Nous sommes tous des juifs non vaccinés

Le « passe sanitaire » en 1940

« Nous sommes tous des juifs allemands ! », avaient répondu les étudiants de Nanterre aux propos de Georges Marchais qui qualifiait le pédophile Daniel Cohen-Bendit, « d’anarchiste allemand », dans un article publié le 3 mai 1968 dans le journal du Parti communiste français, L’Humanité (en 1968, régnait encore en France un fort sentiment collectif « anti-Boches »).

« Nous sommes tous des juifs non vaccinés », peuvent proclamer les partisans des droits humains et des libertés fondamentales, tant ils sont en passe de devenir des citoyens de seconde zone, ou plutôt des « sous-citoyens ».

Des « sous-citoyens », statut qui préfigure celui de « sous-homme » dans les cerveaux des psychopathes cocaïnomanes de Davos et dans celui l’Éborgneur en chef des Gilets jaunes, Emmanuel Macron.

Des sous-hommes, c’est ainsi que nous serons traités si nous ne pouvons pas présenter en permanence leur passe sanitaire, le « NéonaziPasse » version 2021.
C’est ainsi que nous serons traités, soyez-en certains.
Si nous les laissons faire !

*

Bien évidemment que le passé et le nazisme nous mettent en garde, et c’est d’ailleurs pour cela qu’ils veulent nous interdire d’y faire référence !

Que l’on se réfère à l’Histoire, plus précisément au nazisme et à la France de 1940, pour expliquer les mécanismes médiatiques, politiques, administratifs et juridiques des monstruosités qu’ils vont imposer très rapidement aux non vaccinés, semble leur faire mal aux dents.
Alors profitons-en, qu’ils aient mal aux dents, à toute la mâchoire, et si en plus cela leur donne la migraine en les faisant vomir et avoir la chiasse, ce sera tant mieux.

Juifs de 1940 et non vaccinés de 2021 : plus que des similitudes dans leur persécution administrative, politique et médiatique : des mécanismes administratifs, médiatiques et juridiques identiques !

En 1940, le statut des Juifs est promulgué dans l’indifférence générale des « élites » intellectuelles, politiques, médiatiques et artistiques. En 1940, on ne parle pas pas encore de les déporter, mais simplement de leur retirer leurs droits, comme on le fait aujourd’hui avec les non vaccinés.

Ils appliquèrent avec une célérité incontestable toutes les dispositions juridiques et administratives antijuives.

Relevons également une similitude en dehors de ces mêmes mécanismes administratifs, médiatiques et juridiques qui participent aujourd’hui à l’élaboration du « passe sanitaire » (« NéonaziPasse »), comme ils ont participé en 1940 au statut des Juifs (promulgué le 3 octobre de la même année) et à l’obligation du port de l’étoile jaune en zone occupée à partir du 6 juin 1942 : celle de l’indifférence des fonctionnaires (en particulier des enseignants) et des syndicalistes qui appliquèrent à partir de 1940 et avec un sérieux et une célérité incontestables toutes les dispositions juridiques et administratives antijuives.

Pour illustrer la parfaite acceptation par la société française de l’époque du statut des Juifs, rappelons que le constitutionnaliste Maurice Duverger (l’Olivier Duhamel des années 70-80 – pédophilie mise à part), commenta et détailla la meilleure manière d’appliquer ces lois antijuives dans les numéros de juin et décembre 1941 de la Revue de droit public et de la science politique (mesures qu’il qualifia « d’intérêt public », tout comme les néonazis d’aujourd’hui qualifient les mesures anti-non vaccinés).

Cette étude intitulée « La situation des fonctionnaires depuis la révolution de 1940 », détaille les judicieuses manières avec lesquelles il convenait d’appliquer les lois françaises qui excluaient les Juifs et les femmes mariées de la fonction publique.

Pour mémoire, dans le numéro de juin 1941 de cette revue, Roger Bonnard, codirecteur de la revue et doyen de la faculté de droit de Bordeaux de l’époque (où Maurice Duverger était son « chargé de conférences »), remercia les autorités occupantes d’avoir permis sa reparution en les assurant que cette revue participerait à l’« effort de restauration nationale ».
Au sujet du maréchal Pétain, le même Roger Bonnard précisait qu’il était « un guide d’une sagesse et d’une maîtrise de pensée incomparables et quasi surhumaines ».

Maurice Duverger n’est plus là pour nous expliquer comment et pourquoi les fonctionnaires devront appliquer avec sérieux et conscience les dispositions ségrégationnistes qui doivent exclure de la société en 2021 les non vaccinés (qui ne mettent en danger absolument personne, rappelons-le), comme les lois antijuives ont exclu les Juifs de la société française en 1940 (2 ans avant de les envoyer très consciencieusement vers les camps de la mort dans des wagons à bestiaux).

