairé-éduqué-informé et surtout réinformé n’est pas dupe de certains travestis lost in transition qui sollicitent les suffrages, je vous donne ici une explication rationnelle qui n’engage que moi concernant le taux d’abstention croissant aux élections de toute nature en France.
Je tiens à vous rappeler une ou deux choses avant que vous ne preniez connaissance de la réalité des quartiers. Le décalage entre les paroles de nos merdes politiques qui n’ont que l’expression “nos valeurs démocratiques” à la gueule pour damner ceux qui refusent l’immigration incontrôlée actuelle et ce que vivent les « Intouchables » du fait migratoire dans notre pays au sens de caste hindoue, nommons les faibles, dont une grande partie de la gente féminine en majorité.
Vous aurez probablement envie de prendre une batte de baseball pour une petite visite à votre élu du coin, à votre député, à votre sénateur, à votre maire, immigrationnistes, quand vous aurez connaissance de ces vécus en sachant que ce sont ces gringuenaudes politiques qui ont conduit à cette situation par idéologie.
Voici quelques valeurs qu’ils utilisent pour s’auto-proclamer démocrates, le Préambule de notre Constitution :
Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu’aux droits et devoirs définis dans la Charte de l’environnement de 2004.
Le Déclaration Universelle des Droits de l‘Homme qui promeut le droit à la liberté et à la sûreté, stipule que nul ne peut être tenu en esclavage ni en servitude, ni soumis à la torture ou traitements cruels :
Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.
Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 6
Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.
Article 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Article 8
Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la Constitution ou par la loi.
Or comme de la coupe aux lèvres il y a un fossé entre les valeurs affichées par la plupart des merdes politiques françaises, des macronistes aux NUPES en passant par les centristes, les socialistes, les lénino-stalinistes communistes et les Pol-pots verts tous sanglés d’indigénistes et décoloniaux qui sur le papier se présentent comme la bien-pensance contre une supposée extrême droite qui, tout bien creusé au final après analyse du réel, prend le plus à cœur le bien-être des individus de bonne volonté établis sur notre sol en exigeant un État fort et un arrêt de l’‘immigration incontrôlée qui, justement, ruine notre État en vertu du principe physique bien connu “qui trop embrasse mal étreint”.
Or ce n’est même pas mal étreindre que font nos politiques, de Macron aux Nupes, en entassant des populations défavorisées d’importation dans nos banlieues, ce sont de véritables esclavages sexuels qu’ils y ont organisé et développé au vu et au su de tous et pour les besoins des mâles d’importation.
De même les merdasses féministes adeptes de l‘importation à grandes guides peuvent bien saloper le sieur Zemmour, tout le monde rigolamera quand tout le monde il apprendra que ces chiennes pas du tout de garde adoubent ces lieux de prostitution, de dévergondage, de dégondage et de débouche d’égouts pour l’immigré aux mœurs d’importation dans notre pays à l’orée de nos villes blanches.
Voilà l’objet :
https://decolonialisme.fr/la-paix-sociale-sexuelle-est-achetee-au-prix-du-silence-le-silence-des-agnelles/
Voilà quelques paragraphes choisis :
« Tous les jours, tous les soirs, qu’il pleuve ou qu’il vente, dans des coins de collèges ou lycées (oui oui, collèges aussi), des arrière-cours d’immeubles, des apparts ou des voitures en fond de parking, des jeunes filles se font défoncer la gueule, la dignité ou le fondement dans une totale indifférence, non si pardon, par-ci par-là des « Ouh oh, la, la ! Quelle horreur ! Ça fait jeune, pauvre gamine… merci, au revoir ». Au cas où certains ne s’en rendraient pas encore compte, zone de non-droit ne veut rien dire, parce qu’il y a bien un droit : celui du plus fort. Un droit, une loi et même des usages ».
