Menaces aggravées sur la propriété foncière

MENACES AGGRAVÉES SUR LA PROPRIÉTÉ FONCIÈRE

Dans un précédent article*, j’avais évoqué les projets macroniens de décourager les propriétaires fonciers. Voici que, selon L’Échelle de Jacob**, un projet complémentaire non négligeable les spolierait davantage, de façon brutale et contraire à la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen dont se gargarisent ceux-là mêmes qui dénaturent la citoyenneté :

« Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. » La nécessité publique serait-elle justifiée par le fait que les gouvernements successifs ont depuis cinquante ans endetté l’État, malgré l’imposition la plus lourde du monde, au-delà du raisonnable, de l’utile et de l’efficace ? Et quand bien même cela serait, quelle juste et préalable indemnité pourrait-elle être versée, avec quels moyens ? A-t-on déjà vu payer des indemnités pour avoir fait payer son propre bien à un propriétaire et de plus de façon préalable ? Ce projet démontre bien que nos dirigeants ne savent que dilapider les fonds publics, faire payer les honnêtes gens légalistes et scrupuleux pour des plans injustifiés puisque endettant le pays sans en assurer la prospérité. Il n’est que de voir l’état de notre système de sécurité sociale toutes branches réunies, nos hôpitaux, nos écoles, nos routes… Constater l’augmentation de tout les impôts sans contrepartie de bien public, le fossé s’agrandissant entre les riches et les pauvres, la destruction de la classe moyenne… On entend encore Bulot Lemaire déclarant une guerre économique à la Russie devant la mettre à genoux alors qu’aujourd’hui ce sont les finances des États européens qui sont en difficulté exponentielle, notamment à cause du paiement des fournitures de guerre à l’Ukraine. La participation à cette guerre, qui par ailleurs nous coûte déjà en plus la désapprobation de nombreux pays, va dans peu de jours nous valoir une contamination radio-active***.

Remercions donc le Royaume-Uni d’avoir fourni à l’Ukraine plusieurs milliers d’obus à uranium appauvri qui, maintenant qu’ils ont été désintégrés par un missile russe, vont prochainement semer la maladie et la mort sur notre territoire comme sur celui de nos voisins européens, les récents vents dominants ayant tourné d’est en ouest. Remercions-le aussi de montrer ce singulier exemple de non-propriété du sol, l’avoir foncier se limitant au construit, le propriétaire devant payer un loyer à l’État britannique justement pour l’utilisation du terrain. La télévision nous a récemment informés (si l’on peut dire) de cette particularité dont certains diront que puisque cela existe, est possible, pourquoi pas l’adopter ? Oui mais… chez nous en France, les propriétaires ont payé (ou hérité de) leur terrain, il leur appartient donc de plein droit, de façon légitime et légale. On voudrait donc leur faire payer ce qui leur appartient déjà ! Le texte prévoit que si le propriétaire ne paie pas cet impôt innommable, ce sont les héritiers qui se verront retirer la valeur correspondante… de quoi bien envenimer les relations dans les familles ! Les familles sont ces références fondamentales de l’espèce humaine, perpétrées chacune par un homme et une femme, ces entités multi-millénaires que les mondialistes voudraient voir disparaître au profit d’individus acculturés, sans âme et sans racines, sans sexe défini, juste bons à exploiter jusqu’à ce que, ne produisant plus, ils soient préparés pour cette euthanasie que le régime macronien veut légaliser, institutionnaliser, peut-être même inscrire dans notre Constitution, à la suite du « droit » à l’avortement. Ainsi la boucle serait bouclée de ce régime de mort prévue du début à la fin de la vie.

En début d’article, je cite la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen. Notons que, depuis longtemps, la référence à ce texte est devenue, usuellement, la Déclaration des droits de l’Homme, le Citoyen ayant disparu. Par simple commodité ? Pas si sûr… Le terme L’homme ici employé désigne évidemment l’espèce humaine dans son ensemble, effaçant toute spécificité, notamment celle d’être citoyen d’un État, institution administrant un pays (c’est pourquoi il avait été précisé et du Citoyen). Pays disposé sur une terre, lieu des racines physiques et spirituelles partagées communément, familialement, régionalement et séculairement, constituant avec les langues, les lois, les devoirs et les coutumes d’une nation. Une nation ? Encore une étrangeté pour les mondialistes ! L’Union européenne, élément de la mondialisation, nous a déjà enlevé nos frontières et notre monnaie, a subordonné nos lois nationales aux siennes, voici que les mondialistes veulent faire disparaître nos racines ! Et pour y arriver, la spoliation des biens immobiliers serait l’une des nombreuses solutions élaborées par ces esprits malades, ces étranges consciences que les Français s’obstinent à remettre en place à toutes les élections…

Daniel Pollett

* https://ripostelaique.com/les-menaces-sur-la-propriete-fonciere-se-precisent.html

** https://echelledejacob.blogspot.com/2023/05/macron-veut-decreter-que-letat-devient.html

*** https://ripostelaique.com/uranium-appauvri-grace-aux-anglais-les-cancers-vont-augmenter-en-europe.html