Passionnant débat sur Mai 68 au sein de Résistance républicaine

Cohnbendit68L’été permet parfois de découvrir des échanges passionnants et d’une qualité exceptionnelle, sur des sites amis. Ainsi, nous ne pouvons que recommander à nos lecteurs cet échange entre la présidente de Résistance Républicaine, Christine Tasin, et son responsable départemental des Pyrénées Atlantiques, qui signe Galoupix. La première a reproduit un article très touchant, publié par Riposte Laïque à l’occasion des 40 ans de mai 68, intitulé “Pourquoi je suis de gauche, pourquoi je bénis mai 68 et pourquoi je hais l’islam”. Le deuxième, dont on devine qu’il n’est pas de la même génération, a répondu à sa présidente par un autre article, prenant le total contre-pied de celui de Christine, intitulé “Pourquoi je ne suis pas de gauche, pourquoi je maudis mai 68 et pourquoi je hais l’islam”. C’est toute la richesse d’un site comme Résistance républicaine, et de notre mouvance, de publier ce genre d’échanges, et surtout de permettre à deux vrais patriotes comme Christine et Galoupix de refuser l’islamisation de notre pays, de se battre ensemble contre cela, tout en conservant des divergences sociales et sociétales fortes. C’est pourquoi je recommande vraiment à nos lecteurs de prendre un quart d’heure, et de bien lire ces deux textes.
Jeanne Bourdillon

Pourquoi je suis de gauche, pourquoi je bénis mai 68 et pourquoi je hais l’islam


Pourquoi je suis de gauche, pourquoi je bénis mai 68 et pourquoi je hais l’islam

Un ami est tombé par hasard récemment sur l’article ci-dessous que j’avais publié en 2008, pour les 40 ans de mai 1968. Je l’avais oublié mais je pense qu’il n’est pas inintéressant de le publier à nouveau, parce qu’il explique, à travers mon exemple, ce que signifie être de gauche, viscéralement, pourquoi et comment des gens de gauche, militants anti-racistes, au nom de leurs valeurs se battent contre l’islam et pourquoi l’excuse des conditions de vie n’est pas acceptable, jamais, pour excuser la délinquance, comme Laurence l’a déjà fort bien expliqué.  

