Nous sommes tous de futurs Mayotte

Il est des moments où il faut nommer les choses et trouver le moyen de les résoudre. Salime Mdéré, premier vice-président du conseil départemental de Mayotte, visant les bandes qui sèment le chaos sur l’île, s’est exclamé qu’il faudrait peut-être les tuer.
«Si y’en a pas un qui est tué, y’en aura toujours d’autres qui vont oser tenter à tuer [sic] des policiers.» Tout en précisant qu’il «pèse [s]es mots».
https://www.fdesouche.com/2023/04/25/il-faut-peut-etre-en-tuer-polemique-apres-les-propos-du-premier-vice-president-du-conseil-departemental-de-mayotte-contre-les-bandes-armees/

Devant le tollé général de la bien-pensance il a dû s’excuser mais son cri du cœur est emblématique du désespoir des habitants de Mayotte qui ont vu le gouvernement français démissionner de toutes ses obligations constitutionnelles et légales de protection de populations civiles comme il le fait en métropole.
“De tels propos sont inadmissibles et je les condamne fermement”, a réagi le préfet de Mayotte, Thierry Suquet, “consterné”. Le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a exprimé son “indignation” ; peuvent bramer à l’hallali tout leur saoul les rognures politiques françaises et les hauts fonctionnaires, mais le constat est là, imparable : ce qu’il se passe à Mayotte est de la faute dudit préfet et de Dupond-Moretti et de tous leurs veules, lâches, corrompus et crétins d’amis et de leurs prédécesseurs : ils n’ont donc rien à dire ni à moraliser car on ne peut être juge et partie.

Trente ans de laxisme, de regards détournés, de voiles jetés sur la submersion migratoire, sur la voyoucratie et les bandes armées, puis ils viennent critiquer ceux qui en sont à vouloir sauver leur peau : je n’aurai jamais de mots assez orduriers pour qualifier toute la bien-pensance qui est tombée sur le râble de Salime Mdéré qui, lui, est en première ligne couteau sous la gorge à cause des vermines qui osent aujourd’hui critiquer ses propos.

C’est que Mayotte est à ce jour en état de légitime défense, c’est tuer pour ne pas être tué, aussi simple que cela, les étrons associatifs-droits de l’Hommistes peuvent s’indigner tant qu’ils veulent mais les propos de la députée Estelle Youssouffa sont justes :
« La députée Estelle Youssouffa règle ses comptes avec les associations immigrationnistes “vos bonnes intentions sont notre enfer, mêlez-vous donc de vos oignons, occupez-vous de vos bassines” ».
https://www.fdesouche.com/2023/04/15/mayotte-la-deputee-estelle-youssouffa-regle-ses-comptes-avec-les-associations-immigrationnistes-vos-bonnes-intentions-sont-notre-enfer-melez-vous-de-vos-oignons-occupez-vous-de-vos-bassines/

« Caillassage, conflits inter-quartiers, “coupeurs de route”: le phénomène d’insécurité “hors norme” à Mayotte attise la colère des élus et des habitants, qui menacent pour certains, en pleine opération sécuritaire Wuambushu, de régler le problème par eux-mêmes…./…
“Nous sommes en prison”, assure Aïcha Magoma, 40 ans, devant le portail sécurisé installé autour de son cossu îlot d’habitation.
Des verrous équipent les chambres pour s’enfermer en cas d’intrusion, comme dans le reste de l’île. Ici, plus une maison sans haut portail et barreaux ou grillage aux fenêtres, par crainte des cambriolages.
L’employée de la compagnie d’électricité explique qu’elle ne “sort plus après 17 heures”, par crainte d’une agression “des jeunes”, comme on les appelle ici.

Elle montre les “galets”, les pierres qu’elle a reçues sur sa maison la veille, lancées par les jeunes des quartiers montés en haut de la pente pour prendre des policiers en embuscade ».
Voici le résultat où conduisent les droits de l’hommistes et les juges, et il va être temps de se débarrasser de toute cette chienlit moraliste avant qu’ils ne mettent toute la métropole dans l’état où ils ont mené Mayotte :
“Les Mahorais, tous autant qu’ils sont, soutiennent massivement l’opération Wuambushu perçue comme celle qui va ramener l’État de droit sur l’île”, explique à l’AFP Fatihou Ibrahime à la tête du collectif des Citoyens de Mayotte (loi 1901) qui dénonce un “climat insurrectionnel” sur l’île….
“La guerre civile a déjà commencé, et les victimes ce sont les Français de Mayotte et c’est uniquement parce que nous ne sommes pas violents que ça ne s’embrase pas”, assure-t-il.
https://actu.orange.fr/france/amp-quot-climat-insurrectionnel-amp-quot-a-mayotte-le-risque-de-la-poudriere-securitaire-CNT000002361GC/photos/des-membres-de-l-unite-crs8-en-patrouille-dans-un-quartier-a-la-peripherique-de-mamoudzou-le-25-avril-2023-a-mayotte-1d0210d45d25db5203fbb81d8fb9d79a.html

