ONU, OMS, un agenda pédocriminel global

Nous allons aborder un sujet extrêmement grave et important, celui de la diffusion d’un agenda pédocriminel au sein des agences internationales et en premier lieu de l’OMS. Une telle assertion est lourde sens et d’implication, mais tout est sourcé et vérifiable. Je me réfère aux meilleures sources disponibles. Tout ce que nous allons couvrir dans toute son horreur, correspond à des réalités que toute personne honnête et intéressée peut vérifier par elle-même.

Un point de départ de cette exploration tient dans cet événement, ce fait divers qui s’est produit récemment dans une école en France. À des élèves de CM2, dans le cadre d’un cours dit d’éducation sexuelle, l’infirmière en charge du cours a communiqué un certain nombre de choses qui ont choqué les parents et aussi surtout les enfants. Exemples.
« Pour le plaisir, une fille suce le pénis du garçon ».
« On peut faire le sexe dans les fesses ».
« Pour le plaisir, la fille peut caresser délicatement les testicules du garçon ».

Ce sont évidemment des choses que l’on sait à l’âge adulte et qu’il est normal de savoir à l’âge adulte. Actuellement, une secrétaire d’État a posé dans Playboy. Un ministre de l’Économie s’est laissé aller à des passages pornographiques dans un roman qu’il vient de publier. Toutes les choses que nous évoquons ici ne posent évidemment aucun problème pour des adultes.

Par contre, lorsque des enfants âgés de 8 à 10 ans sont confrontés de manière directe et brutale à ces réalités d’adultes, il en résulte un profond désarroi. Sophie Audugé de SOS Éducation a exprimé comment des enfants s’étaient bouché les oreilles et s’étaient caché les yeux de peur en entendant de pareilles choses. SOS Éducation et Maman Louves ont réagi en interpellant le ministre de l’Éducation sur les programmes en question, mais c’est bien tout le sujet.

Il y a aussi un contexte général de banalisation d’un certain nombre de choses, par exemple l’exposition des très jeunes enfants à des drag queens, à des personnes travesties ou transsexuelles, ce qui fait polémique. Une culture woke refuse tout questionnement de ces réalités, voire toute critique de réalité. Dans Têtu, magazine historiquement de défense de la culture gay, quand on décide de ne pas exposer des enfants en bas âge à de telles situations, ceci est pris comme de la haine anti drag queen, de la discrimination de la part du lobby réac.

Par la culture de la soi-disant transition de genre, on banalise le fait qu’on peut être né dans le mauvais corps. Par des opérations de chirurgie lourde, il est possible de revenir à sa vraie nature.
Ceci pose toutes sortes de questions, non seulement dans le phénomène lui-même, qu’un adulte choisisse une transition de genre parce que, en son âme est conscience, c’est ce qu’il estime devoir vivre, pourquoi pas, mais que l’on banalise et que l’on fasse la promotion de ces réalités, notamment sur les enfants a évidemment d’autres implications. Des extraits d’une émission de télé-réalité diffusée aux Pays-Bas : des adolescentes ou des jeunes personnes ont subi une mastectomie, se sont fait retirer les deux seins, se présentent dénudées devant des enfants, et disent qu’elles ont ressenti une sorte d’euphorie à l’occasion de cette opération. Des enfants âgés de 11, 12 ans disent que c’est parfaitement normal. Mais est-ce parfaitement normal ? Est-il sain d’exposer des enfants avec des exemples de personnes qui n’ont pas encore complété leur maturation psychique. Un agenda important se déchaîne dans beaucoup de pays. En Californie, des ados considèrent désormais que les parents ne les comprennent pas dans leur sentiment d’être transgenre. Ils peuvent demander que la garde soit retirée aux parents et à être mis sous la protection d’une famille d’accueil ou des services de l’État, à partir de l’âge de 12 ans.

À l’adolescence, il est normal de se poser plein de questions, il est normal d’essayer un certain nombre de choses, on peut se sentir mal dans son identité en général. Mais quand on encourage des adolescents à subir des opérations irréversibles, ça laisse la porte ouverte au fait que c’était parfaitement prématuré ou que les personnes aient pu changer d’avis après coup. Exemple, Luca Heine, une femme transgenre regrette la transition qu’elle a commencée à 16 ans et pose cette question : “Comment pouvez-vous me dire qu’un enfant peut consentir à être transformé par une industrie médicale avant même d’être en âge de conduire ?”

