Olaf Scholz dans sa vraie nature, avec un bandeau sur l’œil

Cette photo n’est pas un montage. Vous pouvez la retrouver sur la page Twitter (X) du chauve chancelier Scholz.

C’est le Scholz lui-même qui l’a postée.

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Le bandeau lui va si bien. Il a dû prendre conseil chez Jean-Marie Le Pen.

Peut-être même qu’il lui a racheté son bandeau en seconde main.

Moshe Dayan, l’ancien ministre de la Défense, qui a défoncé les défenses des pays arabes en 1967, le portait aussi. Du côté gauche. Gloire à toi, Moshe.

Il n’a pas un nom facile à prononcer, le chancelier allemand, héritier de dame Merkel. Essayez de prononcer trois fois de suite : chauve chancelier Scholz.

Vaut mieux donner votre langue au chat. N’ayez crainte. Ce n’est pas sûr qu’il en voudra. Il y a encore un « cha » là-dedans.

La transformation du chancelier allemand en pirate est survenue lors d’un exercice sportif, rassurent les services allemands qui ont pour tâche de rassurer la population sur l’état de santé chancelant de leur chancelier. Tout va très bien Madame la Marquise.

On ne peut qu’encourager le pirate Scholz à faire plus de sport.

Et s’il lui arrive de perdre l’œil gauche, on n’en sera que… ravis.

Ledit chancelier, qui pratiquait on ne sait quel exercice, regardait apparemment à gauche et négligeait sa droite, quand il a eu cet accident. Ça arrive souvent quand on néglige de regarder à droite. Cela aurait pu être pire pour le Chancelier Chauve Scholz (j’arrive à le prononcer, une fois, comme disent les Belges).

Il ne lui manque que la jambe de bois. Le sabre lui sera livré gratuitement pas l’Arabie saoudite.

Avec son bandeau de pirate, il pourrait naviguer là où il y a du frais poisson migrant et le ramener dans ses filets vers son pays qui en a tellement besoin.

Tellement besoin pour engrosser les femelles allemandes.

Ceci me rappelle l’extraordinaire chanson de Gilbert Bécaud qui, avec sa voix de volcan, éructait :

« Ils ont souillé

Nos femmes et nos rivières
Ils ont noyé nos terres
Ils ont brûlé nos Dieux »

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On dirait qu’il parle d’une certaine population qui sévit actuellement chez nous.

Gilbert Bécaud, un visionnaire. Il nous manque terriblement.

Dis, le Macron, tu ne voudrais pas porter un bandeau, toi aussi ? Juste par solidarité avec ton ami Olaf. M’enfin, vous êtes liés à l’un l’autre.

Vous êtes tous les deux des pirates.

Mais, rappelez-vous, les pirates finissent pratiquement tous au fond de l’eau.

Scholz n’échappera pas à son destin.

Toi, non plus, le Macron.

Messin’Issa