Plus j’entends le vendu Askolovitch et plus j’aime l’honnête Zemmour.
Je ne saurais trop conseiller au premier de demander la nationalité qatarie qui devrait lui être accordée sans problème après cette période de probation chez Bein, la chaîne de sport du Qatar.
Le remplacement de population n’est sans doute pas assez rapide, les Français encore un peu trop rétifs à disparaître, certains ont donc décidé de booster l’avancée des travaux d’élimination.
Toute société civilisée condamne évidemment les cultures où est banalisé le mariage forcé, ce viol légalisé dans les pays arriérés et misogynes. La France, société civilisée parmi d’autres, est actuellement poussée à se marier de force avec un repoussant conjoint islamique qu’elle n’a pas choisi, et certains vendus aux islamistes trouvent le moyen de s’insurger contre cette fiancée qui refuse de se laisser violer. Askolovitch est de ceux-là.
Il les aime tant ces islamistes qu’il est prêt à leur vendre notre pays, un pays qui ne lui appartient pas, comme ces escrocs qui prétendent vendre la Tour Eiffel en baratinant les gogos. La bouche d’Askolovitch déclare aimer la France pendant que son pied en écrase les contours. Notre France est présentée dans son livre « comme hypocrite, raciste et oppressive » comme le résume Natacha Polony dans son article du Figaro. Jugez vous-même : « Le racisme d’antan exhalait la beauferie et l’arrogance : c’était l’homme blanc matraquant l’inférieur, l’indigène ou le “gris”. L’islamophobie n’est pas arrogante mais apeurée, une idéologie pour vaincus d’avance ; (…) elle sent la sueur aigre, mais parfois autre chose aussi : l’espoir déçu d’une vie meilleure où tous se ressembleraient ».
L’homme blanc matraquant l’inférieur, l’indigène ou le gris… Et les « gris » venant jusque sur les côtes occidentales durant plus de mille ans pour kidnapper leur marchandise blanche et chrétienne vendue ensuite sur les marchés aux esclaves convertis de force sous peine d’égorgement, ce n’était pas de l’arrogance ? Ces esclaves noirs, appelés par leurs tortionnaires « animaux », dont aucun n’a pu avoir de descendance puisque TOUS ont été tués par les ancêtres des amis de M. Askolovitch, ce n’était pas de l’arrogance non plus ? Certains des amis de ce monsieur, descendants de ces esclavagistes, continuent d’ailleurs sur les réseaux sociaux d’user des mêmes termes…
Quant à parler d’islamophobie apeurée, pour un journaliste il est curieux d’user d’un tel pléonasme.
Ce porte-flingue du mondialisme destructeur de civilisations aime tellement toute main qui l’engraisse qu’il est bien peu regardant quant à celui à qui elle appartient. En d’autres temps, de quelles mains aurait-il accepté son obole ?
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Dans les Grandes Gueules sa voix semble dégueuler ce « vieux pays » mais s’enflamme quand il parle de ces « jolies femmes » qui ne rêvent que de porter le foulard. Cet ennemi de la femme n’a aucune honte à déclarer que ce qui enfermerait ces femmes ce n’est pas le machisme de leurs hommes et de leur dogme patriarcal, mais ce serait la coupable République laïque ! D’ailleurs il avoue que ce mot ne veut rien dire pour lui. Apparemment le mot charia non plus.
Il parle à toute vitesse pour qu’on n’aie pas le temps de se rendre compte de ses mensonges éhontés, comme lorsqu’il affirme que les piscines non mixtes n’existent pas, alors même que Martine Aubry avait avoué cette pratique indigne et sexiste, comme lorsqu’il déclare qu’il n’y a pas de revendications communautaires alors que de nombreux sites prouvent quotidiennement le contraire, entre les demandes de terrain pour de nouvelles mosquées, le refus en entreprise de se plier aux ordres de son supérieur lorsque celui-ci est une femme, l’insistance de mères de famille voilées à accompagner les sorties scolaires, les demandes dans certaines entreprises et universités de disposer de locaux dédiés à la pratique de leur culte, le halal imposé dans les prisons et dans l’armée, etc. Toutes ces demandes perpétuelles et autres pleurnicheries qui nous étaient inconnues il y a encore quelques années. Il n’y a qu’à regarder la vidéo du maire d’Argenteuil en juin dernier où on le voyait agressé pour ne pas avoir cédé à toutes les doléances des mahométans. « Grâce à nous vous êtes en responsabilité M. le maire » disaient-ils, avouant dans cette seule phrase à quel point ils tiennent nos élites.
Le représentant du Qatar explique que le problème avec l’islam ne vient que parce que ça fait 25 ans qu’on dit que l’islam pose problème. En clair c’est les méchantes langues qui montrent l’islam qui sont coupables, pas l’islam, pas la charia avec son sexisme, avec sa xénophobie, avec son antisémitisme, avec son homophobie, cet islam qui encourage le vol, le butin, la mort, le mensonge, l’esclavagisme, le viol. C’est écrit noir sur blanc dans le coran, de plus en plus de gens en suivent les préceptes, mais Askolovitch feint d’ignorer ces abominations pour dénoncer plutôt ceux qui s’en affolent, trop accrochés qu’ils seraient à « leurs totems ».