1968-2008 : du saucisson-coca à Cyrano-Voltaire
J’avais treize ans en mai 68. Je me souviens de longues vacances passées à manger de la rosette accompagnée de coca-cola chez ma copine la fille du charcutier, en regardant défiler sous ses fenêtres des gens qui criaient et que je traitais de connards.
En 1968, à treize ans, on n’a pas de conscience politique, on n’a même pas le droit de réfléchir aux problèmes des grandes personnes. On suit donc, aveuglément, le discours que l’on entend à la maison.
Façon de dire : de maison, je n’en ai pas. Je viens de quitter ma chambre dans l’appartement HLM de mes grands-parents pour rejoindre ma mère qui a quitté cinq ans auparavant son statut de femme de ménage courant le cachet pour devenir la gouvernante à plein temps d’un petit bourgeois de province, veuf, qui vient enfin d’accepter que je vienne vivre avec ma mère dans sa « chambre de fonction « .
Ma mère « a fauté », elle m’a eue avec un des fils de la maison bourgeoise où elle avait été placée comme bonne à tout faire, à Paris. Mes camarades d’école la traitent de pute. Je les attends à la sortie pour leur mettre la main sur la figure et me sauver à toute vitesse, car je suis plutôt rachitique et je ne fais pas le poids.
Pendant cinq ans, j’ai vu ma mère le jeudi après-midi et le dimanche après-midi. Les autres, les bourgeois, avaient besoin d’elle pour servir à table, pour faire la vaisselle, même le soir de Noël.
En vacances, on partait avec eux dans leur maison de Bretagne et elle payait ma nourriture en travaillant pour eux, en se passant de vacances, pour que je sois « au bon air ».
Le petit-fils de la famille me chassait de la terrasse en me rappelant que je n’étais »que la fille de la bonne ».
Le fils, notable de quarante ans, m’attirait dans les coins sous prétexte de me donner une pièce ou un billet et essayait de m’embrasser. Il n’y est jamais parvenu, mais je n’ai jamais rien dit, à personne. On ne critique pas les patrons ??? Sans doute. 5 francs c’est un livre et c’est bon à prendre ? Peut-être. Je suis incapable, aujourd’hui, d’expliquer mon silence. Je crois que, comme les violées de l’époque (et encore aujourd’hui ), j’avais honte, honte d’être une fille, honte d’attirer le désir, honte à l’idée de remettre en question les équilibres sociaux en disant du mal du patron et puis, peut-être que je croyais qu’il en avait le droit ??? .
Parce que la société, en 1968, c’est ça, tout simplement. Beaucoup de puissance, des parents, des patrons, de l’institution, de la société tout entière. Et l’interdiction de remettre quoi que ce soit en question.
Donc, tout à fait logiquement, devant ces ouvriers qui font grève, je répète, perroquet docile, ce que tout le monde, dans mon entourage, dit :  » C’est une honte de contester, c’est dangereux de vouloir changer le monde ; les rouges, ces sauvages veulent prendre le pouvoir, ils vont égorger les honnêtes gens ». Le paradoxe, c’est que non seulement les employeurs de ma mère le disent, mais ma famille elle-même est tétanisée de peur et se répand en malédictions contre ceux qui amènent le désordre.  » Et s’il n’y avait plus de travail après ça ??? Et les patrons il faut bien qu’ils vivent, ils ne peuvent pas trop payer leurs ouvriers, et puis on ne peut pas demander à un patron de travailler comme un ouvrier. » On a une conscience de classe, dans le bas peuple. Elle est profondément ancrée. Et on est des gens droits.
Je ne comprends rien à rien mais, en silence, je cultive ma haine de ces gens qui, parce qu’ils avaient de l’argent, pouvaient priver une petite fille de sa mère, pouvaient faire travailler celle-ci comme une damnée (ah! le linge sale de 4 personnes déversé dans la baignoire, chaque dimanche, par « la fille du patron » en visite hebdomadaire, pour que ma mère le lave à la main …), pour un salaire de misère qui lui permet, actuellement, de percevoir glorieusement 650 euros de minimum vieillesse…
Et, finalement, ce que mai 68 m’a apporté, je ne l’ai perçu que peu à peu, dans l’air ambiant, et ne l’ai compris que beaucoup plus tard : la disparition des préjugés, le droit de dire « non » aux parents, aux patrons et aux hommes politiques, la fin de l’emprise de l’église avec la disparition du culte de la virginité, la révolution sexuelle, la fin des tabous : notamment la disparition de l’injure suprême « bâtarde » et une révolte absolue à l’égard des hommes, des religions et des civilisations qui oppriment les femmes, qui les empêchent de naître au monde. C’est ce qui explique mon engagement laïque et républicain actuel.
