Pendant que l’islam avance, les idiots utiles lui cirent les pompes

Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux (sourate Al-Qalam 68) :
« 1 – Nun. Par la plume et ce qu’ils écrivent ! » « 2 -Tu (Muhammad) n’es pas, par la grâce de ton Seigneur, un possédé. » « 3 – Et il y aura pour toi certes, une récompense jamais interrompue. » « 4 – Et tu es certes, d’une moralité éminente. » « 5 -Tu verras et ils verront », « 6 – qui d’entre vous a perdu la raison ». « 7 – C’est ton Seigneur qui connaît mieux ceux qui s’égarent de Son chemin, et Il connaît mieux ceux qui suivent la bonne voie. » « 8 – N’obéis pas à ceux qui crient au mensonge, », « 9 – Ils aimeraient bien que tu transiges avec eux afin qu’ils transigent avec toi ». « 10 – Et n’obéis à aucun grand jureur, méprisable », « 11 – grand diffamateur, grand colporteur de médisance, » « 12 – grand empêcheur du bien, transgresseur, grand pécheur, » « 13 – au cœur dur, et en plus de cela bâtard ».

Dans la sourate 68 ici-dessus, verset 13, Allah insulte les mécréants en les traitant de bâtards.
Allah est-il réellement un dieu miséricordieux, lui qui qualifie ses créés de bâtards ?
Allah l’Omnipotent, se permet le luxe de traiter ses ennemis de pervers, de menteurs, de fils de pute, d’ânes, de cochons, de singes, de chiens et de toutes les obscénités de l’époque (lire le verset 3 de la sourate 108, verset 13 de la sourate 2, verset 19 de la sourate 31, verset 84 de la sourate 9, verset 11 de la sourate 73…)
Et le pape François, l’islamophile, celui qui veut ramener toute la misère du monde en Europe et de préférence qu’elle soit islamique, que pense-t-il d’un dieu qui l’assimile à un chien ?
Allah, n’est-il pas un dieu pleutre, obscène, coléreux et surtout revanchard ?
Le roi est nu, car pour les avertis, le levain de la taqîya islamique ne prend plus. Seuls les crédules européens, inventeurs de la marque déposée “pas d’amalgame” sont dans le déni. Ils pensent qu’avec leur humanitarisme à deux balles, ils vont infléchir la position méprisante de l’islam à leur égard. En léchant les babouches des mahométans, ils croient s’attirer leur sympathie. Eux les rationalistes, héritiers des siècles des Lumières, sont tombés dans le piège d’une baliverne vieille de treize siècles, tels des novices en la matière. Ils ne savent plus d’où ils viennent ni où ils vont, car ils sont en mort cérébrale avancée. Alors ne sont-ils pas devenus des eunuques qui se détestent au point d’appeler à être colonisés par l’islam, convaincus d’avoir fait le bon choix pour leur progéniture ? Quelle est-elle cette maladie contagieuse dont ils souffrent et qu’ils ne veulent pas soigner ?

Ne s’appelle-t-elle pas la dihmmitude ou l’humiliation ? À eux de choisir la maladie qui leur convient le mieux.
En vérité, preuves à l’appui, l’islam est une idéologie raciste et surtout inhumaine dont ils ignorent le contenu mais qu’ils idéalisent au plus profond de leur être malmené par les affres du matérialisme.
Que les musulmans affirment que leur croyance (foi) est fondée sur la tolérance afin de dribbler les idiots utiles, c’est de bonne guerre, mais ce qui est attristant c’est l’attitude des Occidentaux, surtout ceux qui se présentent comme les sachants de la chose publique et qui se transforment par la grâce d’Allah en serpillière de l’islam, cela devient pathétique. C’est une situation méprisante et affligeante dans laquelle ils se sont mis, par lâcheté !

Auront-ils l’honnêteté intellectuelle d’affirmer qu’ils n’ont jamais, ne serait-ce qu’un jour, ouvert le coran pour découvrir le vrai visage de l’islam ? Imbus de leur supériorité, jamais ils n’avoueront leur ignorance, car ils croient qu’ils sont nés pour diriger les castrés, ces oubliés de l’histoire.
Comme ils sont les spécialistes de l’embrouille et du mensonge, d’ailleurs comme l’islam, ils n’oseront jamais déclarer publiquement leur inculture. En vérité, ils sont comme cul et chemise avec la religion de paix et d’amour.
Qui s’assemble se ressemble, dit-on.
Quelle différence existe t il entre la Nupes et l’islam ? La dhimmitude !

