Musulmans, si vous voulez être crédibles, jetez votre coran !

On ne vous a pas attendus pour faire la différence entre le Bien et le Mal. Aucune religion aujourd’hui, à l’exception notoire de la vôtre, ne tue au nom de « son » dieu. Aucune autre religion aujourd’hui ne brandit son livre « sacré » dans des manifestations de rue haineuses ; aucune autre religion ne célèbre son dieu en égorgeant. Aucune religion, autre que la vôtre, ne pratique des rituels aussi barbares – même chez de « supposés » extrémistes qu’elles auraient en leur sein. Enfin, nulle religion, autre que la vôtre, n’exige que l’on se plie à ses rites d’un autre âge pour s’intégrer durablement et sans heurt dans la vie politique et sociale.

Votre religion « de paix et d’amour », ainsi que vous vous efforcez de la présenter, repose sur cinq piliers qui constituent le fondement du mode de votre vie islamique. Le premier, la profession de foi, le second, la prière cinq fois par jour, le troisième la zakat (soutien financier aux pauvres), le quatrième, le jeûne du mois de Ramadan et, enfin le pèlerinage à la Mecque une fois dans la vie pour ceux qui en ont les moyens. Tout cela est à mettre en relation avec l’ensemble des versets du Coran et des hadiths qui l’accompagnent.

À la lecture du programme proposé par ces piliers, on pourrait penser que chaque terroriste qui tue des « kouffars », (ou mécréants, c’est selon), s’est tant éloigné de sa foi qu’il en a perdu toute humanité. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Et quand on lit certains versets du « livre » musulman, on réalise au contraire que cette foi s’exprime dans sa compréhension la plus « essentielle ».

S’agissant de l’horrible attentat de Nice, avec l’aide des journalistes français stupides au point de tenter l’impossible travail de dédouaner l’islam de ces tueries à répétition, de son côté, la mère de l’assassin musulman tente, sans s’apitoyer sur la tragédie que vivent les familles des victimes de son fils mais, par un moyen hypocrite et malsain, de faire passer un message pour sortir l’islam du contexte de ces événements terribles car, comme toujours, « cela n’est pas acceptable en islam ». Il a donc agi en dehors des préceptes de notre religion. « Auparavant, il buvait de l’alcool et consommait de la drogue. Je lui disais, nous sommes nécessiteux et toi tu gaspilles de l’argent. Il répondait si Dieu le veut, il va m’orienter vers le bon chemin, ça me regarde. » Par un subtil concept et une inversion de sens, « on » veut nous faire comprendre que l’assassin n’a donc pas agi au nom de l’islam puisqu’il buvait de l’alcool et se droguait, ce qui est « haram » (illicite) et donc formellement interdit chez les musulmans pratiquants… mais si l’on comprend bien, il est revenu « dans le bon chemin ». On connaît la suite, la Tunisie, l’Italie et la France ! Le bon chemin de son dieu l’a mené jusqu’à Nice.

Ce sauvage sanguinaire – et non pas « l’assaillant » comme se plaisent à l’écrire ou le dire les journalistes à longueur d’information – a donc bien agi conformément aux commandements de son livre sacré, en bon pratiquant de l’islam « soumis ». Une sourate (9,30) suffirait d’ailleurs, a elle seule, à expliquer son comportement assassin. « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre (Torah, Bible), jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés ». Même si elle sont appelées par la grande majorité des croyants du croissant, se cachant derrière une litote, à être « décontextualisées » parce qu’elles auraient été écrites il y a quatorze siècles, les sourates constituent pourtant un véritable appel collectif au meurtre, comme le prophète, conquérant sanguinaire l’a voulu au cours de ses conquêtes du septième siècle. Le plus incrédule des Français – et il en reste malheureusement un grand nombre, surtout chez les « humanistes » de gauche –  seraient bien inspiré de s’en préoccuper !

Dans un autre registre, le 29 octobre, sur son compte Twitter mais sans signature, le CFCM, entre autres officines de développement d’un discours pro-islam sous-jacent – qui sent le vent du boulet se rapprocher, s’est empressé, par la voix de son dirigeant, d’apporter sa pierre à l’édifice de consolidation de l’islam en France. « Je condamne avec force l’attentat terroriste qui s’est produit près [dans-NDLR-] de la basilique Notre-Dame de Nice. En signe de deuil et de solidarité avec les victimes et leurs proches, j’appelle les musulmans de France à annuler toutes les festivités de la fête du Mawlid. » Cette fête est supposée célébrer la naissance du prophète des musulmans ; pourtant, on peut se poser la question de savoir si ce geste revêt une importance cruciale pour eux. En effet, tant en Arabie saoudite que pour certain « savants » de l’islam, la fête de Mawlid est considérée comme une innovation religieuse (bidʻah) étrangère à l’islam. D’après eux, l’anniversaire de Mahomet n’a jamais été célébré de son époque, ni par ses compagnons, ni par les musulmans sunnites des premiers siècles. Aucune trace explicite de cette fête n’existe dans le Coran et la sunna. Ne serait-ce pas – encore – une façon de « contenter » l’opinion publique en jetant un os à ronger pour la bonne cause ?

On le voit, il y a pour eux encore un très long chemin à parcourir dans la nuit avant que cette religion ne se fasse oublier, comme d’autre en France dont ce n’est pas l’ancrage historique. On pense ici au bouddhisme, par exemple. Et l’on se demande alors, surtout aujourd’hui, après l’attentat odieux de Nice, si elle n’est pas la quintessence d’un mal absolu dont les hommes qui la pratiquent n’ont pas envie d’extraire vraiment les ferments nocifs depuis toujours. Notre société française, de culture gréco-judéo-chrétienne, qui tolère toutes formes croyances, de non-croyances et de religions étrangères dans sa construction démocratique apaisée, comme on le voit avec les Asiatiques, par exemple, pourraient-elle également tolérer un islam complètement reconstruit sur les base d’un nouveau Coran, débarrassé de sa dimension belliqueuse guerrière et politique ? La question risque de rester posée encore longtemps. Mais espérons qu’elle ne continuera pas de s’écrire avec le sang des Français.

Jean-Louis Chollet

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9 Commentaires

  1. Le drame chez les muzz c’est que le coran remplace le cerveau.
    Ils sont donc systématiquement attardés mentaux avec un décalage temporel de 1300 ans.
    Et ils ne sont pas près de remonter la pente, surtout que c’est interdit par leur bouquin ignare.

  2. hélas le piège est qu’en tant que livre incréé nul ne peut et ne pourra jamais ôter même une virgule au texte sacré,émanant de dieu lui.même / aussi pour une évolution prometteuse de cette ‘religion : il va falloir trouver autre chose

  3. s’ils l’expurgeaient des versets assassins, misogynes, sadiques, pseudoscientifiques comme le font les chinois, il n’en resterait pas grand chose mais pour l’instant :
    (islam religion d’amour et de paix)
    4:90 ne prenez pas d’amis parmi les mécréants, s’ils tournent le dos, alors tuez les
    (islam religion de tolérance religieuse) 2: 194 combattez les … jusqu’à ce que la religion puisse être préférée par allah
    (islam modéré, des lumières) 15:92 nous enverrons le chatiment sur ceux qui diviseront le coran en morceaux
    (cépal’islam) 39:29 le coran, un livre récité en arabe, langue claire et éloquente et sans tortuosité
    (islam auto-absolution ) 8: 18 aussi ça n’est pas vous qui les avez tué mais allah

  4. La plupart des mahométans n’ apostasieront jamais car l’ apostasie condamne à mort.

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