« Un seul parent par enfant et le pass sanitaire sera vérifié avant le spectacle, il y aura des contrôles !»
Interloqué je regarde la prof de musique de ma fille. Pour 10 pelés qui viennent voir leurs gosses aligner trois notes, c’est le GIGN.
Les enfants sont la cible d’attaques tout azimut :
-L’avortement est passé de 12 à 14 semaines (adopté le 30 novembre par l’assemblée nationale). Le fœtus à 14 semaines mesure près de 14cm, ses os se forment, il peut plier ses doigts, sucer son pouce et commence à donner des coups.
– Castex veut vacciner les enfants dès 5 ans. Cette vaccination des enfants est absurde. Ils sont très souvent asymptomatiques et la maladie chez eux est bénigne. Par contre les effets du vaccin peuvent être dévastateurs. On relève une explosion des problèmes cardiaques (péricardites, myocardites), notamment chez les garçons, et chez les filles, des problèmes de menstruation. C’est l’inconnu sur les conséquences sur leur santé à moyen et long terme. On sacrifie nos jeunes sur le mensonge de la protection collective, on sait que ce vaccin n’empêche pas la transmission du virus. A New York le pass sanitaire est exigé pour les plus de 5 ans, on voit ce qui nous attend.
– L’interdiction de l’école à la maison. A partir de septembre 2022 les seules raisons valables pour faire l’école à la maison seront : un handicap de l’enfant, un parcours sportif ou artistique particulier, l’itinérance de la famille. Pour ceux qui envisagent l’enseignement à la maison pour d’autres raisons comme le bien être de l’enfant ou par convenance personnelle, cela deviendra impossible.
-L’obligation du masque à l’école, même en extérieur. La presque totalité des élèves se retrouve sans masques dans un lieu clos, la cantine. On se demande alors pourquoi on impose ce masque dans la cour de récréation ou en sport? C’est de la maltraitance.
– La pédopornographie est un poison mortel qui se propage par internet. La sexualisation des enfants promulguée à une certaine époque par certains milieux gauchistes et que l’on retrouve également dans des cultures islamiques est devenue monnaie courante.
– La confusion des genres est approuvée par les médias et les milieux « culturels ». Si il arrive parfois que des enfants se posent des questions sur leur sexualité, notamment à l’adolescence, il est criminel d’instiller le doute sur leur identité en promouvant un modèle idéologique, niant la réalité biologique. Il est courant d’entendre aujourd’hui dans les classes de collège et de lycée des jeunes qui ne se définissent ni comme garçon, ni comme fille.
La vie des enfants et des jeunes est devenu un champs de mines depuis le ventre de la maman jusqu’à l’âge adulte. Je vous passe les perturbateurs endocriniens, pesticides, addictions aux jeux-vidéos, drogues, harcèlement scolaire, démission des parents et notamment absence des pères.
On ricane volontiers des sociétés antiques qui immolaient leurs enfants à Moloch.
Ils sacrifièrent leurs fils et leurs filles aux idoles,… Psaume 106:37,38
Mais c’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, nous sacrifions nos enfants sur les autels de la « Fausse Science » du « Confort personnel» de « la Sainte parole médiatique », du « Conformisme » et que sais-je encore…
Parents, nous sommes responsables de nos enfants. Ne nous laissons pas voler notre autorité ! Personne n’a le droit de décider à notre place de ce qui est bon ou mauvais pour nos fils et nos filles, ni les médecins ni les hommes politiques et encore moins les médias.
Pour terminer ma petite histoire d’introduction, ma fille n’a pas participé à ce « spectacle » aux relents collabo. Je lui apprends du haut de ses 8 ans à ne pas se laisser faire, à résister.
Christophe Sévérac
L’obligation vaccinale, déguisée en pass sanitaire avec QR code, relève du terrorisme d’Etat caractérisé. Un Etat qui emploie des méthodes de coercition terroristes, extrémistes, illégales, anticonstitutionnelles et criminelles, devient, de facto, un Etat criminel, un Etat voyou, un Etat d’hors-la-loi. Contre un tel Etat, le citoyen a le droit et le devoir de s’opposer par les moyens à sa disposition.