Orléans : d’origine inconnue, ils agressent et violent un petit garçon

Comme tout le monde, vous avez vu Manu-le-bref se pencher humblement devant la tente d’un SDF pour faire croire aux français les plus démunis qu’il se soucie de leur condition. Le tout en fringues hors de prix et entouré de dizaines de gardes du corps.

Ce n’était qu’une mesure de com supplémentaire. Le grand débat, la promenade mémorielle, les embrassades au Salon de l’Agriculture, et maintenant, la philanthropie. Le tout aux frais des français en extase, qui le photographient, l’attendent des heures pour entrevoir son auguste silhouette.
Mensonges. Fourberie. Imposture. Frime. Simulation.

Car Manu-le-bref ne se soucie pas des SDF. A l’heure où je couche ces lignes, il s’est lavé à grandes eaux, s’est fait désinfecter par plusieurs sous-fifres, Brigitte a largué le blouson en cuir et le jean Balmain dans l’incinérateur. Manu s’en fout. Il s’en soucie comme de la dernière foire aux carottes d’Argovie. Il s’en lave les mains, Manu. Il s’intéresse aux illégaux, avec une préférence systématique pour les mineurs.

Au mois de janvier, je m’étais indignée de la conduite sauvage de certains d’entre eux (mineurs entre 17 et 35 ans).

https://ripostelaique.com/mecontents-de-la-bouffe-les-mineurs-etrangers-cassent-tout.html

Mécontents des mets (pourtant étudiés et équilibrés) proposés, ils avaient tout saccagé. Si j’étais audacieuse, j’aurais appelé La Roche-sur-Yon pour savoir si la maison a été remise en état et qui s’en est chargé. Mais je suis lâche. Je n’ai pas osé. J’en suis réduite à deviner : les mineurs mécontents sont restés vautrés devant leurs écrans, quels qu’ils soient, et ce sont des artisans qui, aux frais des français, ont réparé le saccage. Car pour Manu-le-bref, rien n’est trop beau ou trop coûteux pour les illégaux.
Le mardi 19 février, un peloton de morpions âgés de 9 à 14 ans agresse un petit garçon terrorisé. Le procureur de la République d’Orléans confirme qu’une enquête est ouverte pour des faits de viol et d’agressions sexuelles. Contente de l’apprendre !

Le petit a été livré à lui-même. Le jeune papa est très en colère. Son fils vient de vivre des journées de cauchemar à la Maison de l’enfance, à Orléans. Entré dans cette institution à la mi-février, il a rapidement été pris en grippe par d’autres braves petits mouflets – s’agirait-il, cette fois encore, de jeunes atouts pour le pays ? L’absence totale de prénom ou d’autre indication permettant d’en déduire l’identité m’en convainc plus qu’une description intégrale.

Voici la description de l’établissement : Les Foyers de l’enfance ont pour mission d’accueillir tout mineur en difficulté ou en danger confié par sa famille ou par mesure judiciaire au service de l’Aide Sociale à l’Enfance. Les objectifs d’un placement en Foyer de l’enfance sont d’assurer la sécurité de l’enfant, sa santé, son éducation, son développement social et culturel, son épanouissement personnel.

Mais comment faire si on vous fourgue une horde de sauvages qui ne connaissent pas les codes ? Qui dès la petite enfance, ont appris à saigner les ovidés et à mépriser les plus faibles ? A qui on apprend à se balader avec un couteau en poche ?

Ce jour-là, quatre galapiats (non, vous ne me ferez pas dire qu’il s’agit à nouveau de jeunes aubaines pour la République française), âgés de 9 à 14 ans l’ont attiré dans une pièce, prétextant un jeu. Ils lui ont retiré le pantalon et essayé de le sodomiser. L’un d’eux l’a forcé à pratiquer une fellation. Ils l’ont menacé avec un pistolet à billes, puis avec un couteau. Pourquoi avaient-ils ça sur eux, merde? Ils ont toujours des armes sur eux. Ils ont reconnu les faits.Ca nous avance à quoi, je vous le demande ?

Les deux plus jeunes, 9 et 10 ans, sont soupçonnés d’avoir commis des actes de nature sexuelle envers la victime, confirme le procureur. Mais compte tenu de leur très jeune âge, nous ne pouvons pas prendre de mesures coercitives à leur encontre. Ils ont donc été remis à la Maison de l’enfance et seront convoqués ultérieurement par le juge des enfants. Ben voyons !

Le papa, d’une candeur ahurissante, déclare vouloir médiatiser l’affaire « pour que tout ça change ». Mais là, je vais être obligée de le décevoir. Rien ne change, rien ne changera jamais.

Petits rappels de grandes phrases récurrentes.

Plus jamais ça !» : Merkel et Macron commémorent l’armistice le 10 novembre 2018|

Assassinat d’Arnaud Beltrame : “J’espère qu’on n’aura plus jamais à faire ça. Ni ici ni ailleurs en France”, (habitants d’un petit village près de Carcassonne.)
Musée juif de Bruxelles, l’avocat des victimes : «Ceci ne peut plus jamais avoir lieu»
Fontaines-sur-Saône, dernier hommage à Hervé Cornara, assassiné dans l’attentat de Saint-Quentin-Fallavier, en présence de Bernard Cazeneuve. «Je vous en supplie plus jamais ça!», a imploré la veuve.
Emmanuel Macron, le 20 février 2019, dans son hypocrite action contre l’antisémitisme : “Plus jamais ça.”
Cher Monsieur, je pense qu’il est inutile de vouloir médiatiser cette horrible affaire. J’espère que votre petit garçon se remettra entièrement de cette agression, mais abandonnez bien vite tout espoir de « plus jamais » !
Il n’y a pas qu’Orléans. Il y a aussi Langueux (22).
Une cinquantaine de mineurs étrangers sont logés à l’hôtel par le Département des Côtes-d’Armor, ils déplorent leur isolement. Ils s’ennuient, les pauvres. Le collectif Bistrot du monde se hâte de se mobiliser. Ils ont manifesté samedi. Les adolescents arrivaient des hôtels Formule 1 et Première Classe. Pour manifester, protester, hurler, ces jeunes inopportuns retrouvent manifestement toute leur énergie.
Conseil : rentrez bien vite d’où vous venez, retrouver la convivialité du village, vos amis, on est prêts à faire un sacrifice pour vous améliorer les conditions de voyage. Et si vous décidez de rester, vous la fermez !
Il y a aussi Marseille. Là, il s’agit de leurs conditions de vie.

