Ne croyez pas ce que les LREM-GODF-LGBT vous disent

Le Manifeste du Conspirationniste, (Le Seuil, anonyme) aide à comprendre la gestion calamiteuse du Covid 19, le confinement et les vaccins qui ont fait les affaires des gouvernements et des multinationales.

Orwell, 1984 : “Ne croyez pas ce que vous voyez, croyez ce qu’on vous dit.”

Une révolution est toujours le fruit du travail implacable de ceux qui, dans l’ombre, tirent les ficelles. Le commentaire du livre Marie-Antoinette, et le complot maçonnique, de Louis Dasté, est une lecture que recommandait Louis-Ferdinand Céline pour faire comprendre comment est arrivée la révolution. Au XVIIIe siècle, la Foi catholique et la France ont été incarnées par l’épouse de Louis XVI, le Roi Très-Chrétien, Marie-Antoinette. Elle a porté ce douloureux honneur jusqu’à son martyre sur l’échafaud. Vingt ans auparavant, elle était l’idole de la France ! Qui avait transformé les Français catholiques en blasphémateurs et sacrilèges ?

Qui avait changé l’âme des Français et les Français fidèles à leur dynastie séculaire en régicides ?

L’agent de ces œuvres de mort fut la Franc-maçonnerie. Lors de l’avènement de Louis XVI et de Marie-Antoinette, le peuple de France idolâtrait ses jeunes souverains. La Reine avait touché son cœur. Le 11 septembre 1774, Mercy-Argenteau, ambassadeur d’Autriche, écrivait à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette, une lettre où on lit : “Il n’y a pas eu, dans la conduite de la Reine, la moindre nuance qui n’ait porté l’empreinte de l’âme la plus vertueuse… Personne n’est plus convaincu de cette vérité que le Roi

Les grandes et rares qualités de la Reine ne sont pas moins connues du public. Elle en est adorée avec un enthousiasme qui ne s’est jamais démenti.” Vingt ans après, en 1793, ce n’est plus d’amour mais de haine que la France paraît enivrée. Avant d’être menée à l’échafaud, la Reine écrivit à Mme Élisabeth, sa belle-sœur, une lettre admirable : “Je viens d’être condamnée, non à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments. Je suis calme, comme on l’est quand la conscience ne reproche rien.”

La noble femme capable, au pied de l’échafaud, de pousser la générosité d’âme jusqu’à cet héroïsme qui l’élève au-dessus de l’humanité, c’est elle que l’exécrable Maçonnerie s’est efforcée de salir jusqu’à ses derniers moments, par des calomnies odieuses, pour souiller la Monarchie française, en l’assassinant.

Après la Reine-Martyre, la France est elle aussi la Nation-Martyre frappée par la Maçonnerie. Au commencement du XVIIIe siècle, la France était encore attachée avec ferveur à ses traditions religieuses et politiques. À la fin du même siècle, une influence cachée la fait rompre avec toutes ses traditions à la fois.

Quelle est cette influence ? Toujours celle de la Maçonnerie.

Or, dès 1791, un admirable prêtre, l’abbé Le Franc, osa l’écrire.

Le 2 septembre 1792, à l’abbaye de Saint-Germain-des- Prés, il paya de son sang le courage d’avoir dénoncé la Maçonnerie comme la mère de la Révolution, alors toute souillée de crimes. Les tueurs au service du Pouvoir occulte n’eurent garde de laisser échapper aux massacres maçonniques de Septembre celui qui, arrachant leurs masques aux meneurs révolutionnaires, a mis en lumière leurs faces de Francs-Maçons.

L’abbé Le Franc : “L’Europe (écrivait-il en 1791) est étonnée du changement qui s’est opéré dans nos mœurs. Autrefois, on ne reprochait à un Français que sa gaieté, sa frivolité. Aujourd’hui qu’il est devenu sanguinaire, on l’a en horreur… Qui l’a rendu farouche, toujours prêt à attenter à la vie de ses semblables et à se repaître de l’image de la mort ? C’est la Franc-maçonnerie !… C’est à l’ombre de l’inviolable secret qu’elle fait jurer à ses initiés, qu’elle a donné des leçons de meurtre, d’assassinat, d’incendie et de cruauté.”

Longtemps la Maçonnerie a fait l’impossible pour effacer les coups sanglants de 89 et de 93 et ses traces criminelles. Mais, aujourd’hui, mentir serait peine perdue pour elle. La vérité est plus claire chaque jour.

En toute réalité, durant plus d’un demi-siècle, les Francs-maçons ont secrètement creusé la mine dont l’explosion a jeté bas l’ancienne France en 89. La Maçonnerie était dès le commencement l’ennemie mortelle de la Foi chrétienne, de l’ordre chrétien et de la civilisation chrétienne tout entière.

