Ouf, l’AfD rentre au Bundestag !

Merkel, Schulz, les Grünen, les Linken, ont enfin pris un savon en pleine figure et c’est tant mieux ! Le règne absolu des écolos et des socialistes est enfin fini. Plus de 90 députés de l’AfD rentrent au Bundestag. C’est très peu en raison de la crise profonde du pays mais c’est une première naissance avec de nouveaux germes. Les élections du Bundestag nous font parcourir les pages d’un véritable thriller avec ses trahisons, ses incohérences, ses histoires de fric et d’ambitions égoïstes avec le poids des lobbies (ONU, OTAN, LGBT, Goldman Sachs, Morgan Stanley Bertelsmann, Axel-Springer Verlag) au sein de l’AfD, ce qui est redoutable et inquiétant car encore une fois un mouvement fort et patriotique est chevauché par des intérêts financiers et politiques qui sont au-dessus des intérêts du vrai peuple et qui ont torpillé l’élan révolutionnaire issu du peuple depuis 2014 avec les Montagsdemos et Pegida. Les lobbies ont freiné brutalement l’élan populaire qui prenait une forme violente et réellement révolutionnaire dans le pays. Sans ce frein, l’AfD aurait gagné haut la main !  Il ne fallait pas laisser le peuple prendre le pouvoir et se rapprocher de trop de la Russie. Mais le peuple allemand a prouvé une chose. Si il le veut, le peuple peut mener une révolution profonde. Cela reste un point positif, malgré la présence de taupes parmi l’AfD. Des patriotes sont rentrés dans le Bundestag, c’est le point essentiel et la bonne nouvelle car avec les députés de l’AfD présents au Bundestag nous trouvons le réseau des identitaires avec des juristes.

Des taupes avec poignard !  « Il faut prendre l’exemple sur le mouvement startup de Macron », dit Frauke Petry (elle vient de la RDA aussi comme Merkel) qui était encore présidente de l’AfD trois jours après les élections au Bundestag et a déclaré qu’elle veut lancer un nouveau parti politique avec son mari Marcus Pretzell qui était aussi un chef de l’AfD il y a un jour… Frauke Petry, qui était encore présidente de l’AfD en milieu de semaine a porté un coup de couteau brutal dans le dos des électeurs de l’AfD juste au lendemain des élections du Bundestag et trois jours après ces mêmes élections. Les patriotes allemands subissent donc une trahison après la victoire de l’AfD. Mme Frauke a passé son temps à dénoncer « les idées nazies » au sein de l’AfD, faisant le jeu de l’opposition et a tout fait pour écraser des chefs de l’AfD qui veulent sauver l’Allemagne.

Frauke Petry a donc, chose incroyable, sorti son poignard en direct durant la conférence de presse de l’AfD à Berlin le lendemain des élections en déclarant qu’elle ne serait pas députée de l’AfD au Bundestag, mais qu’elle voulait siéger au Bundestag comme députée (pour le fric et pour semer la zizanie contre les patriotes de l’AfD connaissant les secrets internes de ce nouveau parti politique). Gauland, Weidel, Meuthen, qui étaient assis sur la même rangée à côté de Petry, ne semblaient pas surpris par cette « défraukée ». Nous, les journalistes présents dans la salle de conférence, nous pûmes saisir en direct la teneur de ces élections allemandes.  Depuis des mois cette trahison de Mme Frauke était annoncée dans les rangs des AfDler convaincus. De même le mari de Mme Frauke était senti comme un traître allant contre le combat des identitaires. Une stratégie a été ainsi divulguée : monter et infiltrer un mouvement patriotique pour le couler ensuite. Ce coup de couteau de Mme Frauke relance la thèse selon laquelle l’AfD, qui a été fondée juste avant la grande crise migratoire, aurait été une création stratégique de la CDU (des journalistes prétendent avoir vu Mme Frauke rendre visite à Merkel à la chancellerie) – plus exactement des lobbies, car Merkel est un pantin – pour certains observateurs, pour encadrer le mouvement populaire durant la politique de Berlin notamment sur l’import de migrants. Cette hypothèse tient hélas bien la route. De fortes sommes d’argent ont tourné durant les mouvements Pegida et AfD et de nombreux patriotes ont pu sentir cette odeur de l’argent durant les conférences et les divers meetings…

Alice Weidel, qui roule pour l’AfD, a aussi un profil bizarre pour « une révolutionnaire » du système. Weidel a obtenu une bourse d’études de la fondation Adenauer, du cœur de la CDU, de cette même fondation qui organise et finance des mouvements politiques dans le monde comme ce fut le cas avec la création du parti UDAR en Ukraine qui s’est engagé pour l’Euromaïdan et contre la Russie. D’ailleurs, la fondation Adenauer a recruté le boxeur Wladimir Klitschko pour être le président de l’UDAR et pour qu’il devienne le maire de Kiev. En outre, Alice Weidel a tenu des postes clés au sein de l’assureur mondial Allianz au niveau international et aussi chez  Goldman Sachs. Pour obtenir une bourse d’études de la fondation de la CDU, Alice Weidel devait être une membre de la CDU dès ses études et faire partie d’une famille issue de la CDU historique, c’est-à-dire un cadre modèle du parti politique de la CDU. En outre, Alice Weidel est née à Gütersloh, la ville historique du quartier général du grand et immense lobby Bertelsmann, celui qui publie tous les livres des hommes politiques en Allemagne et toutes les publications du Bundestag et de la chancellerie… un hasard de naissance ? Un hasard de destin ? A côté de ses activités professionnelles qui ne collent pas vraiment avec l’idéal des patriotes allemands – ceux issus du peuple et des terres allemandes contre la domination de l’Allemagne par des puissances étrangères -, Alice Weidel vit avec sa femme sri-lankaise et le couple a deux enfants. Ainsi, le lobby LGBT et le lobby de la grande finance et le lobby international sont bien représentés par Alice Weidel qui fait son entrée au Bundestag avec l’AfD, un endroit politique considéré comme être le lieu des marionnettes par le chanteur Xavier Naidoo.

Mais les députés de l’AfD sont des juristes, des policiers… des personnes qui connaissent les rouages du système et qui sont proches des identitaires qui sont, eux aussi, bien structurés ! La « défraukée » peut continuer pour laisser la place aux véritables patriotes dans le Bundestag !

Olivier Renault