Hubert Lemaire connaît bien l’islam. D’expérience d’abord, et depuis toujours. Il est né au Maroc, il a fait son service militaire en Algérie, puis, au fil de sa vie, il a séjourné dans de nombreux pays où l’islam était dominant ou au sein desquels les musulmans constituaient une communauté organisée et influente (il a notamment passé neuf ans en Inde). Esprit curieux et droit, il a nourri sa réflexion sur les réalités qu’il constatait en s’intéressant aux textes qui fondent l’islam ou aux livres d’histoire consacrés à son développement.
Comme tous les Européens de sa génération, il a assisté au déferlement des musulmans sur notre continent avec la complicité des « élites » européennes. Il a pris acte avec amertume de l’islamisation progressive de la France : multiplication des femmes voilées, des mosquées, des abattages rituels, des excisions…, mais aussi : généralisation des « accommodements raisonnables » dans les écoles, les hôpitaux, les entreprises… mais encore : apparition des « quartiers interdits », montée de la violence, de l’antijudaïsme et de « l’antifrancisme »…
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« Nous sommes fous », a-t-il pensé. « Non seulement nous ouvrons nos portes à des envahisseurs auxquels leurs livres sacrés fixent comme devoir d’anéantir notre civilisation, mais nous facilitons leur conquête de mille façons. Jamais on n’a vu une nation manifester autant de complaisance envers un ennemi qui veut son asservissement, puis sa mort. Et cette trahison suicidaire s’habille d’un prétexte sans consistance : l’islam ne serait qu’une religion, une foi relevant de la liberté individuelle, parmi d’autres, et, à ce titre, il devrait bénéficier de notre tolérance, voire de notre bienveillance. Cela alors que, depuis sa naissance et pendant les quatorze siècles de son existence, l’islam n’a été qu’un totalitarisme expansionniste et guerrier, comparable aux totalitarismes communistes et nazi dont nos parents et grands-parents ont tellement souffert. »
Pour Hubert Lemaire, l’arme la plus redoutable des envahisseurs est le mensonge. Le mensonge sous toutes ses formes : la falsification, la ruse, la dissimulation, l’hypocrisie, l’imposture, la fabulation, le déni de la réalité… ce qu’on nomme, en arabe, al-taqiyya. Dans le droit islamique, la taqiyya est parfaitement légale et, même, elle est louable lorsque les musulmans sont en situation d’infériorité. A l’intérieur de nos frontières, abusant de notre hospitalité, des taupes, véritable Cinquième Colonne, ont inventé et promu à notre intention un islam irréel, inexistant, impossible : « la religion d’amour, de tolérance et de paix ». Leur désinformation a été relayée par la masse de nos « élites », qui ne sont rien d’autre que des « collabos » ou des « idiots utiles » du nazisme vert.
Hubert Lemaire fait l’inventaire des « éléments de langage » de la taqiyya, en commençant par un des plus répandus : le mot « islam » serait équivalent de paix. Il rappelle avec pertinence que, si les vocables salâm : paix et islâm ont la même racine s-l-m, le second signifie très clairement «soumission ». « Une soumission à double emploi », écrit-il justement. La première « n’affecte que les musulmans […]. L’autre conception, nettement plus politique, agressive, dangereuse, à usage externe : soumission également, mais uniquement des non-musulmans qui doivent plier devant tout ce qui est l’islam et ses sectateurs. »
Il montre bien comment, les Musulmans, enfermés de naissance dans les commandements du Coran et du hadîth (les recueils des faits et dits de Mahomet, dont le Coran a fait le « beau modèle), sont châtrés de leur libre arbitre, condamnés à des conduites stéréotypées, pour la plupart obscurantistes, absurdes, stériles, mais aussi violentes, cruelles, autant masochistes que sadiques. Chercher à fuir la communauté (umma), c’est encourir la mort pour apostasie. Mais, au demeurant, rares, rarissimes sont, parmi les « soumis » (exactement : les « se-soumettant »), ceux qui tentent de se libérer de l’esclavage. A-t-on jamais connu des membres d’une secte millénariste, conditionnés par un lavage de cerveau, quitter leur obédience ? Pourquoi, d’ailleurs, renoncer à l’islam ? « Modérés » ou « radicaux », les musulmans sont persuadés détenir la vérité en toute chose, être d’une moralité supérieure et être promis à un avenir radieux. Ils n’ont rien à apprendre des autres ni rien à gagner à les rejoindre ou simplement à les laisser vivre. Les infidèles, ces sous-hommes, ces Untermenschen sont non seulement dans l’erreur ; ce sont des êtres moralement méprisables, qui ne songent qu’à nuire aux musulmans. Ils doivent être combattus et par la taqiyya et par les armes, jusqu’à ce que l’islam, la Loi d’Allah, ait remplacé toutes les autres civilisations et religions.