« On peut dire qu’il y a trois catégories dans ce milieu de la prostitution et des agressions : les jeunes filles sans défense, abîmées et utilisées sans relâche, violentées et droguées, puis les jeunes filles qui acceptent de se prostituer sans subir de violences physiques, genre coups et enfermement, et enfin des jeunes filles au caractère fort qui décident avec qui et quand elles vont se prostituer. Leur âge varie entre 13 et 18 ans, mais une d’entre elles me disait que 15 ans, c’était déjà un peu vieux.
« À part les proxénètes de quartier, il y a des réseaux de mères maquerelles africaines, qui reçoivent en hébergement des jeunes filles tout juste arrivées du Mali ou du Congo et qui sont soit prises en charge par les services sociaux, soit sans statut défini, donc en toute illégalité. Elles vont parfois voir à Paris ce qui s’appelle des « tontons » et peuvent toucher 200 euros par relation sexuelle. Il m’est arrivé de rencontrer des femmes mûres qui hébergeaient jusqu’à 6 jeunes filles peu habituées à leur nouvel environnement, ne connaissant personne et donc très malléables. Lorsque l’une d’entre elles fuguait et venait au centre d’accueil, il y avait à l’évidence un manque à gagner pour la « tante », qui ne voulait pas d’histoires et demandait à récupérer la jeune, ou alors à l’opposé ne voulait plus rien en savoir. Certaines de ces jeunes filles ont été placées suite à des informations préoccupantes transmises au parquet, puis leur trace se perd une fois prises en charge par le département. Il n’y a rien de bien concret à leur proposer à part un placement, mais vu l’état de certains foyers, il n’est pas rare qu’elles soient abusées même là-bas ».
« J’ai aussi vu de jeunes collègues se transformer au contact « d’indigénistes », monter en puissance dans les critiques faites à la France mais sans aucun recul, ou alors comme ce jeune qui débutait, assez neutre et ouvert, au bout de deux semaines, il parlait déjà de « renouer avec son africanité » et après les choses ont empiré, il venait avec la revue « Negus » et ne parlait plus que des injustices et de l’esclavage dès qu’il y avait un moment d’échange, s’appuyant sur Lilian Thuram ou Rokhaya Diallo pour soutenir son opinion ».
Le tableau de la liberté en marche Delacroix, c’est nos banlieues françaises ce jour et les personnages qui y sont en pointilliste, les filles pour la plupart issues de l’immigration qui, sur notre sol, devraient normalement avoir droit à la sûreté, à la protection, à l’éducation et au bonheur selon les valeurs dont les merdes politiques bien-pensantes abreuvent nos sillons du matin au soir.
Mais où sont les droits de l’Homme et le droit à la dignité humaine dans le résultat des importations de masse ?
Ce n’est pas le petit blanc raciste à l’œuvre ici mais bien des pépites d’ébène puisque notre narrateur- docteur Schweitzer que l’on peut honorer nous renseigne des populations sur lesquelles il essaie de poser un pansement qui viennent souvent du Mali ou du Congo et autres contrées du sud.
Et de constater que les donneurs de leçons et de morale, les Lilian Thuram et Rokhaya Diallo, les Houria Bouteldja et Saïd Bouamama sont en réalité devenus les alibis d’un nouvel univers concentrationnaire et tortionnaire tenu par des esclavagistes sexuels et autres destructeurs de vagins féminins : il faut le dire et le répéter partout, les Thuram et Diallo, sous un couvert décolonialiste, ont en réalité réussi à faire importer impunément en France la vieille pratique de la traite sexuelle de la femme africaine.
Certains indigénistes imaginent déjà qu’avec le changement climatique, on va bientôt pouvoir développer des champs de coton dans le Bordelais ou le Beaujolais à la place de plans de vigne, ce qui leur permettrait d’actualiser à la française toute la mystique des chants du noir esclave de son maître sudiste.
