Morland Mixité Capitale : l’arnaque du maire Ariel Weil

Tout un tas de guignols, politiciens, architectes, sociologues, universitaires bavent à longueur de journées et de nuits de la mixité sociale.
C’est devenu un nouveau dada qui a remplacé le Dada de Tzara et Duchamp, mais on reste à des lieues du Cabaret Voltaire.

Ces gens-là ne connaissent rien à la mixité sociale compte tenu de la masse de communautés que les crétins politiques ont laissées s’installer dans l’Hexagone, ils font de la mixité sociale dans le titre, dans l’affiche, dans le discours, mais pas du tout dans la vraie vie.

Tenez, les arlequins, qui ont inauguré le Morland Mixité Capitale à Paris récemment, se gobergent de conjuguer « l’installation de onze usages différents dans un même bâtiment. On y retrouve toute forme de logements (200 en tout !) à la fois sociaux, intermédiaires ou privés. “C’est ça la mixité sociale, c’est quand vous n’avez pas forcément les mêmes revenus dans un immeuble”, se réjouit le maire de Paris Centre, Ariel Weil, qui met en lumière également « la mixité d’usages ». Car en tout le bâtiment mélange différentes utilisations de l’espace : une auberge de jeunesse pour les petits budgets, ainsi qu’un hôtel cinq étoiles. Plus original encore, Morland Mixité Habitat propose un club de fitness et une piscine, des bars et restaurants, des bureaux, une galerie d’art, une crèche et même un marché alimentaire ».

https://www.fdesouche.com/2022/05/24/paris-ive-en-bord-de-seine-lancienne-cite-administrative-veut-devenir-le-symbole-de-la-mixite-urbaine-et-reinventer-le-vivre-ensemble/
https://www.20minutes.fr/paris/3291987-20220518-paris-bord-seine-immeuble-veut-reinventer-vivre-ensemble

Il n’y a rien d’une mixité sociale là-dedans, ou c’est du frileux à s’en geler les nougats qu’il faudra amputer de leurs gerçures incurables.
Pour de la vraie mixité, celle que le citoyen vit tous les jours dans le mythe du bien-vivre ensemble, on aurait aimé le bar gay avec son cortège de prétendants en chasse et en rut côtoyant la mosquée, le bar à filles aux poses lascives postées à côté de l’école coranique, cette dernière face à l’école rabbinique avec kippa obligatoire, la salle de shoot donnant directement sur la salle de fitness avec une transition inter-espace entre ces deux lieux de vie modelée façon grotte Cosquer ou gouffre de Padirac, en voilà de la mixité sociale, celle que vivent des millions de gens qui ne sont pas tous du voyage, ou alors celui du bout de la nuit, dans leurs banlieues hantées par la haine que leur voue une nuée d’allogènes.

Quand je vous décris ci-dessus la vraie mixité à côté de ce que proposent les élus parisiens qui se congratulent d’un rien : « “C’est ça la mixité sociale, c’est quand vous n’avez pas forcément les mêmes revenus dans un immeuble”, se réjouit le maire de Paris Centre, Ariel Weil », on voit ici que cela taille seulement du bout des lèvres comme de la première communiante au lieu d’y aller gorge profonde comme une grande partie de la classe politique française, mélenchonistes en tête, si j’ose dire.

C’est de la mixité sociologiquement déjà épurée, frelatée, passée au chinois ou au presse-purée des codes de la très haute bourgeoisie, ici on ne voit rien du « Allahu akbar » ni « du fils de pute de Blanc » dans les tantièmes des parties communes de la copropriété dans cet espace Morland, rien qui rappelle la joie du partage du couteau entre l’agressé et les agresseurs, rien de l’enrichissement des cultures que la vraie mixité procure : quartier Morland à Paris, on est dans l’entre-soi plutôt que dans l’antre des autres comme il est pourtant de coutume d’importation dans les zones interlopes où le Blanc fait la joie du chasseur de couleurs.

Non Monsieur Ariel Weill, quand vous n’avez pas les mêmes revenus dans un immeuble, c’est de la vieille mixité sociale qui n’est plus adaptée aux données démographiques, anthropologiques et tribales de notre pays ; à Paris, vous n’avez rien inventé, juste copié de l’ancien dans de l’ancien avec une mentalité d’ancien, vous n’êtes plus de votre temps.

La vraie mixité sociale, c’est le juif d’à côté qui vous prête sa salle de bains quand la vôtre dégorge déjà pour égorger le mouton lors des fêtes idéologiques, c’est le jambon-beurre-pinard au moment du ramadan, c’est le rodéo sauvage à toute heure, c’est le passeport obligatoire pour rentrer chez soi et passer le check-point tenu dans le hall de l’immeuble par les racailles qui rançonnent le quidam, on appelle cela la zakat.
Ceux qui croient avoir réinventé la mixité sociale n’ont fait rien que de réitérer leurs vieux imaginaires, la vraie mixité sociale d’aujourd’hui est dans les faits divers rapportés tous les jours dans la presse, c’est quand le Blanc se fait suriner par le Black ou l’Arabe du quartier pour un mauvais regard ou une cigarette, quand on communie dans l’espace public 5 fois par jour sur un tapis de sol à emmerder le passant qui voit son droit fondamental d’aller et venir violé, certains avancent même qu’il vaut mieux voir son droit violé qu’autre chose, c’est quand vous ne pouvez plus sortir en robe ou en jupe, la voilà la mixité sociale que l’on vous impose.

Croyez-moi, à Paris Capitale Mixité Habitat Morland ils n’ont rien inventé du tout, ils ont tout simplement copié Haussmann avec la chambre de la bonne au 8^e qui travaille dans l’appartement bourgeois du 2^e où elle se fait engrosser régulièrement par le chef de famille, on est au théâtre, c’est du Labiche ou du Feydeau où l’on s’envoie des vacheries pour le plaisir du public seulement, ici on ne meurt pas vraiment, tous saluent à la fin de la représentation au contraire des banlieues françaises mixitées à mort, osons-nous écrire.

Ils n’ont tellement rien réinventé qu’on ira déplorer qu’il n’y aura probablement jamais un Samuel Paty ou un curé en son église à se faire égorger tellement ils ont voulu éviter le réel du mix non énergétique.
C’est pourtant bien cela la modernité en matière de mixité sociale, qui irait nier les faits divers juste pour essayer, en vain, de me contredire ?

Jean d’Acre