Nathan Peiffer-Smadja et Le Monde : miliciens du sanitairement correct

La Nouvelle Milice a ses orques aux yeux de zombies qui, évidemment, déshumanisent “l’ennemi” en le traitant de “criminel” (parce qu’il veut soigner de façon précoce), comme le fait un certain Nathan Peiffer-Smadja (inconnu sur Wikipédia) se prétendant même “infectiologue” (il le serait institutionnellement) ce que “Raoult ne serait pas” selon ses pauvres dires ( la page Wiki de Raoult subit cependant des attaques en règle). Ce Nathan quelque chose n’étant qu’un vulgaire warholien de plus, sur lequel pourtant s’appuie toute cette (piètre) diatribe de plus en plus couarde (mais les médecins attaqués ripostent), celle au fond d’une claque knockienne,  vaguelette aboyante aux abois comme cela se lit dans leur “article”, une pièce cependant à verser dans le dossier des fraudes façon LancetGate, qui prétend ainsi nier, sciemment, les travaux de milliers et de milliers de médecins validés désormais de la manière des plus solides.  

Pour y arriver, ces orques pensent discréditer les sources, traitant France Soir de “blog complotiste“, Alexandra Henrion-Caude de personnage “controversé”, etc., etc., ne disant bien sûr pas un mot en fait sur cette contradiction majeure stipulant qu’en réalité la très grande majorité des personnes touchées s’en sortent (et avec peu de séquelles, du moins soignées de manière précoce), alors que pourtant des pans entiers des sociétés civiles occidentales restent cloués, empêchés, “émasquillés”. Comme si quelque chose se tramait derrière, comme l’indique Nicole Delépine, sauf qu’évidemment souligner cette contradiction, loin d’amener à une discussion sereine dans un système politique supposé “démocratique”, déclenche immédiatement des levées de menton dignes des tribunaux inquisitoriaux et autres officines totalitaires qui ont amplifié leur comportement sectaire voire factieux.

Car il n’y a pas d’autres mots : ces gens qui refusent le débat en insultant, en molestant par accusation intempestive (traiter quelqu’un de “criminel” n’est pas quelconque) se comportent en factieux aboyeurs maniant la trique des anathèmes, tandis que leurs sbires chassent partout les partisans du dialogue. On se croirait revenus aux “heures les plus sombres” si cette formule n’était pas traînée dans la boue, galvaudée par ceux-là mêmes qui prétendent “nous” en “protéger”, alors qu’ils font tout visiblement pour qu’elles reviennent.  “Chassez le naturel, il revient au galop” : qu’attendre de ces gens travaillant dans des officines ayant soutenu les deux plus grandes dictatures du siècle passé sur… quatre (léniniste et maoïste…) ? Qu’attendre de ces gens issus d’un journal ayant défendu Pol Pot ?… Sans parler d’autres soutiens, tout aussi peu recommandables… Qui se ressemble, s’assemble.

Lucien Samir Oulahbib