Toutes les personnes qui osent s’opposer à ce qui ressemble à une forme de délire sont attaqués de manière virulente. Ainsi, Jake Rowling, créateur d’Harry Potter, dit que c’est un scandale d’aider les enfants à changer de genre. Jordan Peterson, psychologue canadien, dit c’est absolument barbare, c’est criminel, c’est du déni, c’est impardonnable, c’est la descente aux enfers, c’est l’effondrement moral de l’Occident.

Il y a une remise en question des fondamentaux de l’espèce humaine. Par exemple, il ne faut plus décrire l’allaitement comme naturel, car ceci serait contraire à l’éthique en renforçant les rôles de genre. L’allaitement n’est pas naturel. Le Planning familial français a décrété que les hommes aussi pouvaient être enceints. S’il y a des hommes à qui cela est arrivé naturellement et spontanément, qu’ils se signalent. Culture de la négation, culture du déni de réalité. Au Canada, en Ontario, dans un lycée catholique, un adolescent de 16 ans s’est fait arrêter pour avoir dit que Dieu avait créé l’être humain en deux genres, homme et femme. Pourtant, si on observe les bassins humains, si dans quelques millénaires, des archéologues déterrent vos restes, ils sauront dire si vous étiez un homme ou une femme, en fonction de l’ouverture de votre bassin. Mais si on énonce une telle chose, on est susceptible d’être arrêté et d’avoir des ennuis, en tout cas dans certains pays.

Nous avons été profondément émus et bouleversés par les travestis dans Almodovar. De nouveau, des adultes en leur âme et conscience, après être passé par toutes les turbulences de l’adolescence, posent des questions, mais nous devons nous interroger sur cette espèce d’imaginaire dégradé, sexualisé à outrance et diabolique qui sévit, comme par exemple lors de la Semaine de la mode de Londres, lors d’un défilé, une espèce de créature improbable est apparue sur scène. Les journalistes rapportent que des enfants ont dû quitter les lieux, terrorisés.

Selon Robert Malone, l’inventeur des vaccins ARN messager, un agenda pédophile est en voie de normalisation au sein des Nations Unies, il part de l’idée profondément pervertie que les enfants doivent avoir des partenaires sexuels, quel que soit leur âge. Il importe de se questionner sur la réalité de ce phénomène. Pour ce faire, je me réfère à Ariane Bilheran, qui vient d’accorder un entretien à Karl Zéro sur ce projet de l’éducation sexuelle selon l’OMS. Ariane Bilheran, auteur de L’imposture des droits sexuels, ou La loi du Pédophile au Service du Totalitarisme Mondial.

Tous les éléments vérifiables que j’énonce dans cette vidéo peuvent être trouvés dans son livre.
En ce qui concerne la formalisation, l’OMS a défini des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe, non contraignants, mais vivement recommandés. Évidemment, ça diffuse à travers toute l’idéologie sanitaire, ensuite à travers des textes de stratégie nationale dite de santé sexuelle.
La santé sexuelle pour les adultes ou les adolescents, c’est une question importante, mais cette idéologie véhicule l’idée que l’enfant pourrait être consentant à une sexualité avec un adulte, selon ses capacités évolutives.

La Fédération internationale du Planning familial, celui qui en France dit que les hommes peuvent être enceints, a adopté une déclaration des droits sexuels qui stipule à l’article 5 le droit à l’autonomie et à la reconnaissance devant la loi. Chacun est libre de décider ce qui touche à sa sexualité, de chercher à atteindre son plein potentiel et plaisir sexuels, dans un contexte non discriminatoire, et en tenant compte des droits d’autrui et des capacités évolutives de l’enfant.
En réalité, on est face à une sexualisation de l’enfance, c’est-à-dire que l’on considère que l’enfant est
un être sexuel dès sa naissance, en qu’en fonction de ses capacités évolutives, il doit pouvoir trouver des partenaires.