La suite, c’est le hasard, la découverte de Brel et Brassens. Un traumatisme. Une révélation. Je rencontrais des gens qui osaient dire, qui osaient chanter publiquement ce que je ressentais sans pouvoir même me le formuler clairement : « Chez ces gens-là »; « La mauvaise réputation » … Et puis une année de philosophie qui me fait naître à nouveau, avec un professeur extraordinaire. Descartes. Freud. Marx. Je découvre la pensée. Je découvre des explications du monde qui viennent conforter ce que la littérature que je dévore (la seule façon de survivre quand on hait son enfance) m’a fait pressentir : le monde est d’un richesse inouïe et il faut toujours chercher à le comprendre, à le remettre en cause pour se sentir heureux.
Je ne changerai jamais d’avis. Mariée à 18 ans, mère à 19, je m’obstine à suivre mes études de lettres classiques qui me donnent le monde… et le bonheur. Je commence à enseigner, un 2° , puis un 3° enfant … puis un divorce. Pas le temps de s’intéresser au monde, pas le temps de s’intéresser à la politique. Je suis de gauche, viscéralement, parce que mon enfance. Parce que ma révolte. Parce que mes lectures. Alors je crois au parti socialiste, j’admire Mitterrand, sa culture, sa faconde, sa science de l’argumentation, un tel homme doit forcément avoir raison. Je vote même oui à Maastricht. Sans comprendre vraiment.
Et puis, j’ai grandi, j’ai divorcé, j’ai rencontré des intellectuels engagés, j’ai pris des distances avec ma mère, j’ai continué à lire et j’ai accouché de ce que je suis actuellement. Quelqu’un qui, un beau jour, et tardivement, en a eu assez de râler vainement à côté de sa radio et qui s’est dit que seul l’engagement politique pouvait changer les choses. Je suis entrée en 94 au Parti Socialiste, je l’ai quitté en 99 ou 2000, folle de rage devant les trahisons de Jospin et les réformes d’Allègre.
Hélas, en effet, mai 68 ne s’est pas arrêté au changement d’état d’esprit. Mai 68 a cru qu’il fallait changer le système éducatif pour donner plus de chances aux élèves des classes populaires. Le résultat actuel est sidérant : la plupart des élèves détestent l’école ou s’y ennuient, l’ascenseur social ne fonctionne plus.
Parce que, figurez-vous qu’en 68, il fonctionnait très bien … si l’on faisait les efforts nécessaires ! Il n’y avait pas de livres chez moi, pas de musique, personne capable de m’aider à faire mes devoirs et pourtant je me suis retrouvée en 6° classique, la filière d’excellence (où l’on faisait du latin), parce que j’étais « bonne en français », simplement. Les autres, plus scientifiques, étaient dans la « moderne » et le reste, en « transition » attendaient d’avoir 14 ans pour commencer à travailler.
On a tout écrit là-dessus, la ségrégation, le pourrissoir, la reproduction à l’infini … Vous croyez qu’on fait mieux en obligeant ceux qui veulent profiter de l’école à cohabiter avec ceux qui la vomissent et l’empêchent de fonctionner ??? Là-dessus les pédagos fous, les parents fous, les enseignants fous se sont mis à vomir des théories fumeuses, à considérer que l’enfant (et non le savoir) doit être au centre du système éducatif, que tout se vaut, que le but de l’école c’est de faire plaisir aux enfants, que les professeurs qui veulent qu’on les écoute et qu’on travaille sont des sadiques et des psycho-rigides.
Halte-là. Et halte-là aussi avec le discours de l’extrême gauche comme du Parti Socialiste, proche des mouvements pédagogiques et des courants libertaires qui nous mènent à notre fin. C’est, paradoxalement, parce que j’adore mon métier, parce que je considère que l’école détient la clé du bonheur de l’homme et de la construction de la société, parce que je crois que rien ne peut se faire si, comme les anciens Romains et Grecs, on ne met pas nos énergies au service du bien commun, en refusant les intérêts individuels et les communautarismes que je suis devenue républicaine et que je milite à présent au Mouvement Républicain et Citoyen.
Mais, surtout, c’est parce que les livres m’ont faite, parce que les livres m’ont enseigné la révolte et le pouvoir incomparable des mots, notamment le Cyrano de Bergerac d’E. Rostand, lu à quinze ans, qui m’a été une révélation, que, comme lui, je refuse les empêcheurs de penser en rond, que je me veux et me voudrai, jusqu’au bout, un esprit libre, qui échappe aux chapelles, aux dogmes, aux statut sociaux et aux catégories. C’est pour cela que, quoi qu’en pensent les pisse-froid et les timorés, je continuerai de me livrer au plaisir d’écrire, sur mon blog ou à « Riposte », pour communiquer sans hypocrisie ni langue de bois sur le monde, pour dialoguer avec d’autres esprits libres ; pour peser (au moins essayer), à mon infime niveau, sur le cours des choses et, peut-être, aussi, pour rendre au monde ce que mon éducation, mon itinéraire, mes rencontres m’ont apporté : une façon de pensée, une façon d’être, une croyance en l’homme. Celui des Lumières.
Christine Tasin
http://ripostelaique.com/1968-2008-du-saucisson-coca-a.html

