Madame Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, vient de publier un livre intitulé « Le frérisme et ses réseaux, l’enquête » (éditions Odile Jacob). Il est préfacé par le politologue Gilles Kepel, considéré comme un des meilleurs connaisseurs des mouvances islamiques en France. À ces deux spécialistes, comme à notre élite, il manque cependant le courage intellectuel pour écrire et parler pleinement vrai.
L’approche adoptée jusqu’ici par nos politologues, sociologues et politiciens, nous conduit à tourner en rond, comme le font les musulmans autour du cube noir de la Kaaba. De cette façon, il est impossible de nous en sortir avec l’islam, incarné par ses premières victimes que sont les musulmanes et leur progéniture.
Ce sont bien ces victimes-là, en chair et en os, qui se transforment en vectrices-reproductrices de l’infamie qu’est l’islam. Il est d’une absolue nécessité qu’elles se dégagent de l’emprise de cette idéologie abjecte pour renvoyer le génie de l’islam à sa boîte d’origine, située au centre de la Mecque et du monde musulman. Nos politologues, nos sociologues et nos politiciens peuvent continuer, très longtemps, à disserter du sexe de ce génie malfaisant et de ses différentes manifestations sans nous faire avancer d’un iota.
L’islam se réduira toujours à l’équation i = Coran + Mahomet. Mais rassurez-vous : je ne me suis jamais contenté de formules à l’emporte-pièce. Dans mes écrits, aussi bien en arabe qu’en français, je me suis toujours efforcé de démontrer que l’islam est la somme des pratiques rituelles et sociales communes aux musulmans du monde entier, toutes obédiences et dénominations confondues. Vous allez lire pourquoi il ne faut jamais se résigner à les accepter ou à relativiser leur pernicieuse nocivité pour notre humanité.
Si vous partez du postulat que l’islam est une religion, vous avez déjà perdu. C’est une idéologie totalitaire qui commence par asservir les femmes et obtient, comme vous le savez très bien, tout une progéniture qui inscrit la soumission dans le corps, l’espace et le temps, front contre terre et derrière en l’air. Tant que les musulmanes et leurs enfants ne se sont pas débarrassés de cette infamie, il n’y a rien de bon à attendre de l’acceptation de cette indignité. Il faut toujours s’en incommoder.
L’islam, c’est-à-dire le Coran et Mahomet, interdit à la musulmane d’ouvrir son cœur et son lit à l’amour des juifs, des chrétiens ou des non-musulmans. De cette façon, il garantit son autoreproduction en rond. À l’amour de l’Autre, l’islam reste totalement hermétique. C’est l’assignation à vie et de mère en fille, à un ghetto matrimonial.
Tous les musulmans mangent halal, c’est-à-dire de la viande consacrée à Allah selon un rituel précis et des produits licites, non interdits par le Coran. De cette façon, toute la progéniture des musulmanes est amenée à ne pas partager la nourriture de l’Autre. À moins que ce dernier ne se résigne à lui servir du halal ou se mette, lui aussi, à manger du halal. C’est ce qui se passe dans les cantines scolaires, celles des hôpitaux, des casernes, des centres de vacances, des prisons, bref, partout où la progéniture des musulmanes est admise. De cette façon, l’islam a su installer ses us et coutumes partout où une communauté musulmane s’est implantée. Dans les kebabs du coin, le traditionnel jambon-fromage est définitivement banni. C’est par la transformation du goût, ou plutôt, par son formatage au goût islamique qu’une autre culture s’installe, là où une porte d’entrée lui est entrouverte. C’est l’assignation à un ghetto alimentaire.
L’islam a commencé par prescrire le voile au harem de Mahomet. Dans son gynécée, les historiens musulmans ont dénombré jusqu’à neuf épouses, en même temps. Son prétexte : distinguer ces nobles et damnées dames des autres femmes. Cette infériorisation de la Femme, décrétée par l’islam et entrée dans la pratique de toutes les sociétés où l’islam s’était installé, pourrait suffire à convaincre nos concitoyens, peu ou prou attachés à la fraternité et à l’égalité, pour qu’ils rejettent l’islam, sans la moindre hésitation ou négociation.
Dès ses débuts, l’islam a tout compris : rabaisser la Femme c’est obtenir que sa progéniture s’humilie, courbe l’échine, se prosterne puis s’aplatisse. Un spectacle qui se donne à voir, plusieurs fois par jour, de l’Indonésie jusqu’aux fins fonds de nos contrées. Devant cette maestria dans le contrôle social, nous restons sans voix. Quelle maîtrise de toutes ces foules humaines qui composent la communauté musulmane ! Aucune autre idéologie, aussi totalitaire soit-elle, ne l’a encore égalée dans la durée ! C’est un miracle islamique qui se reproduit, au quotidien, devant nos yeux ébahis. Cela explique que beaucoup de nostalgiques du communisme ou de déçus par sa banqueroute basculent aisément dans la fascination de l’islam.
