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Pour défendre un tableau pédocriminel, la ministre de la Culture nie l’évidence

À l’instar de son gourou, la Macronie ne connaît que l’arrogance, le mépris et le mensonge.

Dans un précédent article, nous nous interrogions quant au silence forcené de Rima Abdul Malik sur la présence d’un tableau pédocriminel dans l’exposition Ma pensée sérielle au Palais de Tokyo.

Rima Abdul Malik cautionnerait-t-elle la pédocriminalité ?

Après Karl Zéro et Innocence en danger, Caroline Parmentier, députée RN, a interpellé la ministre de la Culture pour que soit retirée de ce musée cette œuvre de l’artiste Miriam Cahn, représentant un enfant aux mains liées contraint à une fellation…

La ministre de la Culture est enfin venue lui répondre à l’Assemblée, usant d’un argument éhonté.

“Ce ne sont pas des enfants. Ce tableau traite de la façon dont la sexualité est utilisée comme arme de guerre, comme crime contre l’humanité.”

Rima Abdul Malik n’a pas songé à affirmer que ce tableau représentait en fait les jeux érotiques d’un géant avec une personne de très petite taille… tant à l’évidence le rapport de taille est visible et ce personnage est malingre comme certains jeunes enfants.

Ne craignant pas le ridicule, elle a osé dire : “Le combat pour la protection de l’enfance et contre toutes les formes de violence, on le mène tous collectivement au gouvernement aux côtés de ma collègue Charlotte Caubel, tous les jours.”
“Oui, l’art peut choquer, peut questionner, peut parfois susciter du malaise, voire du dégoût. L’art n’est pas consensuel. Et la liberté d’expression et de création est garantie par la loi”, a-t-elle assuré.

Et d’ajouter que ce n’est “ni à une ministre, ni à une parlementaire de qualifier une infraction pénale. C’est le rôle de la justice”.

Au nom de l’art et de la liberté de création, elle tente de justifier l’inacceptable, se défaussant sur la Justice…

Cette peinture fait l’objet d’une pétition en ligne, trop peu médiatisée et pour cause… demandant son retrait, qui a récolté à ce jour plus de 8 500 signatures.

https://www.leslignesbougent.org/petitions/retrait-des-toiles-a-caractre-pedopornographique-de-miriam-cahn-exposees-au-palais-de-tokyo-paris-tokyo-paris-11622/

Pour minimiser et dénaturer ce scandale, les quelques sites d’info l’évoquant le réduisent à un agacement stupide du RN, une sorte de caprice idéologique… omettant de parler de Karl Zéro et autres associations de protection de l’enfance ayant été les premiers à dénoncer cette ignominie et prêts à ester.

La virulence agacée de Rima Abdul Malik après l’intervention de Caroline Parmentier, comme le maintien obstiné de ce tableau au Palais de Tokyo, est une réponse édifiante, prouvant que le ministère de la Culture use des fonds des contribuables français aux fins de promotion d’ignominies qui ne se cachent même plus.

Daphné Rigobert