Paca : à chaque assassinat islamique, nous serons dans la rue le lendemain

Freres-KouachiCe lundi 5 octobre, en Seine Saint Denis, un fanatique musulman a fait le choix de la peine capitale.
Poursuivi par des officiers de police après un braquage, dans une situation de blocage, alors que son complice s’allongeait sur le sol en signe de reddition, il a décidé de faire feu sur les policiers sachant qu’il n’avait aucune chance de rester en vie.
Il a visé la tête pour être sûr de détruire.
Il a touché deux fois avant d’être abattu.
Nous avons décidé en Paca, après l’assassinat du chef d’entreprise de l’Isère, que « pour le cas où » de nouvelles agressions islamiques seraient perpétrées nous ne pouvions pas rester sans réagir. Nous avons arrêté le principe de nous rassembler dans un lieu emblématique de notre ville le lendemain du forfait, à 18 heures, dans le but de manifester notre soutien à nos compatriotes victimes de la guerre que nous a déclarée le fanatisme musulman et de constituer une première forme d’organisation pour y faire face.
C’est pourquoi nous nous sommes retrouvés, hier en fin d’après-midi, sur la place de la Liberté à Toulon.
Un processus s’est enclenché.
Il est nécessairement appelé à s’amplifier, « pour le cas où ».
On notera par ailleurs que des syndicats de la police nationale ont fortement réagi :
« Il est moralement inconcevable qu’on puisse libérer pour une permission un individu aussi dangereux pour la société. Les policiers vont attendre de la ministre de la justice des comptes… » Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance police nationale »
« L’angélisme pénal que nous dénonçons depuis des années n’est plus adapté face à l’islamo-délinquance », Patrick Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie-officiers.
On notera encore que la Ministre de la Justice à répondu dans un communiqué qu’elle « examinerait s’il y a lieu de modifier la législation applicable aux sorties des détenus ».
Réponse que l’on peut caractériser de dilatoire pour ne pas dire de grossière provocation, avec l’assurance du soutien du Syndicat de la Magistrature. Et celui-ci n’a pas tardé, Laurence Plisson, sa secrétaire général expliquant sur « France info »  que « la déclaration (ministérielle)- et donc de fait une modification de la législation –posait extrêmement problème » avant de préciser ( 4’29) : « Est-ce que par principe il faudrait dire : si un détenu a une fiche « S » il ne doit pas sortir ? Nous ne le pensons pas ».
Tout est dit. On le savait déjà  mais ils sont obligés de plus en plus de mettre à jour leur vrai visage.
Jean Théron, responsable Résistance Républicaine PACA