Pourquoi je ne suis pas de gauche, pourquoi je maudis mai 68 et pourquoi je hais l’islam


Pourquoi je ne suis pas de gauche, pourquoi je maudis mai 68 et pourquoi je hais l’islam

Concernant l’expérience de vie de quelqu’un, et surtout de son enfance, je ne juge pas, je ne condamne pas, je cherche à comprendre. L’enfant traumatisé fait souvent de nous l’adulte distordu que nous sommes aujourd’hui. Sauf psychothérapie pour se libérer des émotions et des souffrances vécues lors de notre enfance. A cause des interdits des adultes de ressentir des émotions, de la colère, de la rage, de la révolte par exemple. Aujourd’hui en 2015 c’est la gauche, les socialistes, le PS, les dictateurs de la pensée unique, les commissaires politiques, les curés de gauche, qui sont les censeurs et castrateurs des émotions de colère et de révolte. Bref vous devez être des illuminés de l’amour universel de gauche pour les autres, jusqu’à la haine de soi, jusqu’au total irrespect de vous-même. La France, le pays des droits de l’autre.
France pays des droit de  l'autre
Cela conduit au pire, au suicide d’un individu, au suicide d’une nation. On y est aujourd’hui en 2015, au suicide du peuple français et de sa nation la France.
CF le livre d’Eric Zemmour :
LE_SUICIDE_FRANC AIS_COUV-NEW_ZEMMOUR
Le texte de Christine me donne un peu à comprendre d’une France que je n’ai absolument pas connue, et donc que je ne comprends pas. L’énorme fossé générationnel qu’il y a entre mes parents né avant soixante-huit et moi après.
Eux la France d’avant, moi la France d’après.
Je n’ai jamais connu une France forte, stable, autoritaire, rigide, avec un système éducatif qui fonctionne, une police qui fait respecter l’ordre et la tranquillité dans les rues contre la vermine et la racaille. Dans la France d’avant on appelait ça les voyous. La France d’avant c’était aussi l’usage d’autres mots. Une autre réalité, un autre pays. Je ne sais pas ce que c’était. Je n’ai pas connu la lute des classes, j’ai toujours trouvé cela ringard et caricatural. Quelque chose qui paraît aussi vieux et dépassé que la terreur de la révolution française. Je ne me suis jamais senti enfermé dans une classe sociale, devant haïr les prolos ou les bourgeois, les riches ou les pauvres. Je n’ai jamais compris la haine caricaturale de certains qui traitent les autres de sales prolos ou de sale bourges. Je trouve cela complètement débile et d’un autre monde. Par contre j’ai de la haine contre les bobos gauchistes = les bourgeois bohème de gauche, les soixante-huitard ce sont eux. Je méprise leurs manières, leurs valeurs sociétales et je vais expliquer pourquoi. Ce sont eux les responsables de l’élection d’Hollande.

Moi, l’enfant d’après soixante-huit, je n’ai connu qu’une France déstructurante, sans repères et sans valeurs. Une France dont les adultes, mes profs étaient des athées extrémistes, hargneux remplis de haine et de colère contre les curés, les catholiques, les bourges, les patrons, les riches, les flics, les racistes, la société… Des vieux cons de profs que je n’identifiais pas encore comme étant des gauchistes. Des vieux qui me parlaient d’une France qui n’existe pas. Ma France à moi enfant, c’était l’anarchie d’une banlieue parisienne, le désordre, la violence, se battre ou courir dans la rue à la sortie de l’école. Des adultes absents qui s’en fichent, laissent faire, ou interdisent de parler car c’est « raciste ». Les flics que l’on n’appelle plus car ils répondent, « on ne peut rien y faire ».