Selon cette idéologie, il y aurait des enseignements à donner aux enfants, à partir de l’âge de 1 an sur la sexualité et leur sexualité. Cela ne tient absolument pas compte de la psychologie du développement des enfants. Par exemple, l’enseignement de la masturbation à 4 ans, l’enseignement du plaisir sexuel, l’enseignement des relations sexuelles à 6 ans. Le but de cet enseignement est de « développer le potentiel sexuel de l’enfant ». C’est clair comme objectif, c’est écrit tel quel dans les textes, et l’adulte doit être « partenaire de l’enfant » pour l’aider à développer son potentiel sexuel. Les enfants n’ont pas à être confrontés à de la sexualité adulte, voir un sexe d’homme en érection est tabou pour un enfant, ça va complètement fracasser son psychisme. Qu’il imagine des choses en fonction de ce qu’il sait ou de ce qu’il ignore, cela fait partie de son développement, mais quand on les confronte à la réalité brute, on crée des traumatismes psychologiques. Qu’une personne de 14, 15 ans se pose ces questions et découvre des choses, grand bien lui fasse, mais pour un enfant, c’est à éviter à tout prix. Il y a une confusion totale des adultes, qui n’est pas une confusion, c’est une intention.

Cette idée de l’enseignement sur la sexualité est né chez Alfred Kinsey, un entomologiste, scientifique qui étudie les insectes, à qui Rockefeller a confié une grande recherche sur la sexualité humaine à l’université de l’Indiana, et en débloquant les financements nécessaires. Rockefeller, qui a imposé la médecine chimique en évacuant toute la médecine intégrative des universités, était un des principaux financeurs du régime nazi. Aujourd’hui, la Fondation Rockefeller finance à dose massive l’OMS. Alfred Kinsey est l’une des références scientifiques de l’OMS. Or, Kinsey est le scientifique des viols d’enfants. Judith Reisman a travaillé pour le département de la Justice américaine, elle a fait des recherches sur l’échantillon constitué par Kinsey, elle a rencontré des témoins. Pour elle, Kinsey était lui-même un déviant sexuel grave, un pédocriminel. Sur l’échantillon de 4 120 hommes retenu pour définir la sexualité humaine, 3 526 étaient des déviants sexuels avérés dont 1 600 délinquants sexuels et psychopathes incarcérés.

À cet homme-là, on a confié aussi le soin de faire des recherches sur la sexualité de l’enfant. Il est toujours considéré comme la référence et le père de la révolution sexuelle, le pionnier de la recherche sur la sexualité. Mais il a organisé à grande échelle le viol d’enfants, la sexualisation des enfants. Dans ses recherches, des viols d’enfants et de nourrissons ont été commis.

Aujourd’hui, on supprime les passages gênants de son livre Le comportement sexuel. Or, les recherches de Kinsey ont impliqué l’exploitation de 1 475 nourrissons et garçons en vue d’obtenir des informations sur le prétendu orgasme des nourrissons et des enfants, ce qui était l’obsession théorique de Kinsey. Ces recherches forment la base des instruments utilisés actuellement par l’OMS, notamment SIECUS, sexuality information and explanation council of United States, créé en 1964, l’organe de la pédagogie sexuelle de l’Institut Kinsey.

Ces recherches sont disponibles. Par exemple, 317 enfants mâles à partir de l’âge de deux mois pour mettre en lumière l’orgasme sexuel. Jusqu’à 1 an, 28 nourrissons ont été soumis à de la torture, du viol et des sévices. Et quand les nourrissons réagissaient avec des expressions sonores, Kinsey disait, ils sont en train d’avoir un orgasme. Non, ils étaient dans un état de douleur intense, ils étaient terrorisés. Voilà les exactions commises par Kinsey. Sur un tableau, on a l’âge à gauche, le nombre de prétendus orgasmes ressentis par les enfants. Un orgasme d’enfant, c’est comme un homme enceint. Ils se sont acharnés sur ces malheureux. Des séances duraient de 1 à 3 heures. Telle est la base sur laquelle l’ONU s’appuie pour dire : voici ce qu’est la santé sexuelle des enfants et l’OMS ajoute : voilà comment il faut les éduquer à la sexualité.