Ces dhimmis avant l’heure de la soumission, savent-ils au moins, qu’Allah les compare à des chiens ?
Il est écrit dans la sourate 7, versets 175 et 176 :
« Et raconte-leur l’histoire de celui à qui Nous avions donné Nos signes et qui s’en écarta. Le Diable, donc, l’entraîna dans sa suite et il devint ainsi du nombre des égarés (corrompus) ».
« Et si Nous avions voulu, Nous l’aurions élevé par ces mêmes enseignements, mais il s’inclina vers la terre et suivit sa propre passion. Il est semblable à un chien qui halète si tu l’attaques, et qui halète aussi si tu le laisses. Tel est l’exemple des gens qui traitent de mensonges Nos signes. Eh bien, raconte le récit. Peut-être réfléchiront-ils ! »
Selon Sahih Al-Bukhari, Le Messager d’Allah a dit :
“Celui qui possède un chien verra diminuer chaque jour la récompense de ses bonnes actions d’un qirat (carat), sauf si ce chien est destiné pour la garde des champs ou des troupeaux”. Dans une autre version, Abou Horaïra (RadhiAllahu’anhu), aurait dit: “sauf s’il s’agit d’un chien de berger, de garde (des champs) ou d’un chien de chasse”. (Sahih al-Bukhari 2322)
Omar, le deuxième calife, “bien guidé” a rapporté : « J’ai entendu le Messager d’Allah (Salla Allah alayhi wa salam) dire: Quiconque acquiert un chien autre que celui destiné à la chasse ou à la garde d’un troupeau perdra chaque jour un quirat (carat) ou deux de sa récompense (rapporté par al-Boukhari, 5059 et par Muslim, 2941).
D’après le fiqh, l’impureté canine est la pire souillure animale. Elle ne disparaît qu’au terme de sept lavages dont l’un avec l’utilisation du sable. Même le porc, déclaré interdit de consommation par le Coran parce qu’impur, n’atteint pas le degré de saleté du chien. Voilà, messieurs-dames, ce que l’islam vous attribue comme qualificatif pour votre bienveillance à son égard, vous les idiots utiles…

Pire encore, Allah, l’Omniscient, affirme que les Juifs sont les descendants de singes et de porcs.
Il est écrit dans la sourate 2 verset 65 : « Vous avez certainement connu ceux des vôtres qui transgressèrent le Sabbat. Et bien Nous leur dîmes : « Soyez des singes abjects ».
Dans la sourate 5 verset 60, il est mentionné : « Dis : « Puis-je vous informer de ce qu’il y a de pire, en fait de rétribution auprès d’Allah ? Celui qu’Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont il a fait des singes, des porcs, et de même, celui qui a adoré le Tagüt, ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit ».

Et dans la sourate 7 verset 166, il est écrit aussi : « puis, lorsqu’ils refusèrent par orgueil d’abandonner ce qui leur avait été interdit, Nous leur dîmes : « Soyez des singes abjects ».

Pour l’islam, Allah a transformé les juifs en singes et en porcs qui sont les animaux les plus vils que la terre porte, parce qu’ils sont des pervers, des semeurs de trouble et de sédition, et ils seront punis ici-bas et dans l’au-delà. Jusqu’à la fin des temps, ils seront maudits par Allah et Mahomet. Et le musulman est contrait de suivre pas à pas le beau modèle de Médine, sinon son dernier refuge sera l’Enfer avec les perdants, c’est à dire aux côtés des Juifs, des chrétiens et des mécréants.

Des centaines de versets coraniques demandent explicitement aux musulmans de se méfier des Juifs mais aussi des chrétiens, de les combattre et de leur couper les têtes (voir aussi la sourate 59, l’exode, versets 2, 3, 4,11,12,13, 14,15, 16, 17)
Dans la sourate 33, versets 57, 60, et 61, il est écrit :
« Ceux qui offensent Allah et Son messager, Allah les maudit ici-bas, comme dans l’au-delà et leur prépare un châtiment avilissant ».
« Certes,  les hypocrites (les juifs), ceux qui ont la maladie du cœur, et les alarmistes (les semeurs de troubles),  n’y resteront que peu de temps à ton voisinage ».
« Ce sont des maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués ».