Une trentaine de mineurs étrangers isolés manifestent actuellement depuis le  bâtiment du diocèse qu’ils occupent depuis décembre avec le soutien d’une troupe de crétins bénévoles. Scandant “Solidarité pour les mineurs isolés” et “Un toit, c’est un droit” (Je connais toute une série de droits que j’aimerais appliquer en ce moment, là, tout de suite), ils se rendent au tribunal pour enfants pour remettre une lettre écrite à la présidente, dans laquelle ils alertent sur le non-respect de leurs droits (qu’est-ce que je disais : leurs droits, ils les connaissent sur le bout des doigts !) et leurs difficiles conditions de vie. Ils ne savent ni lire ni écrire, mais sont parfaitement au courant de leurs « droits » ; On les leur inculque en même temps que l’égorgement des moutons, dès la plus tendre enfance.

Et il y a Saint-Maurice-Colombier. Là, l’aide sociale à l’enfance a un doute sur l’âge du jeune N’Diawar, soi-disant 16 ans. Je me demande alors pourquoi les examens osseux sont exclus en France? Utilisés dans de nombreux pays européens pour déterminer l’âge des jeunes migrants lorsqu’un doute subsiste, ces tests de maturité osseuse sont bien entendu critiqués par les associations d’aide aux migrants.

La question a été soulevée par la défense d’un jeune Guinéen qui avait assuré avoir 15 ans à son arrivée en France en 2016. Il avait refusé de se soumettre à ces examens censés permettre de déterminer son âge. Le juge des enfants en avait déduit en qu’il n’était pas mineur et avait levé son placement auprès de l’Aide sociale à l’enfance (ASE).

Le jeune homme avait fait appel en acceptant cette fois les tests osseux. En juillet, la cour d’appel de Lyon avait estimé son âge entre 20 et 30 ans et confirmé qu’il ne bénéficierait pas de l’ASE. Il avait formé un pourvoi en cassation.

Ils ne savent ni lire, ni écrire, mais pour les pourvois, ils sont champions. Je vous laisse deviner qui finance tous ces recours.
Je n’ai pas l’intention de vous raconter ma vie, mais cela me rappelle une expérience que j’ai faite il y a quelques années. Pétrie des principes de charité chrétienne inculqués par mes parents et par le couvent où j’avais fait mes études, au moment de l’arrivée massive des migrants, je n’ai pu que m’inscrire sur une liste de bénévoles (pardon ! pardon, je ne le ferai plus jamais !) et dû attendre plus d’un an avant de me voir confier une activité : les listes d’attente étaient plus longues que la grande muraille de Chine: J’ai finalement été affectée à un lycée pour donner des cours de français à des primo-arrivants. 3 heures par semaine. Long trajet dans les transports en commun pour arriver dans un quartier encore plus glauque que le château Bleuse de Sidi Brahim.

Dans ma grande naïveté, j’avais pensé pouvoir profiter du trajet pour bouquiner. C’était sans compter sur les bâchées et leurs mugissements au téléphone. Le livre restait systématiquement dans mon sac. Bref, j’ai suivi toute une série d’élèves, entre autres un jeune guinéen du nom d’A. Il était logé dans un centre à deux pas de chez moi. Appliqué, attentif, il avait obtenu de bons résultats, malgré ses lacunes en français. Sa mauvaise santé l’avait obligé à manquer les cours pendant plusieurs semaines. Mon instinct maternel ne faisant qu’un tour je suis allée lui donner ses leçons dans la grande salle du centre. Je suis grand-mère, que voulez-vous ? Je l’ai pris d’affection et pour ses vacances d’été je les ai emmenés régulièrement, son meilleur copain et lui, à la piscine pour leur apprendre à nager, non sans les avoir équipés de tout le matériel. A. était aux anges. En trois cours, il faisait une longueur. Obligé de changer de résidence, on l’a envoyé en province, je ne suis plus allée le voir que deux ou trois fois, mais le suivais de loin. Je suis allée lui apporter un cadeau d’anniversaire, un autre pour noël, le portable dont il rêvait. Je l’ai inscrit à un cours de crawl près de chez lui.

Un jour, mon portable sonne. La prof de natation. Furieuse, enragée, elle hurle, me dit ne plus jamais vouloir lui donner cours. Moi qui le voyais comme un gosse vulnérable. Il l’avait agressée dans les cabines. Je suis allée le voir une dernière fois pour le sermonner.

J’en ai marre de ces mineurs qui n’en sont pas, j’en ai assez de lire tous les bienfaits dont on les abreuve, j’en ai plus que ma claque de l‘hypocrisie du gouvernement et des nouilles bénévoles, de leurs pancartes, de leurs marches blanches, des benêts qui clament leur bienfaisance à tous vents. Ras-le bol du désintéressement de certains pour l’avenir de la France. Non, vous ne me donnerez pas mauvais conscience.

Anne Schubert