Dès 1735, un article du code primitif des Francs-maçons révolta, par son esprit révolutionnaire, d’honnêtes magistrats de Hollande : les premiers, ces protestants proscrivirent la Maçonnerie. Mais celle-ci fit un retour offensif et triompha des premières résistances, en Hollande comme ailleurs. Deux ans après, en 1737, le Premier ministre de Louis XV était le cardinal de Fleury : sa clairvoyance touchant la Maçonnerie a fait de lui la bête noire des menteurs professionnels chargés de falsifier notre Histoire.

Après une minutieuse enquête, le Cardinal eut la conviction qui avait armé les magistrats hollandais contre la Maçonnerie antichrétienne et révolutionnaire. Il donna des ordres sévères contre les Loges qui déjà pullulaient en France. L’année suivante, en 1738, le Pape Clément XII avait été renseigné par le cardinal de Fleury et aussi de bien d’autres côtés. Sans tarder, le Pape lança la première des Encycliques que Rome ait opposées au fléau maçonnique. Cette Bulle a stigmatisé dans la Maçonnerie ce double caractère : de viser à détruire l’Église de Dieu et les sociétés politiques basées sur le Christianisme. Mais tout était conjuré pour empêcher la France d’écouter les cris d’alarme du Pape et du Premier ministre de Louis XV.

Les tendances gallicanes et l’hérésie janséniste (reliées par de secrètes accointances) arrêtaient aux frontières de France la parole du Pape et faisaient méconnaître le bien-fondé des angoisses que lui causait le péril maçonnique. La Maçonnerie profita de ces dispositions de l’esprit public : elle sema des brochures faites pour attirer dans ses pièges les hommes de bonne foi. Elle commença par y prêcher la tolérance, masque menteur de l’intolérance la plus fanatique. La Maçonnerie apprit aux Français à détester le Catholicisme parce qu’intolérant, disait-elle. En 1743, le cardinal de Fleury meurt. Nous verrons bientôt quels hommes de l’ombre ont remplacé au pouvoir le premier et le dernier ministre anti-maçon qu’aient eu Louis XV et Louis XVI.

On peut dire que, depuis la mort du cardinal de Fleury, la Royauté française fut soumise chaque jour davantage à l’influence de la Maçonnerie qui va s’imposer à elle, chaque jour plus forte, jusqu’à la chute, 50 ans plus tard dans le sang, de Louis XVI et de Marie- Antoinette. Mais quels ressorts furent mis en jeu par la Maçonnerie pour arriver à son but ? Le Mensonge, l’arme principale de la Maçonnerie !

L’histoire de l’action maçonnique sous Louis XV et Louis XVI tient dans ce mot : le Mensonge.

Comment décrire comme ils le méritent les chefs-d’œuvre d’imposture des LREM-GOF-LGBT avec le mariage pour tous et la PMA-GPA. Les activistes menteurs de la Maçonnerie en France sont innombrables.

À l’époque, ils étaient déjà à l’œuvre après que le pape Clément XII et le cardinal de Fleury eurent dénoncé le péril maçonnique et son édifice d’imposture. Avec persévérance, ils travaillèrent à persuader aux honnêtes Français attirés dans les Loges que la Maçonnerie ne rêvait d’accomplir aucune Révolution.

Ceci était connu 57 ans avant la prise de la Bastille. C’est bien la preuve que le Pape et le cardinal de Fleury n’avaient que trop raison de voir dans la Maçonnerie la source de tous les maux !

Les zélés et fidèles tartuffes des Loges LREM-GOF-LGBT règnent par le Mensonge !

Sacrilège ! Ils condamnent les chrétiens, les églises, les messes et les lys de France dans le cœur !

Avec Éric Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !

Thierry Michaud-Nérard

Source : Le Salon Beige, le 1er février 2021 “À qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison de la ramener à ses origines.” Léon XIII, Rerum Novarum.

 

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4 Commentaires

  1. La franc-maçonnerie n’a rien à faire dans le paysage politique des nations. C’est une organisation de type mafieux, qui doit être combattue et éradiquée au plus vite. N’étant pas un parti, les idées qu’elle professe ne passent pas par le suffrage universel des peuples, mais seulement à travers l’action pernicieuse et traîtresse de membres maçons de grands partis politiques institutionnels. C’est peut-être la raison de la désintégration de grands partis comme le PS ou les LR, dont l’action politique concrète s’éloignait des principes idéologiques affichés lors des élections.

  2. ya eu valls , cahuzac et mechanlon ; c est vrai ! mais ya eu aussi MONTESQUIEU VOLTAIRE MOZART BOUGAINVILLE SCHELCHER KIPLING EIFFEL JULES FERRY CITROEN JOFFRE HEMINGWAY SAINT EXUPERY et puis aussi SURCOUF QUI DISAIT en bon marin QU IL SUFFIT D UNE CUILLERE DE GOUDRON POUR POURRIR UN TONNEAU DE MIEL …

  3. Pas étonnant qu’ils aiment les muzz, ils sont aussi menteurs qu’eux !

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