On vit sur un volcan mais on ignore quand il va exploser
Notre pays est devenu La France Orange mécanique, titre d’un livre de Laurent Obertone. Les chiffres de la criminalité sont implacables et ce qui se passe sous nos yeux est angoissant. Nos responsables politiques ont perdu la confiance du peuple. Quant aux juges, nous les trouvons laxistes ou irresponsables, la preuve par quelques exemples.
Pour mettre un coup d’arrêt à cette déferlante de viols en Europe, il faut une volonté politique, il faut des signaux forts : l’expulsion avec retour au pays en est un.
En Suède, une décision d’expulsion a été prise en première instance à l’égard d’un migrant afghan. Il a ainsi été condamné pour le kidnapping et le viol d’une handicapée mentale âgée de 15 ans. Puis lors du procès en appel, les juges ont refusé de l’expulser. En effet, ils ont certainement estimé qu’ils ne pouvaient pas priver leur pays de cette « chance-pour-la- Suède » qui avait, de plus, une défense imparable : en fait, le violeur était « de mauvaise humeur » ! L’article a été publié par Breizatao.
http://breizatao.com/2017/08/30/suede-les-juges-refusent/
Que penser de ces juges ? Sont-ils lâches, désinvoltes ou encore niais puisqu’ils sont capables d’avaler n’importe quelle couleuvre ? En tout cas, ils montrent plus d’empathie pour le violeur que pour la victime !
La déferlante de viols qui touche tous les pays européens, les attaques à l’acide en Grande-Bretagne montrent une dérive de plus en plus furieuse des violences faites aux femmes. Partout en Europe, c’est l’omerta sur le sujet : par exemple, en Grande-Bretagne, « la police interdisait de mentionner l’origine pakistanaise des violeurs » (1).
Et pour endiguer cette criminalité, le gouvernement français comme les magistrats sont aussi déterminés à se bouger qu’une grosse moule accrochée à son rocher !
Dans un autre article, le journaliste Nizar Aghri met carrément les pieds dans le plat. « L’islamisme et la naïveté scandinave » (2) a été publié par Courrier international (d’après un article original paru dans un journal libanais).
Cette fois-ci, le procès se déroule en Norvège et en dit long sur l’incurie des juges. L’accusé incite non seulement à la haine des non-musulmans mais fait également l’apologie des attentats terroristes commis par des djihadistes à travers le monde. Il a tout simplement été relaxé. Et le journaliste ne peut s’empêcher d’ironiser sur le système judiciaire norvégien…
Dans le même article, différents témoignages sont surprenants car ils ont le goût du parler-vrai : des imams réclament l’application de la charia par exemple ou encore, des habitants n’en peuvent plus du vivre-ensemble…
En tant que journaliste, Nizar Aghri rapporte les faits et n’a rien à faire de la tyrannie de la bien-pensance ni de ses acolytes, les associations droits-de-l’hommistes. De notre côté, cela nous amuserait beaucoup qu’un tel expert passe au scanner notre société et notre justice. Bienvenue au Frankistan, Monsieur Nizar Aghri, vous ne serez pas déçu du voyage !
En tant que Libanais, il peut analyser la société scandinave avec plus de discernement. En effet, le Liban est un pays dont la particularité est le communautarisme et son histoire est marquée par des conflits confessionnels. Il a connu les massacres de chrétiens, ce qui a entraîné l’intervention armée de Napoléon III en 1860, mais aussi les attentats, les assassinats, les guerres… Plus récemment, le Liban a été ravagé par une guerre civile qui a duré quinze ans (1975-1990) et fait plus de 150 000 morts.
Le sentiment d’appartenance à une communauté caractérise la société libanaise. Les chrétiens maronites ont toujours refusé la dhimmitude et se sont battus pour être traités sur un pied d’égalité vis-à-vis des musulmans. Ils ont développé un esprit de corps, une combativité pour défendre l’existence de leur propre communauté face à un islam politique et social qui se veut dominant.
Il va sans dire que le communautarisme n’est pas le seul facteur qui contribue à la fragilisation de la société libanaise. En 2020, le Liban va fêter le centième anniversaire de sa création et ce pays n’a toujours pas trouvé le point d’équilibre. « On vit sur un volcan mais on ignore quand il va exploser. » C’est en ces termes que s’exprime un Libanais interviewé par Bernard de La Villardière. (3)
En France, les responsables politiques et les magistrats sont-ils capables de tirer les leçons de l’expérience libanaise ? Pas le moins du monde ! Nous avons parmi eux une fine équipe de «naïfs » ou d’idiots utiles que le doute n’effleure même pas, trop occupés qu’ils sont à préparer leur future dhimmitude et celle de tous les Français, en véritables islamo-collabos !
Cécile De Bussches
(1) http://lesobservateurs.ch/2017/05/22/grande-bretagne-la-police-interdisait-aux-victimes-de-mentionner-lorigine-pakistanaise-des-violeurs/
(2) http://www.courrierinternational.com/article/societe-lislamisme-et-la-naivete-scandinave
(3) Enquête exclusive : les mille visages de Beyrouth.