Dans son entretien avec Karl Zéro, Ariane Bilheran évoque les recherches faites par les nazis sur les enfants dans les camps de concentration. Karl Zéro pose la question :
« Autour de Kinsey, il y avait d’anciens nazis récupérés par les Américains à la fin de la guerre, des pseudo-savants qui ont encouragé Kinsey dans cette recherche.
Tout à fait. En remontant le fil des financements et du nazisme, sur les financeurs de l’éducation sexuelle, on trouve des ramifications. Aujourd’hui, Bill Gates investit des millions dans un groupe affirmant que les enfants sont des êtres sexuels. Les nazis, déjà, avaient promu cette nécessité idéologique de montrer beaucoup de pornographie aux enfants. Des journaux de l’époque titraient sur les viols qui pouvaient se passer dans les jeunesses hitlériennes. Beaucoup de chefs nazis étaient des pédophiles et encourageaient le viol des petits garçons parce que ça fabrique des guerriers. Cette méthode nouvelle permet de dissocier, de créer de la haine, par le viol sur les petits garçons en particulier. Rockefeller avait tout un réseau de nazis et continuait de les fréquenter. Le docteur Fritz von Balluseck, officier nazi, a été utilisé dans les recherches de Kinsey, a été condamné. Tout le monde savait, il a transmis ses recherches sur ses propres viols, sur les viols qu’il commettait. Tout cela a été titré dans les journaux officiels de l’époque. Par exemple, le National Zeitung du 15 Mai 1957 : les nazis savaient que Fritz von Balluseck laissait libre cours à ses penchants anormaux dans la Pologne occupée avec les enfants polonais. Ces enfants devaient choisir entre Balluseck ou la chambre à gaz, en fait Balluseck faisait les deux. Après la guerre, les enfants étaient morts, Balluseck était vivant. Aujourd’hui, le tribunal a quatre agendas dans lesquels il a consigné ses crimes contre une centaine d’enfants. Il envoyait régulièrement les détails de l’expérience au chercheur américain Kinsey, spécialisé dans la sexualité. Ce dernier entretenait avec Balluseck une correspondance régulière et intense.
Autre journal allemand, le 1er Octobre 1957 : Balluseck correspondait avec l’Institut américain Kinsey depuis un certain temps et recevait aussi des livres qui traitaient de la sexualité des enfants. C’est clair ».

On pourrait objecter que les nazis et Kinsey aient fait des recherches abominables, c’est une chose, mais quel est le lien avec l’OMS ? Il faut savoir que ce dont nous parlons existe, est déployé dans le cadre d’une connexion entre l’Institut Kinsey, le programme des Nations Unies, et le Planning familial, alors même que les études de Kinsey ont été dénoncées comme étant des sciences de pacotille, que ces recherches monstrueuses sur le plan éthique, sont complètement foireuses sur le plan scientifique. Pourtant, c’est cela qui prévaut comme base de tous ces programmes.

Karl Zéro pose une autre question à Ariane Bilheran : « A qui profite le crime ? Quel est le but de tout cela ? »
Ariane Bilheran cite Judith Reisman. « Les gens ne savent pas que ce ne sont pas les gens bien qui dirigent le monde. Le but est de décriminaliser leurs propres crimes. C’est le premier but ».
En effet, la réalité de la fréquence de la pédocriminalité va jusqu’au sommet de l’État et dans les sphères dirigeantes. Si on légitime le fait qu’il est naturel pour un adulte d’avoir une attirance pour des enfants, que c’est une forme de sexualité comme une autre, dès lors qu’un enfant est consentant, et qu’est-ce qu’un consentement d’enfant à une approche sexuelle de la part d’un adulte, alors il n’y a pas lieu d’y trouver le moindre mal, ni surtout de sanctionner cela au regard d’une quelconque loi. On comprend que ces individus ont le champ libre.

Ariane Bilheran est une grande spécialiste du totalitarisme, normalienne, spécialiste en philosophie politique et morale, docteur en psychopathologie, spécialiste des abus chez les enfants. Elle a compris très vite en découvrant ces textes, en 2017, sous des moqueries, des gens disaient, comment peux-tu faire des interprétations pareilles ? Mais cinq ans plus tard, tout est advenu. Il s’agit ni plus ni moins d’une tentative de dissociation traumatique de masse des enfants.