Une décennie après la sinistre Régression islamique en Iran, le voile s’est invité dans nos débats en France. Sans vergogne, il a réussi son intrusion dans notre espace visuel commun. De cette façon, l’islam et ses premières victimes nous désignent celles qui sont réservées à l’autoreproduction dans l’entre-soi. À travers ses voiles, l’islam a testé notre indolence. À quelques exceptions près, il n’a trouvé, face à lui, que de serviles carpettes ou, au mieux, des marchands de tapis. Ces derniers concèdent à négocier leurs valeurs différenciées selon qu’il s’agit de l’école-collège-lycée, de l’université, du gîte rural, des sorties scolaires, du service public ou de l’espace publi … , entre autres finasseries byzantines.
En toute logique, les voilées ne se baignent pas avec tout le monde et comme tout le monde, en maillot de bain. Elles désertent les piscines mixtes et les plages où tout le monde, grands et petits, communie dans la joie de vivre. Nous voyons donc que le ghetto matrimonial se double d’un enfermement esthétique et vestimentaire. Comme je l’ai souvent rappelé à ceux qui ne veulent pas voir : la beauté du nu divin est totalement étrangère au monde musulman.
Je m’arrête là. Je crois avoir démontré que c’est l’islam et ses pratiques rituelles et sociales les plus élémentaires qui posent problème et que ce ne sont pas les salafistes ou les Frères musulmans qui auraient inventé toutes ces façons de pervertir toute société où l’on fait une place à l’islam et à ses victimes que sont les musulmanes et leur progéniture. Je suis persuadé que tous nos chercheurs et nos politiciens le savent et qu’ils n’ont pas le courage de la sincérité.
À Madame Bergeaud-Blackler, à Monsieur Gilles Kepel, à tous nos chercheurs et à tous nos responsables politiques, je me permet de dire qu’ils perdent tout simplement leur temps en cherchant à distinguer les différentes écoles et obédiences de l’islam.
Oh ! J’ai failli oublier les ghettos sépulcraux où les musulmans se font enterrer, à part et à l’écart de leurs concitoyens, s’ils ne demandent pas, purement et simplement, d’être enterrés au pays de leurs ancêtres, entourés uniquement de musulmans !
En un mot : l’islam est un ghetto et un enfermement, de la conception à la mort, en y passant toute la vie. Il faut en finir avec ce séparatisme islamique. Point final !
Face à l’islam, la Reconquête, sinon rien ! Le plus tôt sera le mieux. C’est de cette façon que la musulmane, et donc sa progéniture, sera amenée à sortir, à se libérer de ses ghettos.
Pascal Hilout, né Mohamed
islam/frères musulmans : c’est exactement pareil l’un découlant de l’autre – cette distinction incompréhensible dans ce livre pose question
Vous avez tout a fait raison monsieur Hilout ; L’islam n’est pas une religion c’est une théorie politique de conquête qui cherche a dominer par tout les moyen et notamment la terreur . L’islam est une aliénation mentale .Tout les germes de la destruction sociale sont dans l’islam . L’analyse statistique sémantique montre un décalage avec le reste de l’humanité ( 6 milliards de non musulmans) . Des mots-concepts comme amour , égalité , monogamie, sciences, tolérance, liberté sont totalement absents du coran . Cela façonne une société mentale en rupture , voire conflits comme cela se constate tout les jours dans la rue , les quatiers, les administrations, les tribunaux, les prisons, l’armée, les programmes scolaires , les transports, en commun, les cantines , les lieux de travail ,à la piscine ,, l’hôpital . En revanche les mots ”
soumission , obéissance , sont répétés des centaines de fois .
Pour accepter l’islam il faut être gravement taré…
Oui Claise, et comme le conditionnement dès la naissance est puissant, je suis hyper admiratif de celles et ceux qui parviennent à sortir de ce système totalitaire.
“Soumission”! Un mot, et tout est dit sur l’islam.
L’islam n’est pas un obscurantisme religieux comme les autres monothéismes, dont les rédacteurs du coran se sont inspirés.
L’islam est un système dictatorial de coercition, à la fois politique, juridique, économique, qui n’a qu’une seule loi, se soumettre à une idéologie antédiluvienne ou périr. Tout et tous doivent se soumettre, jusque dans les moments les plus intimes de la vie.
Les adeptes de ce parti sont à mille lieues de comprendre l’injonction assénée par V Hugo: “l’État chez lui, les églises -et les croyances- chez elles”!
Inutile d’essayer de convaincre un islamiste de respecter la Laïcité. Le mot LAÏCITÉ n’existe pas en arabe… Et pourquoi feraient-ils des efforts, puisque les politicards qui gouvernent la France s’acharnent eux-mêmes à tuer la Laïcité?
Bien dit Curiosous.
Curiosus, si je suis d’accord avec vous concernant l’islam, par contre votre expression “obscurantisme religieux” en parlant des autres monothéismes vous place dans les rangs des nostalgiques du petit père Combes…
Ce qui est tout à fait votre droit !