Maurice Duverger n’est plus là et Oliver Duhamel s’est retiré de la vie publique pour cause de pédophilie sur ses beaux-enfants.
Mais il semblerait que l’ignominie et l’inqualifiable ont horreur du vide, et ils sont nombreux à justifier l’injustifiable et à expliquer que nous sommes des parias et que la société doit se protéger de nous.

Ce qui nous fait penser et dire qu’il devient très urgent pour nous, de nous protéger d’eux.

Le Haut-Commissariat au Plan de Macron et le Commissariat général aux questions juives de Pétain

Francois Bayrou, le « haut-commissaire » au Plan, a déclaré le 11 juillet 2021 qu’il était pour une vaccination obligatoire généralisée et pour la suspension de leur travail des soignants réfractaires.

Et alors qu’au 26 juin 2021, on comptait officiellement dans l’Union européenne 16 535 morts dus aux injections d’ARNm et de cellules infectées de chimpanzés et pas moins de 628 586 victimes d’effets indésirables graves, il ajouta au sujet des injections : « Vous voyez bien qu’il n’y a aucun effet négatif ou secondaire. »

Nous avons là toute la rhétorique négationniste et révisionniste des néonazis qui veulent nous soumettre à l’obligation d’injections de poisons. Nul doute que François Bayrou aurait fait merveille à la tête du Commissariat général aux questions juives de Pétain.

Robert Ménard qui veut nous soumettre à l’obligation d’injections de poisons et qui applaudit l’Exterminateur des personnes âgées, Emmanuel Macron

Comme tous les crétins masqués et enfermistes, Robert Ménard traite les défenseurs de la liberté vaccinale d’« antivaccins », car le mot « liberté » doit lui faire mal aux oreilles.

Les « vaccins » contre la Dengue de SANOFI qui causèrent des milliers d’effets indésirables graves et le décès de centaines d’enfants philippins avant d’être interdits et avant que ses amis responsables du groupe français fuient le pays pour échapper aux poursuites pénales et à l’incarcération, Robert Ménard n’en a sans doute jamais entendu parler, et c’est sans doute pour cela qu’il ne cesse de vanter l’excellence de ce laboratoire pharmaceutique (en échange de quoi ?).

Il n’a sans doute également jamais entendu parler de ces millions de jeunes filles de par le monde qui ont vu leur vie brisée parce que des psychopathes, des salopards de la pire espèce ont voulu se faire du fric en les vaccinant contre le cancer du col de l’utérus…

Bref, Robert Ménard, véritable Ayatollah des injections d’ARNm et de cellules infectées de chimpanzés, fait peur.

Lorsqu’il affirme que « la voie » que nous montre son nouveau guide spirituel, la Grande faucheuse des Ehpad, Emmanuel Macron, « est la seule », on l’imagine très bien dire la même chose au sujet du statut des Juifs promulgué le 3 octobre 1940.

Et dans la galerie « qu’auraient-ils fait en 1940 », si François Bayrou a sa place au Commissariat général aux questions juives, celle de Robert Ménard est au secrétariat général de la police, comme secrétaire, poste alors occupé par l’ami de Mitterrand, et de tant d’autres, René Bousquet.

À lire et à écouter en cliquant sur « Pauvre Voltaire, des escrocs de la pire des espèces t’ont volé ton nom ».

Résistance : ces sites à connaître avant qu’ils ne soient interdits par les néonazis
Animap : le portail professionnel non discriminatoire.
Cliquez sur « 4 851 prestataires respectent la dignité humaine et ne pratiquent donc aucune discrimination à l’encontre de quiconque ».

Collectif « Laissons les médecins prescrire »
Il existerait donc un annuaire français des médecins engagés à ne PAS vacciner et à promouvoir pour les traitements et la prévention (ce qui reste théoriquement possible tant que ces injections de poisons ne sont pas obligatoires).
Pour trouver l’oiseau rare de votre commune, cliquez sur « Laissons les médecins prescrire ».

J’en profite pour rappeler que nous préférons très largement le « Laissez-nous choisir notre médecine et nos traitements » à ce « Laissons les médecins prescrire ».

J’insisterai jusqu’à notre défaite définitive ou jusqu’à notre victoire totale !

Nous devons réussir à imposer aux politiciens et fonctionnaires l’inviolabilité absolue du corps humain et ses corollaires que sont la liberté thérapeutique totale et la fin de toute obligation vaccinale !

Je vous recommande fortement de vous intéresser de près aux médecines naturelles et de fuir comme la peste et le choléra réunis l’hôpital public (excepté, pour l’instant, l’IHU Méditerranée), ces pseudo-médecins masqués et enfermistes qui ne veulent nous injecter des poisons dans l’organisme sous couvert de « vaccination » que pour s’enrichir sur le dos de notre santé et de nos cotisations sociales.

Notre avenir nous appartient, il ne dépend que des décisions que nous allons prendre, aujourd’hui même.

Il nous faut les arrêter !

Pierre Lefevre