Mila au tribunal face à 13 haineux qui l’ont souhaitée morte

L’ado Mila aujourd’hui adulte avait envoyé bouler des rebeus agressives sur un réseau social d’internet. Mettre virtuellement des doigts virtuels dans le trou du cul virtuel d’un dieu, celui des musulmans et son prophète (un type pédophile qui avait des esclaves noirs et blancs, chef de guerre il y a plusieurs siècles de cela) lui avait valu des menaces de morts et l’impossibilité de retourner dans son lycée. Le Grand Remplacement fait qu’un lycée avec des musulmans est un lieu dangereux pour les enfants des Français européens descendants de chrétiens (ce serait un bon sujet pour la presse, non ? Quoi, j’ai dit une connerie ?).

La presse ne parle pas du racisme anti-Blanc des musulmans ni de l’impossibilité de vivre avec eux en France.

La presse ne parle pas de la liberté d’expression ni de la possibilité de blasphémer en France.

Mais la presse parle de la HAINE et de la nécessité de censurer l’internet.

https://www.francetvinfo.fr/societe/religion/religion-laicite/affaire-mila-jamais-dans-l-histoire-de-ce-pays-une-jeune-fille-na-recu-100000-messages-haineux-temoigne-son-avocat-richard-malka_4647831.html

« C’est ce qui est glaçant et effrayant dans ce dossier, c’est que ce ne sont pas des délinquants, ni des fanatiques. Ils ont absolument tous un casier judiciaire vierge. Des personnes sans problème, plutôt très jeunes, entre 18 ans et 22 ans, et qui ne se rendent pas compte de la gravité de leurs actes et qui s’étonnent aujourd’hui que cela ait pu les mener à une perquisition, à une garde à vue et à un passage devant le tribunal correctionnel. Et même, ils s’en offusquent.

“Pour un seul tweet ?”, nous disent-ils. Oui, un tweet, ça peut mener à ça et il faut que cela se sache. On ne peut pas continuer à accepter cette sauvagerie. À se dire que comme c’est sur les réseaux sociaux, c’est normal. Ils invoquent leur liberté d’expression. Pour eux, la liberté d’expression, c’est : “On ne peut pas critiquer Dieu”, mais par contre on peut envoyer des menaces de mort. Ce message, il faut bien le faire passer : le blasphème, c’est légal en France et on ne menace pas de mort, même sur les réseaux sociaux. Cela peut vous mener à des perquisitions, à des gardes à vue, à des casiers judiciaires. »

La ligne d’attaque de l’avocat de Mila est à chier si c’est bien celle relayée par France info ci-dessus.

Je n’ai aucune sympathie pour les lèche-babouches. Et je pense que les 13 prévenus en sont, des lèche-babouches et pas des musulmans. Pourquoi ? Le casier judiciaire vierge. Mais pas d’amalgame ! Il est possible qu’il y ait 13 Maghrébins ou Noirs musulmans de 20 ans qui souhaitent la mort de Mila et l’ont harcelée via le net pour le lui dire, et qui ne soient pas des racailles. Je veux voir les photos et avoir les noms des 13 accusés pour y croire, c’est tout.

L’article se termine par des menaces :

« Même si on a un pseudo et qu’on est anonyme derrière son écran…

Même si on a un pseudo, même si on a un VPN, même si on est anonyme derrière son écran, même si on est très jeune, et même si on n’a pas de casier judiciaire, et même s’il ne s’agit que d’un seul message. C’est la loi Schiappa. »

Alors Richard Malka (avocat de Mila) je t’explique : l’internet était le seul lieu de liberté d’expression qu’il restait en France pour les gueux et les nationalistes. Toi tu passes dans les médias, nous non. Ces 20 dernières années, grâce à l’internet, enfin les membres du peuple avaient la possibilité d’exprimer leurs opinions, d’utiliser leur liberté d’expression. La loi Schiappa ou Avia ou de censure est là pour bâillonner le peuple. Alors mon petit gars, tu fais quoi ? Tu choisis le camp de la liberté ? Ou tu restes dans le camp de la dictature en place ?

Dans le camp de la liberté, il est possible de défendre Mila et la liberté d’expression. Dans le camp de la liberté, les musulmans qui ont conduit à la déscolarisation de Mila sont remigrés, ceux qui l’ont agressée physiquement (s’ il y en a) vont en prison puis sont remigrés. Résultat, si le camp de la liberté gagne, la société française est à nouveau une société sûre où la liberté d’opinion, de blasphème et les débats d’idées existent.

Brenton Anders