Au moins, l’islam n’est pas ambigu, il est clair comme une eau de roche.
Seuls les idiots utiles cirent de plus belle les pompes de ceux qui les insultent et qui les diffament à longueur de journée.
De nos jours, afin de dribbler les dhimmis, les oulémas prétendent qu’ils ne faut pas essentialiser ces versets, parce qu’Allah les a fait descendre à une époque, celle de Médine, où les Juifs étaient en conflit avec le prophète, car ils ne voulaient pas le reconnaître comme l’apôtre d’Allah. Un faussaire, peut-on dire. Un mensonge de plus fait passer la pilule aux crédules.

Les islamologues musulmans les plus éclairés veulent abroger ces versets de la haine et de la honte, mais quand on chasse le réel, il revient au galop. Ces messieurs-dames font semblant d’oublier que cette stratégie de contournement a été utilisée maintes fois dans l’histoire, surtout quand l’islam était en position défensive ou de faiblesse.

Actuellement, l’islam est en conquête de l’Occident qui est décadent, parce qu’il est incapable d’affirmer son identité qui est jetée aux oubliettes par la cupidité des mondialistes.
Ces islamologues musulmans, surtout ceux confortablement installés à Londres ou à Paris, savent pertinemment qu’ils pissent dans le sable. Ils brassent du vent pour exister, sans plus.
L’histoire des rationalistes (moutazilites) entre le IXe et le XIIe siècle, qui furent réduits au silence par l’épée, les ont-ils jetés dans les méandres de l’histoire sanglante de l’islam pour étaler leur savoir ?
Depuis son apparition, l’islam reste une idéologie fondée sur le djihad armé qui perdurera ainsi jusqu’à la fin des temps, à moins d’un miracle qui provoquera l’effondrement total de la oumma, ce qui est fort improbable, car les mauvaises herbes repoussent toujours.

La force de l’islam réside dans sa simplicité : tu meurs pour Allah, tu vas au paradis où t’attendent les soixante-douze houris et les rivières de liqueurs, plus exquises les unes que les autres. Tu as l’embarras du choix.
Alors, quel musulman sur terre qui est soumis aux restrictions du berceau au tombeau, qui évite de penser ou de douter, refuserait-il une proposition aussi alléchante ?
Il ne faut pas charrier, les amis.
Ces messieurs-dames, ces islamologues de Paris et de Londres, ont-ils oublié le sort qui fut réservé au théologien et politicien soudanais Mahmoud Mohamed Taha (1909-1985) ?

Il fut pendu à la prison centrale de Khartoum pour apostasie en 1985, sur ordre du général Nimeiry, qui lui avait reproché d’avoir demandé d’abroger les sourates dites médinoises, au nombre de vingt-six (2, 3, 4, 5, 8, 9, 22, 24, 33, 47, 48, 49, 55, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 76, 98, 110), considérées comme violentes et intolérantes et de mettre fin à l’application de la charia. Pour ses détracteurs, il fut un séditieux, un apostat qui mettait en danger l’existence de l’islam.
Alors, de simples paroles d’un humain font-ils trembler Allah Akbar ? Où se cache sa Puissance ? Ne réside-t-elle pas dans la terreur de ses soldats terrestres ? Et pas celle de ses djinns ?
Depuis treize siècles, le chemin d’Allah reste jalonné de cadavres, et ce n’est pas au XXIe siècle où l’islam se sent pousser des ailes qu’il va s’humaniser. C’est une hérésie de croire qu’il n’est plus en mode de conquête et d’invasion, d’autant plus que son ennemi héréditaire, c’est-à-dire le christianisme, est en voie de disparition, notamment en Occident, sa terre de naissance.

Grâce au djihad de la natalité, l’islam sera dans quelques décennies majoritaire, dans les pays qui ont renoncé au combat identitaire, et c’est pour cette raison que les dhimmis y deviennent de plus en plus nombreux.
En attendant que la France ne soit une nouvelle prise de guerre pour Allah et son Émissaire, les mahométans qui y habitent ne pensent qu’au versement mensuel du RSA, des allocations familiales et de l’APL…

Hamdane Ammar