Or la voilà, la réalité, la bien-pensance indigéniste ne sert qu’à masquer le travail des mafias et des racismes anti-femmes, Madame Diallo au discours anti-blancs qui conduit aux mères maquerelles pourvoyeuses du patriarcat du violeur d’Afrique, l’image reconnaissez-le n’est pas d’un Épinal que l’on vous montre au 20 heures et vaut bien celle du Ku Klux Klan et ses chasses au « nègre ».
« J’ai eu différentes sortes de collègues, à part ceux qui font leur job avec éthique et sans attendre une réparation personnelle quelconque : ceux qui s’en foutent et se mettent en arrêt maladie à répétition, peu soucieux de la charge de travail laissée aux collègues ; ceux qui essaient de sauver le monde entier, sont en attente de reconnaissance et finissent usés, poreux et démobilisés ; et ceux qui se servent de l’accès aux adolescents comme d’un vivier d’où seront puisées les forces vives du « racialisme » et du « décolonialisme ». Ces collègues-là interviennent parfois dans des écoles, ont un discours tout fait où on retrouve les invariants de ces idéologies : La France produit leur misère, la laïcité est un racisme, vous ne serez jamais intégrés, pas la peine de travailler à l’école, les Droits de l’Homme sont ceux de l’homme blanc. Leurs égéries sont en général Rokhaya Diallo, Houria Bouteldja et Saïd Bouamama.
C’est très compliqué de pointer ça quand vous voyez que les chefs s’en foutent ou avalisent sur le mode Edwy Plenel ou Eric Fassin, dans une autoflagellation ou une jouissance morbide à voir ainsi décrier ce que ce pays pourrait transmettre de positif. Certains jeunes ne sont pas dupes, j’en ai vus qui voulaient faire l’armée, être utiles, se donner les moyens malgré les discours rencontrés. Les livres mis à disposition des adolescents dans un des nombreux endroits où j’ai pu travailler (en remplacement lorsque j’étais en intérim) parlaient essentiellement de rap culture, j’ai vu très très peu d’ouvrages fondateurs ou qui ouvrent la réflexion, ou alors il y avait de vieilles BD sans intérêt, rien qui puisse aider le jeune à trouver autre chose que ce qu’il a à la maison, donc. Il y a des institutions soit complices, soit démissionnaires, beaucoup d’endroits d’aide et de soutien aux adolescents en difficulté sont débordés, alors il y a le choix, se laisser vivre, trouver et garder sa petite place de fonctionnaire, ou faire du militantisme « décolonial ». Entre méconnaissance et laisser-faire, les responsables et autres n+1 se sont en général montrés silencieux ou complices. Il y a un énorme taux d’arrêts maladie dans le social, je n’ai jamais vu ça ailleurs ».
Vous l’avez compris, l’indigénisme, le décolonialisme, le woke, l’anti-blanchisme sont la nouvelle ligne marxiste, désormais anti-occidental, car ce dernier, dans les idéologies primatées, est posé comme l’ignoble colonialiste en son propre pays, mais avec les pires dommages collatéraux qui soient : en entretenant le ressentiment, ce sont toutes les institutions de la République française qui sont dénigrées, et du coup toutes les populations défavorisées livrées à l’idéologie de haine des Thuram et Diallo sans contrepoint laïc dans les banlieues se voient façonnées du statut d’un nouveau lumpen prolétariat d’importation, le comble étant que le dénigrement de ces institutions est pratiqué par une partie gangrenée de ces mêmes institutions façon 5e colonne qui condamne le Savoir, la culture et le goût d’apprendre pour interdire à nos Outremers de bon aloi qui en auraient la volonté d’emprunter le chemin d’une Joséphine Baker en route vers de Gaulle et la résistance : sur un front de guerre on appelle cela des traîtres et on fusille.
Diallo-Thuram, et tous ceux de leur “race” peut-on dire au sens politique, créent en réalité le fossé qui interdit l’assimilation, y compris la réalisation de soi et la réussite de sa vie chez leurs victimes déshéritées qui auraient aimé s’en sortir et l’auraient pour la plupart pu sans lesdits Diallo-Thuram.