Pour avoir habite 4 ans au milieu d’eux, je ne peux que souscrire à tout ce qui est ici énoncé. Ce dogme et ses interdits n’a qu’un but : la soumission et l’abrutissement. Il n’y a en fin de compte qu’un Islam. Qui empêche le cerveau de tolérer le reste. Le djihad est une obligation. C’est ce que nous subissons, de l’imposition du hallal à la délinquance, jusqu’aux meurtres et aux attentats. Seule une minorité vit sa foi dans son coin. Tout discours allant à l’inverse et ces faits ne vaut rien.
EXCELLENT comme toujours. Quiconque veut tenter de comprendre l’islam, doit commencer par lire les précieux écrits de “Pascal Hilout, né Mohammed”, qui donc sait exactement de quoi il parle… contrairement à tant d’autres “donneurs de leçons” permanents, quand ils ne sont que fortiches en mensonges et manipulations.
Un grand merci Pascal, avec toute mon affectueuse amitié.
En effet, l’Islam n’est pas une religion, mais une idéologie imposée par un pédophile dans le but de réglementer les perpétuels conflits entre bédouins. Ne pas comprendre ça nous entraîne directement au statut de dhimmi, au mieux, ou de victime par génocide, plus vraisemblablement.
Le problème n’est pas l’islam , ni même l’Islam mais l’islamisation. Donc les Musulmans présents sur les territoires européens.Il y aussi les islamo-collabos.
Dès que le pape s’est agenouillé pour leur laver les pieds, j’ai su que c’était foutu. L’islam s’étend de jour en jour et métastase le monde entier. Personne ne pourra s’y s’opposer sauf à accepter d’égorger à son tour. La barbarie a toujours gagné face à la civilisation.
Merci pour votre article, monsieur Hilout, votre courage et votre clairvoyance doivent être montrés en exemple !
Totalement, l’islam est un poison qui infeste l’esprit de tout musulman !
On ne peut appeler impunément au génocide des autres (voir S9- V5) sans conséquence.
Le coran, cette bouillie haineuse, est pire que “Mein Kampf” !
Certes Pascal, vous parlez de l’intérieur vous qui venez de cette idéologie; vous omettez juste de préciser que l’islam est un judaïsme prosélyte, et c’est pourquoi de nombreux rites en sont issus ( la casher-halal, le séparatisme alimentaire, vestimentaire, voiler la chevelure des femmes, les inférioriser et les réserver pour la perpétuation du clan) le sentiment de supériorité car choisis par Dieu. L’esclavagisme, la dhimmitude, l’infériorisation de tout ce qui n’est pas musulman, sont également des affres de ces “religions” du désert.
D’ailleurs le mot dîme en Français, ne vient-il pas de la soumission forcée de cet impôt aux non musulmans?
Je n’oublie pas.
Lu et approuvé Vera !
Pour la dîme, le mot vient du latin “decima” qui signifie le dixième. Un dixième donc des récoltes ou des revenus perçu comme impôt… Chez nous au Moyen-âge cet impôt était prélevé par le clergé, mais cet impôt était déjà mentionné dans la Bible et perçu chez les Juifs, rien d’étonnant donc de le retrouver également chez les muzz !
Mathieu Bock-Côté sur CNews a parlé de ce livre avec enthousiasme et à plusieurs reprises. Avec insistance même. Puisqu’il l’a encore cité hier. Et il a reçu l’auteur. Fascination pour une membre du CNRS ? Toujours est il que j’ai trouvé cette insistance dérangeante. Qu’en pense sa femme Karima Brick qui est aussi sur CNEWS où elle parle fort pour enfoncer des portes ouvertes avec son accent quebécois exaspérant tant il est exagéré ?
Merci Pascal, né Mohamed. Vous avez bien fait de changer de prénom et nom. Tout ce qui représente l’islam est diabolique. Rien de cette secte satanique n’est bon ni sain pour l’esprit. Ses disciples sont haineux, intolérants, et étroits d’esprit. Ils sont dangereux et nés dans le mauvais siècle. Ils ont la mentalité des gens du 7e siècle !
Excellente démonstration, claire et concise : sans musulmanes, il n’y a plus d’islam.
Malheureusement, comme dans le jardin d’Éden, la femme est trompée par le diable.
Une imparable argumentation, à IMPRIMER et à ENVOYER par La Poste à Mme Bergeaud-Blackler à son adresse postale publique se trouvant sur la page
https://bergeaud.blackler.eu/contact/
Sans cela, elle ne lira jamais cet article et ce serait bien dommage.
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Mettre sous enveloppe, écrire nom du destinataire + adresse, timbrer et poster.
Mettre Mme Bergeaud-Blackler le nez dans ses défaillances, ça ne coûte qu’un timbre.
Mais quelle lise cet article c’est très bien pour l’échange mais quelle en reçoive des dizaines, je ne vois pas pourquoi ! elle a fait ce livre courageusement après plus de 30 ans de recherche, et comme j’ai vu son émission, je ne pense pas qu’il y ait une contradiction avec ce qu’écrit Pascal Hilout, c’est une autre approche pour dire qu’il fallait se méfier de leur ruse qui est de “s’habiller ” au sens large, à la façon de européenne afin de mieux nous tromper ! c’est tout ! et c’est grave !