Pour lui, seuls les ignorants rejetteraient les fondamentalistes, les habitants des « quartiers » islamisés (tiens, il y en a donc ?) seraient, eux, pleinement satisfaits de les côtoyer. C’est un mensonge. Soit ces quartiers sont à 100% islamisés, soit les quelques « de souche » qui y survivent contraints et forcés sont en souffrance d’être condamnés aux nuisances, une épée de Damoclès en permanence sur la tête, ne rêvant que de fuir comme l’ont fait d’autres avant eux. Car il y avait bien des habitants gaulois dans ces quartiers avant, où sont-ils passés ?
« On peut être à la fois salafi et traminot à la RTM de Marseille »… Pas de quoi être rassuré… On notera l’usage du terme arabe « salafi » quand les Français disent « salafistes », tout un symbole de dhimmitude dans ce seul mot !
Il se plaint qu’on « ne laisse pas les gens être ce qu’ils sont », une phrase qui me fait penser à une tirade du film OSS 117 le Caire Nid d’espions : « c’est marrant que c’est toujours les nazis qui ont le mauvais rôle… on peut avoir une deuxième chance ? ». Si ces nazis revenaient, Asko se plaindrait-il aussi qu’on ne les laisse pas « être ce qu’ils sont » ? Le danger, la charia, doivent-il avoir droit de cité ? Peut-on accepter cette idéologie qui n’a rien à envier au nazisme (on se souvient de la complicité entre le mufti et Hitler) être ce qu’elle est ?
Fourbe, il prétend encore que « contrairement à ce qu’on dit, il n’y a pas de tentative de l’islam de transformer la société française » alors l’islam contient en lui-même le procédé de destruction des civilisations qui ont – et ont eu – la malchance de croiser son chemin, puisque c’est Allah en personne qui ordonne que jusqu’au dernier les êtres humains se convertissent ou meurent.
Si l’on en croit ses propos, le musulman engagé du coin de la rue ne serait pas une menace, mais s’il est engagé ce musulman c’est qu’il va à la mosquée. Or, Erdogan ne disait-il pas « nos mosquées sont nos casernes, leurs coupoles nos boucliers, les minarets nos baïonnettes » ? Insistant, il reproche à Natacha Polony de ne pas être d’accord avec le fait que « les musulmans font partie de nous ». Qui est ce nous ? La France, les Français, l’Histoire ? Rien de musulman ne fait partie de moi parce que la charia ne peut pas faire partie de moi. Je ne suis pas hostile aux homosexuels, ni aux juifs, ni aux apostats, ni à l’émancipation féminine, je condamne la prise de butin exigé par Allah et la familiarité de sa pratique dans mon pays malgré les dénégations d’Askolovitch à faire le lien avec les agressions des racailles. Je condamne encore la violence sanguinaire du coran, ne considère pas les noirs comme « des animaux », je n’ai donc rien de musulman. Et si un jour, un seul jour, je devais détenir ne serait-ce qu’une seule de ces tares coraniques, je demanderais qu’on me tue afin de ne pas contaminer mes semblables.
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Natacha Polony constate l’absence dans le livre d’Askolovitch du problème posé par les « vrais » musulmans, à savoir leur refus de séparer espace public et espace privé, c’est-à-dire précisément ce qui fait le fondement de notre loi républicaine sur la laïcité, c’est dire l’incompatibilité de nos deux mondes. Elle y note encore ce cousinage indélébile entre juifs et musulmans qui se haïssent autant qu’ils s’aiment, en frères de sang qui se déchireraient l’amour d’un même Père : « je retrouve chez les musulmans des traits de famille : quelque chose de juif » déclare amoureusement Askolovitch.
Afin de soutenir le traître, il fallait bien un prêtre dhimmi, c’est le Père Gourrier qui s’y est collé, approuvant sans retenue les propos d’Asko, usant même étonnamment du féminin pour parler d’islam, ce qui est tout de même un comble. Selon lui nous devrions soigner « notre maladie d’avoir peur de la différence ». C’est devenu une vraie rengaine que de nous déclarer malades. Que ne va-t-il, ce prêtre, porter la bonne parole à ses amis musulmans afin de leur diagnostiquer la même maladie ? Car c’est tout de même chez eux que les hommes se vêtent comme il y a quatorze siècles par peur de la différence d’époque, c’est chez eux que des femmes s’emmurent par peur de la différence de sexe, c’est chez eux qu’on égorge au couteau par peur de la différence de vie, de croyances…
« L’islamophobie n’est pas arrogante mais apeurée, une idéologie pour vaincus d’avance ; (…) elle sent la sueur aigre, mais parfois autre chose aussi: l’espoir déçu d’une vie meilleure où tous se ressembleraient ».
Cette vie meilleure où tous se ressembleraient n’est certainement pas un espoir déçu mais la résultante de milliers d’années d’existence de la France avant que la charia islamique ne vienne répandre dans nos sillons le sang des nôtres égorgés. Ce n’est pas la sueur aigre de nos peurs qu’Askolovitch sent mais celle des sadiques sortis des casernes décrites par Erdogan.
Caroline Alamachère