Je sors de l’école. Je marche dans la rue, direction ma résidence, que les rues sont laides et crasseuses… Je baisse la tête, je regarde les caniveaux. C’est sale, c’est moche, ca pue, c’est Paris. Le danger est partout au coin des rues. Des petits groupes de racailles nous font des guets-apens pour nous tabasser par surprise.
Mon école primaire avec ses barreaux aux fenêtres, ça ressemble à une taule pour enfants. Je m’y sens enfermé du matin au soir, je m’ennuie, mes camarades sont comme des animaux en cage. La récréation est une zone de guerre. Des bêtes sauvages. Je vous laisse imaginer le pire, avec bien sûr aucun adulte pour intervenir. 17 heures, enfin la libération, la fin du calvaire d’une journée interminable. On sort du goulag pour enfant, enfin. Une fois arrivé dans ma résidence (de petits bourgeois comme diraient les rouges) je retrouve mes amis pour jouer et passer de bons moments dans les jardins et profiter du soleil de l’été. Les grands font des chasses à l’homme dans les caves. Il y a souvent des bastons dans les gigantesques sous-sols des parkings de notre résidence. Les racailles du HLM d’à côté viennent régulièrement voler, agresser et vandaliser. Parfois on court dans les caves avec les grands pour jouer à se faire peur avec eux. Je rentre dans mon appartement, mes parents se disputent. Ils sont verbalement violents, ils crient tout le temps. Ils me font peur. Puis un jour le drame final arrive, le divorce. Paradoxe traumatique, c’est aussi une libération, ma mère m’emporte avec elle pour retourner aller vivre en province, quitter mon père, quitter cette saleté de banlieue parisienne grisâtre.

La France faible, antiraciste, laxiste, bordélique, anarchique, molle, remplie de racailles violentes et un système éducatif incompétent. Voila ma France. Je n’ai pas eu l’enfance des soixante-huitards, je n’ai pas vécu dans la même France, je n’ai pas vécu dans le même pays. La génération d’avant soixante-huit ne peut pas comprendre celle d’après. Ma génération demande de l’ordre, des règles, des interdits, de la justice, de la morale, des valeurs, de la spiritualité, de la force, de la virilité, des hommes, des pères, des couillus, une famille stable, un chef de la nation.

Toutes ces valeurs ont été diabolisées par la gauche comme étant des valeurs fascistes. Alors si c’est cela le fascisme, je signe. Au diable la lutte des classes, ce que je veux c’est une France qui retrouve sa culture, ses valeurs et son identité. S’engueuler entre Français c’était le bon temps. Maintenant c’est la guerre de rue entre peuples étrangers.

Moi, l’enfant d’après soixante-huit, quant je regarde le film Les tontons flingueurs, je suis en extase. Je me dis que ça devait être un pays magnifique la France d’avant.

Des bonnes manières, des bonnes valeurs, une bonne éducation, et des grands bandits qui avaient plus de classe et de codes de valeurs que n’importe quel abruti de Français d’aujourd’hui. Ma France des tontons flingueurs elle me fait rêver. Je l’aime. La France d’aujourd’hui c’est de la merde. Pour nous la France d’avant c’était notre paradis perdu, la France de nos grands parents, classe et digne. La fierté d’être Français.
tontons flingueur
Un commentateur (juju) à demandé à Christine si ce n’était pas la gauche de mai 68 qui était responsable de l’islamisation.  Il suffit de regarder Daniel Cohn-Bendit ou d’écouter ce qu’il dit aujourd’hui. Il est le symbole de la révolution culturelle de mai 68.
La réponse est donc évidente pour moi. La gauche soixante-huitarde est coupable et responsable de l’islamisation. Par le marxisme culturel./ Hein quoi ? C’est quoi ce truc ? Qu’est ce que le marxisme culturel ? Dit autrement c’est le gauchisme sociétal. Une idéologie révolutionnaire d’extrême gauche. Une idéologie anti-société-traditionnelle, la gauche dite « antifasciste », bref les rouges antichrétiens.
En réalité c’est une gauche fasciste car elle agit non démocratiquement. Le marxisme culturel est une pensée totalitaire incompatible avec la démocratie. Jamais le peuple français n’a été consulté lors d’élections pour un changement de civilisation. En 1982 les socialistes ont abandonné le socialisme économique, laissant l’économie à la droite, au libéralisme, pour se recentrer sur le sociétal. « Touche pas à mon pote« , SOS racisme, la France des minorités, des homos, des lesbiennes, des féministes, des Arabes, des noirs, etc. L’idéologie mère de tout cela, c’est le marxisme culturel.

