Ils ont sur les mains le sang des victimes de Paris et Bruxelles

HollandeVallsCazeneuveattentatsPhilippe de Villiers, interrogé par Ruth El Krief, accusait les dirigeants français, en place depuis quarante ans, d’avoir sur les mains le sang des victimes de Charlie Hebdo et du Bataclan.

Le nouvel attentat suicide qui vient de se commettre à Bruxelles ne fait que confirmer son diagnostic. Les dirigeants belges sont les mêmes criminels que leurs collègues français. Ils ont favorisé la venue, à Bruxelles et dans de nombreuses villes de Belgique, de centaines de milliers de musulmans qui, comme l’exigent leurs textes sacrés, mènent une stratégie de conquête, par la terreur, afin d’imposer la charia partout où ils le peuvent.

Tout le monde est cristallisé sur Molenbeek, alors qu’il y a, dans notre pays, des centaines de Molenbeek, où les zones de non-droits se multiplient.

SainteMariemerededieuIl suffit de regarder tous les noms des crimes commis au nom d’une religion, depuis vingt ans, en France ou en Belgique, pour ne pas avoir le moindre doute.

Khaled Kelkal 1995 – Boualem Bonsai 1995 – Karim Boussa 1995 – Abdelkader Bouhadjar 1995
– Abdelkader Mameri 1995 – Main Ait Ali Belkacem 1995 – Nasserine Slimani 1995 – Rachid Ramda 1995 – Safe Bourada 1995
– Mohamed Merah 2012
– Abdelkarim Dekhar 2013
– Mehdi Nemmouche 2014 – Bilal Nzohabonayo 2014
– Chérif Kouachi 2015 – Said Kouachi 2015 – Amedy Coulibaly 2015 – Sid Ahmed Ghlam 2015 – Yassin Salhi 2015 – Ayoub El-Khazzani 2015
– Ahmad Al Mohammad 2015 – Samy Amimour 2015 – Omar Ismaïl Mostefaï 2015 – Salah Abdeslam 2015 – Brahim Abdeslam 2015 – Bilal Hadfi 2015.

Les dirigeants français ne pouvaient pas ne pas savoir, en continuant leur politique migratoire, qu’ils mettaient délibérément en danger leur peuple, leurs compatriotes. Non seulement, malgré les pitoyables discours de Cazeneuve, ils n’ont rien fait, depuis Charlie Hebdo et le Bataclan, pour mettre fin à l’invasion musulmane de notre pays, et de l’Europe, mais en outre, ils ont osé accueillir à bras ouverts des clandestins, majoritairement disciples d’Allah, dont trois terroristes du 13 novembre. Voilà ce que disaient, de manière accablante, Christine Tasin et Pierre Cassen, au lendemain du Bataclan. A écouter, tant les évidences qu’ils assènent sont confirmées par les faits.

Comme si cela ne suffisait pas, dans la foulée de la criminelle chancelière allemande, nos dirigeants continuent d’imposer, dans de paisibles villages, même contre l’avis du maire, des nouveaux venus qui ne peuvent, par leur différence de culture et de civilisation, que menacer la qualité de vie de ces habitants.

Comme si cela ne suffisait pas, la ministre du Travail, l’ineffable Myriam El Khomri (qui vient de montrer l’étendue de sa maîtrise de la langue française, en parlant “des journals”, entend, dans sa nouvelle loi, par l’article 6, permettre la liberté religieuse dans l’entreprise. C’est-à-dire le droit de porter le voile, le droit d’avoir un local de prière ou d’exiger de la nourriture halal. Bref, une nouvelle trahison laïque, qui ouvrira les portes des entreprises, de manière officielle, à l’islam.

Comme si cela ne suffisait pas, ce régime ose insulter la mémoire des cent cinquante victimes d’attentats ou de décapitation, en faisant passer ceux qui leur ressemblent comme d’affreux racistes, tandis qu’ils font passer ceux qui ressemblent à leurs assassins pour d’innocentes victimes.

Comme si cela ne suffisait pas, ils ont osé annoncer, à l’occasion de cette semaine contre le racisme, que, dans la pire tradition des testings des commissaires politiques de Sos Racisme, ils allaient envoyer des faux CV arabes à des entreprises, et des faux CV de Français, pour mieux confondre les employeurs qui oseraient embaucher “Gaulois” plutôt que “musulman”. Ces criminels qui nous dirigent veulent donc imposer à nos entrepreneurs de devenir des Hervé Cornara en puissance, et de les punir d’utiliser le principe de précaution.

Et cet incapable de Cazeneuve osait fanfaronner, devant les micros, au lendemain de l’arrestation de Salah Abdeslam, en disant qu’on venait de porter un coup très dur à Daech (puisqu’il est incapable de parler de l’Etat islamique, il ne faut pas discriminer). Heureusement que le ridicule ne tue pas, mais l’islam, lui, tue les infidèles, c’est dans son ADN.

Alors, oui, Philippe de Villiers avait raison, nos dirigeants ont sur les mains le sans des dernières victimes de l’islam, mais auront celui des inévitables prochains morts qui paieront de leur vie la politique criminelle de ceux qui nous gouvernent.

Paul Le Poulpe