Mayotte, c’est notre Haïti :
« Le niveau de violence est encore monté d’un cran dans le pays des Caraïbes, malmené par les gangs armés. La population, excédée, commence à se faire justice elle-même ou à fuir les quartiers les plus touchés, alors que les morts se comptent par dizaines chaque jour, dans l’indifférence générale, dénonce dans un éditorial amer “Le Nouvelliste”.

Mme Nicole Eliantus Augustin, une enseignante de trente-cinq ans de carrière, ne rentrera pas chez elle, ce lundi [24 avril]. Elle a été tuée sur la route, entre son lieu de travail et son domicile. Nicole Eliantus Augustin vient s’ajouter à la longue liste des civils tués en Haïti à cause de la terreur des gangs.

Le 8 mars 2023, l’éditorial du Nouvelliste était titré : “Haïti, la guerre qui ne dit pas son nom”, en parlant de la situation générale dans le pays. Moins de deux mois plus tard, c’est le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, qui dit dans un rapport : “Du fait du nombre élevé de morts et de la superficie croissante des zones contrôlées par les bandes armées, l’insécurité dans la capitale a atteint des niveaux comparables à ceux des pays en situation de conflit armé.”
Haïti n’étant en conflit avec aucun pays étranger, notre conflit armé est une guerre civile ».

Et les Haïtiens nous montrent ce qu’il se passe quand on est à bout :
« Ce lundi 24 avril a d’ailleurs marqué un tournant. Des membres de la population ont tué des membres de gangs [une douzaine d’entre eux ont été lynchés et brûlés vifs par la population alors qu’ils étaient en cours d’arrestation par la police dans le quartier de Canapé-Vert, à Port-au-Prince]. Des policiers ont tué des membres de gangs. Des membres de gangs ont tué des membres de la population. Les chasses à l’homme et les expéditions punitives se sont multipliées en plusieurs points de la région métropolitaine ».
https://www.fdesouche.com/2023/04/25/haiti-une-douzaine-de-membres-de-gangs-arretes-ce-lundi-par-la-police-ont-ete-lapides-et-brules-vifs-par-la-population-les-morts-se-comptent-par-dizaines-chaque-jour-cest-u/

Mais comment ces déchets politiques français de Chirac à Macron et tous leurs lieutenants ont-ils osé laisser ce territoire à la dérive ??
Pourquoi une gringuenaude comme Darmanin ose dissoudre Génération Identitaire et livrer impunément des dizaines de milliers de citoyens français de nos îles aux génocidaires ?
Pour ma part je demande ici expressément à Reconquête et au RN de prendre l’engagement d’organiser le Nuremberg de la classe politique française dès 2027 avec un internement préventif de tous ceux qui ont participé par laisser faire et laxisme à l’invasion de notre territoire national au mépris de la souveraineté Constitutionnelle du pays par les hordes ennemies, et ont mené des milliers de gens aux coups, aux viols, aux tabassages et à l’assassinat.

Inutile de vous le dire, vous êtes sensibilisés, mais un slogan va bientôt pourvoir éclairer toutes les manifestations de Reconquête dans tous les Callac de la métropole, comme nous avons été Charlie, nous écrirons sur les calicots en lettres de sang « nous sommes tous Mayotte ».
La classe politique, associative-droit de l’hommiste ainsi que la magistrature et les hauts fonctionnaires à l’origine et impliqués dans le désastre génocidaire de Mayotte et des crimes qu’ils ont commis par procuration doivent rendre des comptes.

Il serait intolérable qu’ils terminent leur vie dans leur lit avec leur retraite payée abondée par nos prélèvements obligatoires pour seule rémunération des centaines de milliers de vies qu’ils ont détruites.
« Nous sommes tous Mayotte », vous ne me croyez pas ?

Regardez nos banlieues et nos villes, Gare du Nord, la Guillotière, Marseille, Bordeaux et autres lieux de guerre, la réalité vous a convaincus ?
Regardez bien la submersion actuelle dans les Alpes-Maritimes, vous la voyez la marée-tsunami ?

Jean d’Acre