Les nazis pratiquaient cette dissociation traumatique. Elle va créer du contrôle mental de masse, c’est-à-dire ils vont implanter un état totalitaire mondial par des transgressions et des traumatismes en permanence. C’est ce que nous avons vécu depuis 2020, à l’échelle générale, sauf que là, cela concerne les enfants. Faut-il rappeler le « Nous sommes en guerre » énoncé à six reprises par Macron face à un virus dont nous savons aujourd’hui qu’il n’était pas plus grave que la grippe, et qu’il aurait pu être géré de manière parfaitement naturelle avec les moyens habituels comme l’a fait la Suède. Mais depuis le mois de mars 2020, et cette funeste annonce d’un président psychopathe, nous avons vécu une traumatisation à répétition, la plupart des gens sont partis en panique. C’est bien ça le but, c’est de créer des individus dissociés, aliénés à eux-mêmes, perturbés dans leurs repères fondamentaux, et qui dès lors, n’ont pas la ressource de s’opposer à l’agenda totalitaire. C’est la seule hypothèse qui fait sens à l’heure actuelle.

Cherchons par acquis de conscience des confirmations. Si quelque chose est vrai aujourd’hui, les officines de propagande, notamment l’Agence France Presse, devenue la principale source de désinformation dans l’univers francophone, démentent. L’OMS impose un programme d’éducation sexuelle prônant la pédophilie. Non, ce n’est pas le cas, c’est faux. Le journal Vingt minutes répond : « Non, l’ONU ne veut pas légaliser la pédophilie et imposer les droits sexuels ». Pourtant, c’est ce que nous venons de voir. Le journal Libération pose la question d’une manière plus subtile : « Est-il vrai que l’OMS impose des cours d’éducation sexuelle avant quatre ans ? » Ils ne répondent pas non, mais cela n’est pas contraignant, ce qui est une fiction parce que la France s’est engagée. Dans le détail, on trouve bien il est suggéré d’informer les enfants dans la tranche d’âge de 0 à 4 ans sur le plaisir et la satisfaction liée au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce. Malgré les dénégations, ou plutôt confirmé par les dénégations, la réponse est hélas oui.

Dans Médias-Presse-Info, on peut lire « 22 pays bloquent une motion de l’ONU en faveur de l’éducation sexuelle pro-LGBT des enfants ». Il ne s’agit pas de tolérance, il ne s’agit pas de compréhension de formes marginales de sexualité adulte. Il s’agit de promotion active du courant LGBT, alors que la différenciation des sexes et l’indifférenciation des générations avec l’interdit de la pédophilie et de l’inceste sont au fondement de toute civilisation humaine. C’est cela qui permet de structurer le psychisme.

L’organisation de Robert Kennedy junior, Children’s Health Defense, alerte sur le fait que l’Organisation Mondiale de la Santé est un fer de lance pour retirer leur souveraineté aux États, et notamment pour des raisons soi-disant sanitaires. OMS dirigée par un personnage soupçonné de crimes de guerre, sinon de crimes contre l’humanité, dont on a vu la malfaisance tout au long des années écoulées. Macron a bien dit qu’il faut remettre tout notre pouvoir à l’OMS, qu’il faut faire une entière confiance en l’OMS, la seule instance habilitée à s’occuper de santé à l’échelle internationale.

Dans son discours sur le déclin du courage en Occident, à Harvard, le 8 Juin 1978, Alexandre Soljenitsyne disait que le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Occident aujourd’hui. Où êtes-vous les hommes ? Où sont les hommes aujourd’hui ? C’est notre responsabilité biologique, anthropologique, sociétale de protéger les femmes et les enfants, au prix de notre vie si nécessaire. C’est comme ça que l’espèce humaine s’est construite et a survécu au cours du temps. C’est notre responsabilité, les femmes et les enfants d’abord. Puisque nous avons de la force physique, puisque nous avons de la testostérone qui nous donne de l’agressivité, laquelle est une valence biologique, je ne parle pas d’agression, je parle d’agressivité, oui, c’est à nous les hommes de monter au créneau et de faire ce qu’il faut pour mettre en échec cet agenda de dégénérés pédophiles, qui aujourd’hui hélas, a infiltré les esprits.

