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Les prénoms arabes sont riches en symboles. Târek, lâun des prénoms les plus prisés par les Arabes et les musulmans, nâéchappe pas à la tradition.
Les dictionnaires et les encyclopédies arabes sont là pour nous  éclairer sur ce qui se cache derrière ce prénom porté par des célébrités de lâislam autant dans lâhistoire ancienne quâactuellement.
Târek, stricto sensu, est « celui qui frappe ». Câest un substantif dérivé du verbe taraka : « frapper ». Quant à lâoutil, dans ce radical, qui doit servir à frapper, il est variable : il peut être un marteau, un bâton, les mains, les pieds, etc. Tous les moyens sont bons pour frapper. Tout bonnement, un târek est un frappant, un battant, un tapant. Il frappe, il bat, il tape, mais quoi ? mais qui ? Il peut frapper le fer, son chameau. Les hommes, câest possible, et câest plus dur, mais il peut frapper aussi les femmes, câest plus facile, et câest moins audacieux. Et câest lâaffaire des lâches.
Le dictionnaire nous apprend aussi que le târek est celui qui frappe de nuit, à la porte de la maison. Câest un visiteur inattendu qui sâimpose, dans le désert, aux familles endormies. Il nâa pas à frapper de jour car dans les pays arabes les portes sont toujours ouvertes.
Que les féministes se rassurent : le prénom Târek restera à jamais masculin. En effet, dâune part, une femme musulmane ne frappe jamais à la porte la nuit, câest impensable, et dâautre part, si Samir a sa Samira, Djamil sa Djamila, Zaki sa Zakyya, Târek nâa pas de « Târeka » : la femme ne saurait frapper et le nom commun târika signifie « calamité ». Qui porterait un prénom de malheur ?
On dit que celui qui porte le prénom de Târek, est un dur, un inflexible, un calleux, mais quâen réalité, il cache en lui de nombreux sentiments quâil nâavoue pas. Il peut donner une impression de froideur mais ce nâest quâune arme pour cacher sa timidité et son désarroi. Ce qui caractérise le porteur de ce prénom est sa faculté à maîtriser ses sentiments, à refouler ses décisions et ses avis et à prendre garde en attendant de connaître la nature et lâidentité de la personne qui lui fait face avant dâétaler ses cartes ⦠Câest en quelque sorte un adepte du double langage. Ne pensez à personne en particulier⦠Un Târek nâaime pas le travail dans lâadministration publique ni la routine, il préfère un travail indépendant.
Par ailleurs, Târek est aussi lâétoile du matin ou Vénus, déesse de la beauté et de lâamour. Y a-t-il un lien avec les rondes des Târek noctambules qui, comme le faisait le prophète, leur référence majeure, rendent visite à leurs femmes, même contraintes et forcées, pour explorer de plus près leur mont de Vénus ? (1)
PS : Toute ressemblance avec le comportement dâune personnalité musulmane passée, présente ou à venir est tout à fait fortuite. Riposte Laïque et lâauteur de lâarticle ne se sentent en aucune façon responsables des interprétations des lecteurs.
Bernard Dick
(1) Le mont de Vénus désigne le pubis féminin ou plus précisément le pénil, la saillie arrondie et couverte de poils qui est située au-devant du pubis.
Au 07/11/2017 : nombre dâattaques terroristes islamiques mortelles :
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Oui, mais voilà, Tarik n’est pas Tarek ! lol !
C’est Târeq qui est juste. Tarik, c’est faux.
Chère Eva
Comme tu le sais, le E n’existe pas en arabe classique Il n’ y a que trois voyelles: A, I, OU. Donc je préfère Tariq , oui avec un » q ». Tu n’ignores pas que Gibraltar ( ville et détroit) vient du mot arabe Jabal Tariq : Jabal la montagne et Tariq le prénom ou nom du chef arabo/berbère qui a traversé le détroit pour islamiser l’Europe, fin du 7ème début du 8ème siècle, et qui a donné son nom à Gibraltar à cause de la montagne.
Et Tariq ? Frappé de désir ?
Haaa ! Plutôt frappé de délire !
Je crois qu’il vaut mieux transcrire ce prénom avec un Q à la fin plutôt qu’un K, car en arabe il y a deux sons correspondant à la lettre K, et dans le cas de Târeq, c’est la lettre Q qui s’impose, même si nous voyons souvent « Târek » écrit avec un K à la fin.
Ensuite, Târeq veut aussi dire « urgent ».