Et aucune possibilité de réforme de l’islam ! Le Coran est éternel comme Allah, et comme Lui, au-delà de toute critique ; Mahomet est le beau modèle selon le Coran, donc selon Allah lui-même. A propos de l’Envoyé, Hubert Lemaire mentionne quelques-uns de ses crimes et il souligne que, après qu’il eut pris le pouvoir à Médine, il n’a cessé de faire la guerre, le djihad. Il démontre « qu’il n’y a pas d’islam sans djihad ». Une réalité qu’il est bon de rappeler au moment où l’actualité étale sous nos yeux les atrocités commises par l’Etat islamique, par Boko Haram, par nos « loups solitaires » et autres monstres. Les « djihadistes » sont de parfaits musulmans, qui ne font qu’appliquer les commandements contenus dans le Coran et imiter à l’identique des comportements de leur modèle.
Quant aux musulmans, dits « modérés », qui osent prétendre que l’islam des « islamistes » n’est pas le véritable islam… Ce sont soit des ignorants (accordons cette excuse à quelques croyants de la base), soit des taupes qui mènent la guerre chez nous et contre nous par la taqiyya. Nos imams, aumôniers, recteurs… dans nos mosquées, nos armées, nos prisons ont le même objectif que les égorgeurs et esclavagistes : le remplacement de nos civilisations par l’islam. Simplement, ils accomplissent leur devoir sacré de djihad par d’autres moyens que leurs frères sous les armes… en attendant que le rapport de force permette, suivant l’exemple de Mahomet à Médine, d’éradiquer la civilisation qui les a accueillis par la terreur et le massacre.
Comment expliquer que les mensonges grossiers, évidents, faciles à dénoncer, véhiculés par les taupes de l’invasion islamique soient relayés par la majorité des Européens qui monopolisent les tribunes dans l’agora médiatique, qu’ils soient politiciens, journalistes, intellectuels, hiérarques chrétiens, juifs et francs-maçons, associatifs antiracistes…? Quels intérêts, quelles peurs, quelles ignorances, quelles stupidités poussent les tenants de la pensée unique sur l’islam à trahir leur culture, leur patrie, l’avenir de leurs enfants ? Comment comprendre, par exemple, que des magistrats en soient arrivés à condamner des patriotes qui ne faisaient qu’alerter sur les dangers de l’hégémonisme musulman ?
Le livre d’Hubert Lemaire incite le lecteur à se poser des questions sur la guerre en cours. A cet égard, il est incontestablement très utile. Il présente un autre avantage : par les informations qu’il fournit sur l’islam, il offre des arguments irréfutables aux démocrates soucieux de résister à la dictature de la pensée unique et à s’engager dans la contre-offensive à l’invasion.
Amis de Riposte laïque, lisez Musulmans, vous nous mentez. Et offrez-le, à vos amis pour mieux les armer pour la Reconquista. Offrez-le aussi aux collabos et idiots utiles de votre entourage… afin de donner mauvaise conscience aux moins pires et pour que les plus cyniques se demandent si, en liant leur sort à une cause aussi indéfendable, qui sera toujours majoritairement rejetée par notre peuple, ils n’ont pas choisi le camp de la défaite.
René Marchand
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