Quand un Français est condamné et emprisonné à l’étranger, la France intervient énergiquement pour « qu’il » soit rapatrié vers son pays, afin d’y purger sa peine.
Je considère cette décision comme tout à fait légitime, comme je considérerais comme tout à fait légitime également que les plus de 15 000 « étrangers » condamnés et incarcérés dans les prisons françaises, dont les autorités connaissent parfaitement les pays d’origine, puisque le ministère de la Justice, dans un objectif louable de transparence, nous en tient régulièrement informés, soient également « réclamés » par leurs pays d’origine « afin d’y purger leur peine ! » :
Plus de 4000 Algériens et Marocains, près de 1500 Roumains et Tunisiens et quelques centaines d’Albanais, de Congolais, de Turcs, etc.
Cela libérerait des milliers de places de prison qui nous font bien défaut pour abriter les milliers de binationaux qui ne peuvent être déchus (hélas !) de leur nationalité française.
Il n’y a aucune raison logique pour que ces plus de 15 000 étrangers soient logés, nourris, blanchis, soignés et divertis aux frais du contribuable français.
Il est bien regrettable, par ailleurs, que nous ne puissions pas « expulser » les 0,2 % d’étrangers (tout de même environ 140) condamnés et incarcérés dans nos prisons, dont les autorités ignorent la nationalité. On se demande bien ce qu’ils faisaient « chez nous » !
La population carcérale est passée de 33 000 en 1980 à 66 000 en 2009 et à plus de 72 000 aujourd’hui (plus de 100 % d’augmentation), pour une population française qui est passée de 55,34 millions en 1980 à 66,9 millions en 2016 (10 % d’augmentation).
Cherchez l’erreur…
Bien entendu, pas question ici de se pencher sur le problème des « binationaux ». Ils sont « français » donc n’en parlons pas, bien qu’ils composent une grande majorité des environs 60 000 autres prisonniers locataires de nos prisons.
En ce qui concerne les dizaines de milliers d’OQTF (Obligation de quitter le territoire français), responsables apparemment d’un pourcentage important de la progression de la délinquance, des faits divers et des crimes, je me suis déjà prononcé sur ce sujet : puisqu’il paraît « impossible » de les expulser, il me paraît tout à fait possible de les « expédier » hors de la métropole et de les « héberger » dans une île quelconque aménagée pour la circonstance ou dans les anciens bagnes rénovés.
Et toutes ces solutions économiseraient quelques milliards à nos finances, notamment en évitant la construction de 15 000 places de prison (mais seront-elles construites un jour ?) promises depuis le premier quinquennat !
Manuel Gomez
Les gauchos de plateaux qui savent mais font semblant de nier l’évidence, ces cnnrds qui vous disent, la gueule enfarinée que les prisons françaises ne sont pas remplies de criminels musulmans du maghreb ou d’ailleurs devraient se prendre à chaque fois un poing dans la gueule bien serré. Pourquoi continuer à leur donner la parole ? Est-ce voulu pour provoquer ou pour tourmenter les français ?
Dans un avion (ou plusieurs) et on les largue en pleine mer.
Une autre méthode pour faire de la place, un peu rugueuse il est vrai, et pour faire des économies puisque leurs pays d’origine n’en veulent pas : la bouffe à minima, c’est à dire un bol de riz par jour mais une banane les jours de fêtes, pas de soins médicaux, chauffage coupé, pas de visites extérieures, bien évidemment pas de tv ni de portable et plus de sortie dans la cour sauf les jours de fortes pluies ou de grand froid. A ce régime spartiate des milliers de places de prison devraient se libérer assez rapidement dans les mois qui suivent, à moins que leurs pays respectifs fassent preuve de compassion et les reprennent.
Bien ri, mais surtout lu et approuvé Gabriel !
ils faut les sortir de prison (nos femmes sont en manque) .
vite libérez les, qu’ils retournent dans les rues, la prison nous coute si cher !
petite annonce , cherche bretonnes pour taulards (violeurs et tueurs).
Les Binationaux sont aussi des étrangers, si il se sentent français ils peuvent abandonner leurs autres nationalité. J’avais eu l’occasion de trouver des statistiques sur les plurinationaux dans nos prisons, il y quelques années. ces chiffres sont devenus introuvable ! Bizarre non ? ces statistiques ne sont interdites par aucune lois !!!!
De Mémoire les premiers sont les algériens, puis les marocains, les tunisiens, Les français , uniquement français sont en minorité dans les prisons française. Une loi sur la déchéance de nationalité, ou la suppression de la double nationalité sont des urgences.
Oui, un bi-national condamné (même pour une peine légère !) devrait être déchu automatiquement de sa nationalité française !
Tout à fait d’accord