Cet agenda d’une gravité extrême est en train de se diffuser dans toute la chaîne de commandement et de la santé. Nous l’avons vu au cours de la crise Covid, des braves gens, des collègues, des gens qui avaient une éthique saine, qui n’auraient jamais fait de mal à personne en temps normal, se sont transformés en relais impitoyables d’un agenda totalitaire. Aujourd’hui, les instituteurs, les infirmiers scolaires, les assistants sociaux, les professeurs d’université, les ministres, les préfets, les policiers, sont prêts à se transformer en soutiens de la pédocriminalité.
Il s’agit pour nous de les mettre en échec. Bravo aux Mamans Louves. Mais il est temps pour les hommes de reprendre leur pouvoir, de réaffirmer les valeurs fondamentales, et de s’activer dans cette direction.

Le 13 mai 2023, un colloque à Paris évoque La Dérive Totalitaire Sur Les Enfants. Diagnostic, causes, et conséquences, solutions. Comment retrouver des principes vertueux ? Les intervenants évoquent l’urgence de protéger nos enfants, nos petits-enfants, c’est-à-dire l’avenir de l’humanité, de ces dérives proprement démoniaques.

Retranscription écrite d’une vidéo de Jean-Dominique Michel parue le 11 mai 2023

https://www.youtube.com/watch?v=qMeNk_x3gaI

Question complémentaire. Comment réagissent les retraités de l’Éducation nationale ?
D’une façon générale, en bons soixante-huitards bobos aguerris, en boomers accomplis et gauchisés, ils adoptent la politique gauchiste mondialiste cosmopolite, sans trop se poser de questions, sans jamais remettre en cause leur socialisme de jeunesse, ni le progressisme sociétal. Ils ne comprennent même pas que depuis la Révolution dite française, il y a quatre gauches successives, le libéralisme, le socialisme, le communisme, le gauchisme, que ces quatre gauches s’unissent dans le mondialisme contre le peuple, que ces quatre gauches sont les alliées du capital. Une association a répondu que ce n’était pas son rôle de s’occuper de ces choses. La maltraitance des enfants, la pédocriminalité en germe, ce n’est pas leur problème, ou pire encore, c’est dans le droit fil du socialisme et du progressisme sociétal, donc tout va bien.

Par leur absence, par leur indifférence, ils cautionnent et se rendent complices de tout ce qui arrive, ils se foutent des malheurs qui s’abattent sur l’humanité, et en particulier sur les enfants.
La Révolution bourgeoise et Mai 68 restent leurs modèles.

Jean Saunier

 

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5 Commentaires

  1. Moi , je veut bien m’occuper de ces malades de pédophiles et qu’on me donne “carte blanche” . Quelle jubilation ça serait . Nous avons un devoir envers les générations a venir d’éradiquer ces malades mentaux .Voilà ce qui arrive quand on laisse ces malades mentaux parader a moitié a poil dans les rues .

  2. c’est l’occident tout entier , avec comme chef de fil les amerlocks , qui bascule de plus en plus dans l’inversion des valeurs traditionnelles ( c’est un gros mot aujourd’hui ) de notre civilisation , et tombe carrément dans l’antéchrist et le satanisme .

  3. et pourtant la majorité des pays de l’onu ne sont pas favorables aux thèses lgbt+q

  4. Je dis qu’une chose à ces putains de pédophiles , dégénérés du bulbe qui détruisent psychologiquement des enfants avec leurs fantasmes sexuels , vous êtes des pervers et des pédophiles et en tant que tel vous méritez la peine de mort , bande de déchets , Venez toucher à mes petits enfants et je vous garanti un aller direct en Enfer !

  5. Il faut relire “Le Meilleur des mondes” de Aldous Huxley (paru en 1931 !!), roman d’anticipation dystopique où l’on “éduque” les petits enfants en leur imposant de jeux sexuels, pour comprendre que ce projet criminel de destruction des valeurs de notre société de date pas d’hier… et revient en force au moindre prétexte sous différentes formes…

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