Pire que le variant Omicron : le Véran-Macron
Si Macron nous dénie aujourd’hui le statut de citoyens, il est facile d’imaginer quel sort il nous réserve s’il gagne les élections. Ce sera l’ouverture de la chasse aux non-vaccinés, dans les entreprises, la fonction publique, partout ou pourra s’exercer une pression à leur encontre. Tous les moyens seront bons. Et les Français abonnés à la piquouze ne bougeront pas !
Il est temps pour nous, les non-vaccinés, de nous organiser, de nous préparer, de créer des réseaux d’entraide. Demain les magasins nous seront interdits, la haine à notre égard s’intensifiera.
Ceux qui se soumettent à la piqûre trimestrielle, soi-disant pour la santé et pour bénéficier d’une plus grande liberté perdront et leur santé et leur liberté. Ne croyez pas, vous qui avez accepté et une et deux et trois doses, pouvoir dire non à la quatrième. Vous vous êtes engagés dans une voie d’où il sera très difficile de revenir. Non seulement vous accepterez toutes les injonctions gouvernementales mais vous ne comprendrez pas ceux qui les refusent et vous les persécuterez.
La vaccination est presque décorrélée de la réalité, elle est devenue autonome, une créature monstrueuse qui enfle indépendamment de la situation sanitaire. Pour preuve, le passe vaccinal édicte des règles pour les sportifs de Roland Garros qui n’aura lieu qu’au moi de juin ! https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/pass-vaccinal-djokovic-va-t-il-etre-finalement-prive-de-roland-garros_4919713.html
Il est fort à parier que même si le covid disparaît, les infirmières devront toujours être vaccinées pour pouvoir travailler et que celles qui ont été licenciées ou qui sont parties ne pourront pas réintégrer leur poste. Cette campagne de vaccination a muté en une sorte d’objet religieux auquel les gens adhèrent avec foi, soumission ou fatalisme. Elle se nourrit de la peur, peur de la maladie, peur d’être exclu de la société, peur du rejet, peur d’être accusé d’irresponsable, d’égoïste, peur de perdre son confort, son statut social, son travail. Il faut voir comment les gens disent : « ça y est j’ai fait la troisième », soulagés d’appartenir au camp du bien, à la majorité. Il faut les entendre se demander les uns aux autres à quelle dose ils en sont, essayant par là même de se rassurer, de dessiner les contours de cette nouvelle communauté « des gens bien comme il faut ». Même ceux qui ont rencontré des problèmes de santé à la première ou seconde piqûre y retournent. Il est très difficile de reconnaître qu’on s’est trompé. Une collègue de mon épouse s’est vu mourir le soir de la troisième, paralysée sur son lit et se faire dessus. Mais elle fera sa quatrième, si elle s’en sort et survit jusque-là. Admettre ses erreurs est ce qui demande le plus de courage. Si vous les dérangez dans ce confort tiède et paresseux où leur esprit s’est endormi, attendez-vous à une réaction violente. Vous passerez pour un extrémiste, un complotiste, certains ne vous diront plus bonjour, vous serez désigné comme bouc émissaire par la collectivité.
Une patiente atteinte d’une myocardite post-vaccinale demande une dispense pour la 3e dose, son docteur répond sèchement : faites quand même votre dose de rappel et ensuite soignez votre myocardite. Mon frère également atteint d’une myocardite depuis plusieurs mois n’arrive pas à se faire dispenser de la 3e. Un jeune de 17 ans a des douleurs cardiaques 2 semaines après la piqûre, quand l’infirmière demande au docteur s’il compte faire un signalement celui-ci répond par un doigt d’honneur. Des médecins se permettent de donner des leçons de morale aux non-vaccinés voire de les agresser.
http://echelledejacob.blogspot.com/2022/01/temoignage-dune-assistante-medicale.html
Quand les barrières morales et spirituelles s’effondrent, la raison n’a plus de guide. Elle est dévoyée et mène aux pires horreurs. Le nazisme était très rationnel, l’eugénisme l’était également. Le communisme est aussi un système de pensée tout à fait logique et cohérent, qui mène tout droit au goulag. Ce nouvel hygiénisme vaccinal qui veut sauver le monde produit une société ségrégationniste.
Déjà beaucoup ne nous voient plus comme des concitoyens voire des êtres humains. Le vocable employé par les élites fait froid dans le dos : irresponsables, bombes virales, dangers publics. J’ai porté plainte au CSA pour un bandeau sur une matinale sur C8 : « Comment se débarrasser des antivax ». Depuis pas de nouvelles. Mais les mots les plus durs sont bien ceux d’Emmanuel Macron qui nous accuse, excusez-moi du peu : « d’une immense faute morale », et de « saper la solidité d’une nation ». Dans la bouche du Président nous mettons le pays en danger, nous sommes l’ennemi public n°1. Il est suivi en cela par la majorité des députés et une grande partie des élites, journalistes, jusqu’à M. Leclerc qui y va de sa petite phrase assassine. On se demande comment une nation éduquée et possédant un niveau de culture particulièrement développé a pu adhérer au nazisme et exterminer des millions d’innocents. Nous avons la réponse…
« Le sommeil de la raison engendre des monstres » (Goya), pour ma part je dirai : le sommeil de l’esprit…
Christophe Sévérac