En effet, au contraire des siècles passés, un réel ascenseur social, si imparfait soit-il, est à libre disposition de qui veut avec l’école française.
Ramener cette institution à l’école des Blancs en Afrique en référence au 19e siècle, c’est faire renoncer d’avance aux victimes de l’indigénisme aux possibilités d’îles futures par animosité défaitiste et inventer des combats aux causes fictives ou qui n’ont existé que dans le passé, et dont seule l’exhumation nauséeuse plaquée sur le monde d’aujourd’hui permet la falsification du quotidien : c’est le nouvel opium du peuple finalement, et Zemmour, c’est Marat qu’on assassine dans sa baignoire qui voulait seulement dire non au fatal, Charlotte Corday prenant les atours d’une Madame Rousseau passée au noir de suie pour masquer l’auteur du crime à la plume empoisonnée.
Du coup on peut s’alarmer avec raison, Zemmour est-il l’un des dix nouveaux petits nègres qui doivent y passer pour satisfaire à l’intrigue et aux auteurs de ces nouvelles fictions sociales qui n’ont rien à voir avec des personnes ou des faits réels selon l’expression consacrée aux créations artistiques ?
Sous couvert de décolonialisme, c’est en réalité à des recrutements armés auxquels nos idéologues procèdent, avec une armée des ombres dont la plupart ruinent sans le savoir leur avenir sans espoir de modernité : armée des ombres au sens d’armée des combats des siècles passés et non armée des ombres au sens de combat contre un supposé oppresseur contemporain, car il leur faudra l’admettre : si tant d’Africains réclament l’asile par chez nous, l’oppresseur n’est-il pas avant tout africain, donc noir, basané ou d’ébène, avant tous les autres, dans ce siècle ?
Or voilà où mène tous les jours le discours de nos indigénistes, décoloniaux et autres mélenchonistes-écolos-Nupes dans notre France Voltairienne : à la rigidité des corps féminins en panique-tétanisation et aux malaises vagaux, au déchirement du clitoris par force d’entrées et sorties des heures durant qui ne sont pas sans rappeler un Golgotha sur matelas glutineux de substances humoreuses vérolées :
« Il me semble que la paix sociale sexuelle est achetée au prix du silence même partiel sur toutes ces violences. Comme me le disait un jeune adolescent : aucun problème si on veut trouver une fille, il y a toujours quelqu’un qui connaît quelqu’un qui sait où trouver une fille « facile », à entendre comme ne pouvant déjà plus se défendre. Il m’a été donné de prendre en charge des jeunes filles tellement abîmées qu’il fallait faire en sorte de ne pas respirer trop fort ou s’approcher trop près sous peine de créer de véritables états de panique avec rigidification corporelle et malaises vagaux.
Alors comment voulez-vous avoir confiance dans l’Homme blanc qui laisse faire cela sur son sol historique, laisser prospérer cet état glauque Cosette à la Valjean vers lequel ont poussé tous les Diallo-Thuram, n’importe quel psychiatre en aurait pour 20 ans de divan avant de pouvoir espérer un sourire.
Combien de vies ont-ils assassinées avec la complicité de nos institutions et des politiques moralistes, tous ces indigénistes et décolonialistes ?
Si on veut qualifier par les faits et leurs conséquences, ce sont les Mélenchon, Thuram, Diallo et toute la bande mouvance gauchiste les grands obstacles à l’assimilation, le fossé de haine entre la France du philosophe des Lumières et les importés de bonne foi qu’ils élargissent avec l’ardeur des mercenaires contre le Genre Humain épaulés des coraniques leur sert de bureau de recrutement, et il n’est guère besoin de test de paternité pour établir une filiation directe avec le FLN qui creusait le même fossé de haine entre la population arabe et les pieds-noirs/harkis dans l’Algérie d’avant-guerre : nous en sommes au même travail de sape avec les mêmes conséquences à prévoir, et je suis sidéré que toute la mélenchonie-écologie-indigénie-wokie-décolonialie ne soit pas au bagne pour incitation à la haine, au viol, à la violence, à la sédition et à l’empêchement de l’assimilation à l’échelle de l’ensemble de la Nation.
