Ah, les belles années, ces années 41-45, celle où la Gestapo avait tous les droits !

À l’époque, pour comprendre votre avenir, il suffisait de voir arriver “la voiture”, utilisée par la police allemande et la milice française, qui elle, notre milice, obéissait aux lois françaises…

(comme tu le réclames dans ton édito).

1941 – 2021

80 ans déjà, et toujours les mêmes questions : obéir ou réfléchir ?

Pour ceux qui ne savent pas encore quel sera leur choix dans les jours ou les semaines à venir, les journaleux peuvent vous aider.

Ici par exemple :

Petit journal local sans prétention, mais contenant son lot de journalistes bien dans la ligne du parti unique à l’arrêt.

Un doute ? Alors lisez cette prose, un vrai régal.

Notre journaliste de service est là pour servir la soupe au gouvernement, des fois que le peuple se révolte et qu’elle perde son emploi…

Dans son édito, elle assène ses règles, dont la première :

“Défier l’État devrait toujours se faire au nom de l’intérêt général”

Quelle réduction de la réflexion ! Car, si on poursuit ce raisonnement, est intérêt général ce qui est intérêt majoritaire (sinon comment le définir) ; ce qui est donc porté au Parlement par une majorité ; qui représente le peuple, et donc défier l’État n’a plus de sens puisque c’est la majorité qui le souhaite !!!

L’intérêt général étant par essence majoritaire.

CQFD.

Merci Florence. Avec des idées comme la tienne, on n’est pas près de contester grand-chose.

Rappel, il y a dans l’échelle du désordre, schématiquement, 4 niveaux :

1° L’ordre ;

2° les manifestations ;

3° les insurrections ;

4° les révolutions.

J’aurai bientôt l’occasion de revenir ici vous parler de la révolution ukrainienne et des insurrections de l’est du pays qui ont débouché sur une sécession de 2 nouvelles républiques, par la force des armes portées par des hommes et des femmes comme vous.

Là-bas, ce n’était pas l’intérêt général qui a primé, c’était le doit à la liberté, dans son essence, telle que la révolution française était pensée par ses citoyens.

Ils voulaient, bien que minoritaires dans ce pays,  être respectés comme des hommes libres et égaux en droits. 

Le droit de choisir et de décider par eux et pour eux !

Ton premier argument à la poubelle.

Elle ose écrire ensuite :

il suffit de pas grand chose pour que le pacte social bascule.

J’te confirme, cocotte, journaliste de salon,  et regarde ici :

Paris et Carpentras : 11 magistrats et 3 policiers se goinfraient au restaurant – Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com)

L’exemple et l’exemplarité sont les bases de l’assentiment au respect des normes.

J’ai dit normes et pas encore des lois…

Dans le cas contraire, le recours aux armes est une des solutions… (armes morales, armes écrites… armes hummm).

Tiens, ici aussi…

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-commissaire-de-police-et-un-vice-procureur-surpris-dans-un-restaurant-a-carpentras-1612168213

Paris, Carpentras, et tous ceux passés sous le radar…

Déjà 2-0,

On continue à visiter ton salon ; ou on passe dans ta cuisine, FLORENCE ?

La désobéissance civile ne peut servir à défendre des intérêts particuliers !

Bah ! Bien sûr que si !

L’assaut de la grotte d’Ouvéa le 5 mai 1988 en Nouvelle-Calédonie – outre-mer la 1ère (francetvinfo.fr)

Ou alors, tu iras expliquer aux Kanaks que la prise d’otage des gendarmes qu’ils ont tués ne servait ni le marin-pêcheur breton, ni le vigneron alsacien, ni l’éleveur de vache du Limousin, ni la secrétaire de la Défense, etc…

Et que donc, leur action n’avait pas de fondement, car uniquement basée sur des intérêts particuliers, et particulier aux locaux en plus.

Mais, tu as le droit de pousser ta réflexion sur l’origine des défis à une autorité !

Le défi, en l’occurrence,  à un État, est toujours d’ordre immédiat, et intime à ceux qui le réalisent.

Il se contrefout de savoir si c’est particulier et/ou général et/ou partagé par tous !!!

Je ne défie pas un État trente ans après les faits ou les actes d’un gouvernement, et je ne défie pas un État si mes propres convictions intimes ne me poussent pas à une révolte contre ce qui est ressenti comme une injustice.

Le ressenti est vrai ; faux ; inexact ou incomplet ou débile, peu importe, c’est une réaction à un manque de dialogue et à l’application d’un acte tyrannique unilatéral.

Interdire de pouvoir nourrir sa famille, en interdisant l’exercice d’une profession, c’est quoi, selon toi, journaliste de salon ?

Un acte de charité chrétienne ?

Et ils devraient dire AMEN !!!

Parce qu’à la fin, il faudra bien expliquer plusieurs choses : en particulier pourquoi un seul axe de traitement a été privilégié ?

Pourquoi uniquement des mesures passives : le masque, le vaccin et les mains lavées ?

Un peu à la mode de la ligne Maginot des années 1939 – 1940 ! Avant Sedan.

Et les mesures actives, qui en parle dans les médias et dans ton journal ?

La vraie et seule défense, c’est le système immunitaire de chacun, qu’il est possible d’améliorer avec Vitamine D, zinc, argent colloïdal, etc, etc…

Par exemple, lui en parle : est-ce vrai, est-ce faux, chacun a le choix d’écouter et de tester selon ses convictions.

Covid : 50 solutions bannies

ABF16 – Landing intermédiaire – REPLAY – BDC

Qui en parle ? Toi ?

Le ch’ti gars, dans la vidéo, tu nous fais un article sur lui et ses idées ? Ou elles doivent rester confidentielles ?

3-0, on continue ?

On a retapissé ton salon, on a recarrelé ta cuisine, maintenant on change la moquette dans ta chambre ?

Allez, pour le plaisir…

Maintenant, ce dont tu ne parles pas dans ton édito, pas de place, je suppose, pas grave, tout est déjà écrit.

Ici, par exemple :

Droit de résistance à l’oppression et droit à l’insurrection (II), par Geneviève Koubi – Droit cri-TIC

Extrait :

“L’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 24 juin 1793 affirme : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

L’insurrection, née d’une conscience collective, se justifie comme mouvement du peuple quand les droits du peuple, en premier lieu, si ce n’est exclusivement, sont bafoués à l’occasion, par exemple, du port du masque obligatoire, de l’interdiction de travailler pour nourrir sa famille, de l’interdiction de se déplacer, de l’interdiction de se soigner suivant sa volonté et ses sensibilités !!!”

Je continue la liste ou elle te suffit ?…

Pour ceux qui seraient tentés par un dialogue avec la miss journaliste de salon :

Mon choix est fait, je choisis la :

Carl Pincemin