Dans les hôpitaux des pays arabes, on lit « tawâreq » (tareq au pluriel) à l’entrée du services des urgences.
Quand à la duplicité signalée chez les porteurs de ce prénom, elle est exigée de tout musulman croyant et pratiquant, dans la mesure où Mahomet lui-même pratiquait la « taqiyya », qui est considérée comme une arme de guerre aussi efficace (et à peine moins glorieuse) que le combat armé contre l’ennemi non-musulman.
Un musulman peut être fier d’avoir trahi un non-musulman. C’est légitime
Bonjour Eva,
Il existe 5 méthodes de transcription de l’arabe :
la translittération DIN-31635 ;
la « transcription Arabica », du nom d’une revue française d’études arabes ;
la translittération pratiquée par la revue Afriques ;
la norme de translittération adoptée par l’Encyclopédie de Islam (EI) ;
la norme internationale ISO 233-2 (1993).
J’utilise la norme de l’Encyclopédie de l’islam où طارق se transcrit Tarek (avec un point sous le T et sous le k).
Quant à votre remarque sur « târeq »= urgence et son pluriel « tawâreq » vous faite une grande erreur. Vous prenez l’ « alif maqsoura » pour un « q » du mot طارئ et son pluriel طوارئ. Rien à voir avec notre cher Tarek. Je vous fais aussi remarquer que « tawâreq » est le pluriel de târouq ou collecteur des eaux usées.
Très bons articles à RL !
Oui, c’est Tariq avec un CUL à la fin !
Bon et l’intérêt de savoir ça ?
J’attends sans impatience exagérée la signification du calendrier des saints de cette bande de dégénérés ! Ah, la joie de connaître qui était mouloud du temps du pédo-chamelier…
« Mouloud » est une déformation maghrébine du mot arabe « Mawlid », qui veut dire « naissance », mais en l’occurence il ne s’agit pas n’importe quelle naissance, car il s’agit de la naissance du prophète Momo le pédophile du désert.
C’est un peu comme les hommes chrétiens qui s’appellent « Noël » en Français, ou « Natale » en italien.
Donner un prénom à un môme n’est jamais anodin ! Après les attentats du 11 septembre, le prénom « oussama » a connu un pic sans précédent dans les chaumières musulmanes ! Inutile d’expliquer la raison de ce succès ! Les muzz pratiquant toujours la ruse et le double langage (takiya) disaient que cela n’avait rien à voir avec Ben Laden ! Tu parles Charles !
Le comble des combles, c’est que Târik le noctambule, l’obsédé par le Mont de Vénus, impose le sixième pilier de l’islam. En même temps, il s’érige en homme infaillible, pendant la journée, et en professeur d’éthique ou de morale musulmane. Vive le caméléon de la République des collabos et des complices.
Le comble des combles, c’est que Târik le noctambule, l’obsédé par le Mont de Vénus, impose le sixième pilier de l’islam. En même temps, il s’érige en homme infaillible, pendant la journée, et en professeur d’éthique ou de morale musulmane.
Tricky Dicky Ramadan cela sonne bien. L’étoile est devenu un trou noir. Espérons qu’il y sera englouti à jamais et qu’il ne nous bassinera plus avec son double langage à la mord moi le noeud.
tariq ramadan qui a été exclu de l’université d’oxford a vu le baton se retourner en boomerang contre lui; c’est une nouvelle forme de l’habéas porcus si cher aux britanniques
Tarek ? ;;;Recta ! Dehors !
Suisse ? Amateur de;;; Cuisse !
Ramadan ? Amateur de … jeûnes !
Voilées, violées ? Question;;; d’ortho !
Nous, les Croisés, n’aimons pas ses maux !
Comprenne qui voudra !
M. Dick, pourriez-vous me donner les références de votre dictionnaire? Malgré tous mes efforts je n’ai pas trouvé « Tarek » traduit par « frapper ». Merci.
Cher P. Hilout,
Tarek (un point ou tiret sous T et k pour respecter la transcription) : selon al-Mawrid, 2e édition (p 1095, mai 2004) : Tarek = visiteur de nuit, aussi Tarek من يطرق, ضارب « qui frappe, qui tape, qui bat, qui martèle etc …
Merci.
Dans les séries télévisées où les dialogues sont en arabe classique, vous entendez souvent une personne devant sa porte demander:
« Mann el târeq ? » (qui a frappé ?)
Sous-entendu: « qui a frappé à ma porte ? »