Pour le service de leur idéologie antifrançaise et de l’égoïsme d’un pouvoir qu’ils guignent, ils sont capables de broyer des vies, des corps, des hymens, des seins en les livrant aux tournantes de leurs bandes armées qu’ils dirigent dans nos banlieues en faisant reporter la faute sur les Blancs de ce pays.
Leur erreur fondamentale mais véhiculée sciemment, je vais vous l’éclairer comme un phare éclaire la nuit les côtes pour éviter les naufrages : ils vivent dans un passé où une partie des Blancs a été ce qu’elle a été, et ordonnent à penser dans nos banlieues que les Blancs actuels sont les mêmes.
On appelle cela comment ? Une uchronie ? Ou une simple incitation à la haine ? Alors si c’est cela l’indigénisme, le décolonialisme et le wokisme, il fait quoi le juge du parquet, le juge de la 17e chambre, il se cire du matin au soir sans rien faire d’autre les deux mains occupées à sa besogne de jouissance égoïste pendant que des milliers de jeunes filles se font mettre du matin au soir par des hordes colorées aux sorties des collèges ?
Tous les Diallo-Thuram et autres indigénistes-décoloniaux ne sont rien pour qui réfléchit clair, sinon des revenants qu’un bon exorcisme devrait suffire à faire disparaître pour toujours.
Le bon exorcisme ?? L’éducation, l’éducation, l’école et l’école, les livres et les livres de l’Histoire non falsifiée montrant que le genre noir en matière de génocides n’a rien à envier aux autres genres, je l’ai déjà écrit ici, le génocide est le propre de l’Homme – donc de la femme – avant le rire.
https://ripostelaique.com/holodomor-reflexions-sur-le-vote-du-genocide-ukrainien-par-nos-deputes.html
Je le sais, Rabelais me maudit ce jour, il sait que j’ai raison et ça le gave.
Mauvais perdant le Rabelais…
Jean d’Acre
quel beau couple de haineux !! sans la france qui leur a tout apporté ils ne seraient rien mais oublient de la remecier
Et ça cette déclaration, c’est quoi?
Des experts du racisme de l’Onu soulignent «l’épuisement généralisé» de la communauté noire lié au «stress d’être noir en Amérique»
Si la vie est trop dure pour cette “communauté”, qu’ils aillent en Belgique en organisant des charters, il existe une procédure “le suicide assisté”.
L’onu se mêle un trop de ce qui ne la regarde pas comme la grosse commission europeenne, le tpi etc……… Ils s’y mettent a plusieurs milliers pour pourrir la vie des citoyens du monde!
En France, il n’y a pas de « valeurs démocratiques » mais des principes républicains.
Oui mais ces principes sont foulés aux pieds par ceux qui devraient les défendre ! Et à la place, on nous rabat les oreilles avec les “valeurs”, qui ne sont pas autre chose que laxisme généralisé, l’invasion migratoire, les droits LGBTQSDFJenesaispasquoi, le droit à l’avortement à haute fréquence…
Nos dirigeants sont des fous et des traîtres, reconduits au pouvoir par un électorat paresseux, trouillard et imbécile qui aimerait que ça change sans avoir à bouger le petit doigt !
De profondis ad te clamavi Domine…
Thuram, Diallo et cie, ne se définissent pas comme Français, sauf pour les allocations, mais ils se définissent comme Noirs. Eux ils ont droit car ce sont des victimes, enfin c’est comme ça qu’ils voient les choses.
et nous devons voir cela sous le même angle sinon…………raciste!
“Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.”
donc ne me parlez plus de ces gugusses
https://www.lestaxinomes.org/IMG/gif/mouches.gif