Paris n’est plus en France

Des quartiers de Paris, capitale de la France, sont devenus des zones de non-droit, des zones où l’on peut se faire agresser, voler, droguer, violer et même assassiner, et cela à la vue de tout le monde.

Des quartiers dans les arrondissements du XVIIIe, XIXe, et nord du Xe et sans omettre les banlieues en Seine-Saint-Denis, Seine-et-Marne, Essonne, etc.

Paris n’est plus en France. Sa population a peur. Elle ne sort plus dès la nuit tombée et prend des risques également dans la journée.

Vous ne pouvez plus traverser ces quartiers en voiture sans être constamment molesté par des hordes de voyous qui frappent à vos portières d’une manière souvent agressive pour réclamer quelques euros qui leur permettront de se payer la drogue qui leur est nécessaire quotidiennement.

Les dealers sont partout, les vendeurs de produits en contrebande sont partout, les voleurs sont partout, les agresseurs sont partout !

Des migrants clandestins adultes et mineurs qui encombrent le périphérique, les talus des bords de route, des centaines de cabanes, de tentes, des tonnes de détritus sur les sols et, comme si cela n’était pas suffisant, des bagarres quotidiennes, des affrontements sanglants entre eux.

La drogue, l’insalubrité, les maladies, non, nous ne sommes plus dans la région parisienne mais dans des bidonvilles africains.

Des pétitions de femmes circulent depuis des années, dénonçant le harcèlement constant dans l’espace public, l’insécurité permanente, et la seule réponse est l’immobilisme des pouvoirs publics.

Des individus se font égorger dans la rue sous les yeux des rares passants.

Des témoins s’expriment : « Ils n’ont pas peur des forces de l’ordre et pourquoi auraient-ils peur ? Notre justice fout le camp, quand ils sont arrêtés, ils se retrouvent libres au bout de quelques heures de garde à vue. »

Et pendant ce temps-là, une dizaine de femmes musulmanes, soutenues par l’association « Alliance Citoyenne », subventionnée par la ville de Grenoble pour une somme de 6 000 euros, ont forcé la porte de la piscine municipale pour aller se baigner en « burkini », estimant avoir le droit, malgré le règlement qui l’interdit formellement, de se baigner en maillots de bains couvrants.

La porte-parole de ce mouvement, une nommée Taous Hammouti, estime qu’il s’agit d’un règlement discriminatoire et menace, tout comme elle a justifié le massacre de « Charlie Hebdo » en déclarant : « N’oubliez jamais que c’est Charlie qui a dégainé le premier ». C’est-à-dire que les tueurs islamistes qui ont assassiné les journalistes de Charlie Hebdo avaient le droit de le faire, puisqu’ils avaient osé les premiers « blasphémer » sur le prophète !

N’est-ce pas là un « appel au meurtre » ? Une apologie du terrorisme ?

Et ne sont-elles pas des appels au meurtre, au racisme, au viol, les paroles d’un salaud de rappeur « qui encule la France », « qui étrangle une jeune fille blonde et blanche » et qui bénéficie de la clémence de notre justice, qui ne le condamne qu’à 5 000 euros d’amende au lieu de l’envoyer chanter en prison pour quelques années, pour le moins, et pour le mieux l’expulser de ce pays  « qu’il sodomise » !

Comment pouvons-nous accepter d’être ainsi insultés, niqués, brûlés, par ces voyous de couleur qui vomissent sur notre couleur ? Des voyous qui dégueulent sur le pays qui les a accueillis, qui les a nourris, qui leur a permis de vivre, d’exercer leur culte en toute liberté alors que les cultes différents sont massacrés dans leurs pays d’origine.

On ne peut plus fermer les yeux, se boucher les oreilles et se taire devant de tels comportements haineux, insultant, souillant.

Quand des Français acceptent d’être traités de la sorte, quand des femmes acceptent d’être insultées de la sorte, c’est que la dignité n’existe plus et qu’ils méritent de telles insultes.

Si j’avais le courage d’écrire vraiment ce que je pense, je serais très certainement condamné pour « appel au meurtre », alors que toute cette racaille qui appelle quotidiennement au meurtre n’est jamais inquiétée !

Si j’étais président de la République, chef de gouvernement, ministre, député, magistrat de ce pays qu’est devenu la France, je n’aurais aucune raison de m’en montrer fier, j’oserais même dire que j’aurais honte de disposer d’une telle autorité et de laisser faire, de me taire, de subir, à l’image des citoyens de ce pays qui se révoltent pour le prix du carburant, pour le pouvoir d’achat, pour une augmentation du “Smic” et pour un tas d’autres raisons, mais qui se taisent devant ceux qui leur font peur, devant ceux qui les insultent, devant ceux qui les dominent, devant ceux qui veulent en faire des esclaves, devant ceux qui les « enculent » !

Manuel Gomez