Nous avons le pire de la droite : l’économie libérale mondialiste.  
Nous avons le pire de la gauche : le sociétal et le socialisme internationaliste.
Ce mariage de l’extrême droite libérale et de l’extrême gauche internationaliste est le fruit pourri des années 68. Il est arrivé à maturité dans les années 80, prêt à pourrir la France de toute sa gangrène idéologique. Mitterrand en 1981, Hollande en 2012.

Je vais expliquer la pensée du marxisme culturel. C’est une révolution culturelle permanente contre l’ordre ancien, la France chrétienne et gaulliste.
Marxisme culturel1Marxisme culturel2.
Remplacer l’ordre par le désordre.
Remplacer le beau par le laid.
Remplacer l’ouvrier par l’immigré.
Remplacer la victime par le coupable.
Remplacer la prison par la liberté.
Remplacer la liberté d’expression par la censure.
Remplacer le policier de quartier par la racaille.
Remplacer la défense par la soumission.
Remplacer le mariage par le divorce.
Remplacer les races par le métissage.
Remplacer le blanc par l’Arabe ou le noir.
Remplacer la laïcité par l’halal et la charia.
Remplacer le christianisme par l’islam.
Remplacer les églises par les mosquées.
Remplacer la civilisation par la barbarie.
Remplacer le professeur par l’élève.
Remplacer la haine par l’amour.
Remplacer le paradis par la terre.
Remplacer le père par la mère.
Remplacer le divin par le néant.
Remplacer la liberté par l’interdit.
Remplacer la guerre par l’islam, « religion de paix »…
Remplacer le masculin par le féminin.
Remplacer les patriotes par des apatrides.
Si vous résistez à ce changement de société, à cette révolution culturelle, alors c’est que vous êtes un : « fasciste » ! Voilà les arguments des Bolchéviques reconvertis au marxisme culturel totalitaire. Des méthodes staliniennes appliquées au sociétal. Personne n’a demandé aux Français de manière démocratique s’ils voulaient changer de civilisation. Les mafieux politicards aux manettes, ce sont eux les fascistes, ils sont antidémocrates.

Le marxisme culturel fonctionne comme l’antifascisme dans une société sans fascistes. Il agit comme un système immunitaire ennemi qui détruirait les cellules saines pour ne laisser survivre que les cellules cancéreuses.

La France n’est plus la France. La France islamisée n’est que la conséquence du marxisme culturel, de l’éradication des valeurs et de l’identité culturelle de la France. La France des églises, la France des chrétiens, la France des blancs, la France du peuple majoritaire a été remplacée… Le marxisme culturel c’est la dictature des minorités contre la majorité. La démocratie c’est le pouvoir du plus grand nombre. C’est pourquoi la France d’aujourd’hui est gouvernée par un régime antidémocrate, et antirépublicain. Le fascisme ce n’est pas la démocratie, le communisme ce n’est pas la démocratie, le gouvernement PS ce n’est pas la démocratie. Le PS est un régime totalitaire.
Le marxisme culturel est le cœur de la matrice. Le code source ennemi.
Le noyau fondamental qu’il faut éliminer, éradiquer, le renvoyer dans son néant d’athée bolchévique. Il semblerait que le marxisme culturel ait été inventé par l’URSS dans le but de faire exploser la civilisation occidentale de l’intérieur. Détruire par une révolution culturelle les USA et l’Europe. C’est pratiquement fait. Paradoxe, c’est aujourd’hui la Russie de Poutine qui défend le plus les valeurs traditionnelles chrétiennes. Après avoir connu la terreur du communisme qui détruisait les églises et tuait les religieux chrétiens orthodoxes.
Galoupix, responsable Résistance républicaine Pyrénées Atlantiques