Lundi 20 mars 2023, le GIEC a clôturé son 6e cycle d’évaluation et publié son rapport de synthèse. Les températures à la surface du globe ont augmenté plus rapidement depuis 1970 que durant toutes les autres périodes de 50 ans sur les deux derniers millénaires. Les concentrations de CO2 en 2019 n’ont jamais été aussi élevées depuis au moins deux millions d’années.
Le GIEC établit un nouveau programme de réduction des émissions de CO2 pour respecter l’objectif de limiter le réchauffement à + 1,5°. Pour y parvenir, des baisses des émissions de 48 % d’ici à 2030, de 80 % d’ici à 2040, et de 99 % d’ici à 2050, sont nécessaires. Au rythme actuel, selon les experts du GIEC, on se dirige plutôt vers une hausse des températures d’environ 3,2°.
L’utilisation des combustibles fossiles est le facteur principal expliquant le réchauffement climatique : + 1,1 % par rapport à l’ère pré-industrielle, 79 % des émissions de CO2 liées à l’énergie, l’industrie, les transports et le bâtiment, et le reste à l’agriculture.
Les humains ne sont pas égaux pour contribuer à cette envolée des températures. Les 10 % des ménages qui ont les émissions les plus élevées contribuent de 34 à 45 % de l’ensemble des émissions de CO2. 3,3 à 3,6 milliards de personnes se trouvent dans un contexte très vulnérable au changement climatique et ont quinze fois plus de chance de mourir d’inondations, de sécheresses et de tempêtes que celles qui vivent dans des régions peu vulnérables.
La hausse des températures fait peser une menace sur la biodiversité. 14 % des espèces seront confrontées à un risque d’extinction. Les plus diluviennes sont un autre visage du réchauffement climatique, ce qui entraîne une modification du système forestier.
Pour contenir les températures autour d’une hausse de 1,5°, il faut parvenir à des émissions nettes de gaz à effets de serre nulles. Les solutions : amplifier le recours aux énergies renouvelables, et au captage et à la séquestration du carbone, mettre en place des politiques d’atténuation et d’adaptation ambitieuses. « L’adaptation peut générer de multiples avantages supplémentaires, tels que l’amélioration de la productivité agricole, l’innovation, la santé et le bien-être, la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance, et la conservation de la biodiversité ». Concrètement, ces solutions proposent :
une énergie moins carbonée. Remplacer les sources d’énergie fossiles par des sources d’énergie neutres, hydroélectricité, photovoltaïque, éolien.
Une réduction de la demande énergétique par l’alimentation (régime alimentaire moins carné), par le logement (isolation des bâtiments), par le travail (télétravail), par les transports (véhicules électriques, mobilités douces).
Un nouveau fonctionnement des zones urbaines. Créer des villes compactes et piétonnes, électrifier les transports.
Donc selon le GIEC, la transition écologique coûtera cher, mais beaucoup moins que l’inaction.
La transition écologique, c’est un moindre mal, et bien sûr, pour le bien de l’humanité.
En effet, la transition écologique va nous ruiner. Ruine économique d’abord.
Pour deux éoliennes implantées, une société privée propose au propriétaire du terrain une location de 30 000 euros par an, pendant 20 ans. Au bout de 20 ans, les éoliennes sont en fin de course, foutues. La société provisionne 50 000 euros pour démanteler les deux éoliennes. Mais pour la destruction d’une éolienne de 80 mètres, une entreprise spécialisée demande au minimum 450 000 euros, à charge du propriétaire du terrain.
Comme il s’agit d’une éolienne industrielle, l’État se retourne contre le propriétaire, puis contre la commune. À partir de X éoliennes sur le territoire d’une commune, on peut calculer le montant de la dette. À partir de X éoliennes sur le territoire national, on peut calculer la somme totale. Sans compter le prix des matériaux, sans compter les salaires des constructeurs.
Comme il n’y a pas assez de vent, on élève des éoliennes plus hautes, plus chères, mais qui ne tourneront que peu de temps. Une éolienne standard développe une puissance de 1 mégawatt, 1000 kilowatts. C’est une puissance maximale. Par comparaison, un réacteur nucléaire a une puissance standard de 1 gigawatt, 1 000 000 kilowatts. Et c’est une puissance de croisière, une puissance constante. Sous un vent de 80 km/h, l’éolienne produit son maximum, 1 mégawatt.
À 40 km/h, l’éolienne produit 8 fois moins, soit 0,125 mégawatt. À 20 km/h, l’éolienne produit 64 fois moins, soit 0,015 mégawatt. C’est une puissance négligeable, apparemment la machine tourne, mais elle ne fournit presque rien.
Or, non seulement le vent change à tout moment, mais un vent de 20 km/h est beaucoup plus fréquent qu’un vent à 80 km/h, et c’est heureux. Telle est l’imposture fondamentale des éoliennes.
En moyenne annuelle, elles ne fournissent pas plus de 20 à 25 % de leur puissance nominale. Dérisoire. Ce chiffre est connu, mais on continue à nous imposer cette chimère. Derrière, il y a beaucoup, beaucoup d’Argent, et quelques personnes prêtes à ruiner le pays pour quelques dollars de plus dans leur poche.
En France, une loi exige que l’énergie verte des éoliennes soit achetée en priorité deux fois le prix des autres énergies. L’hydraulique n’a pas ce privilège. C’est intéressant pour les investisseurs étrangers, en complicité avec le gouvernement, mais qui paie la différence ? En fait, nous finançons des investisseurs étrangers. Et cette énergie est destinée à être exportée. Les actionnaires s’en fichent totalement.
Le développement de l’éolien en France va coûter 75 milliards d’euros, financés par les Français, pour détruire nos paysages, notre tourisme, la valeur des biens immobiliers, et les parcelles cultivables.
L’exemple des voitures électriques confirme cette gabegie toujours au bénéfice des milliardaires et autres prédateurs du système. L’Àtat finance avec nos impôts des dizaines de milliers de bornes de rechargement coûteuses et laides. Recharger les batteries nécessite un énorme surcroît d’électricité, une infrastructure qui va coûter une somme gigantesque et impacter l’environnement. En France, l’électricité nécessaire pour recharger les batteries de voitures électriques sera de 98 Térawatts supplémentaires par an. C’est énorme. Pour répondre à cette demande, la France va devoir augmenter sa production d’électricité de 20 %. Limitée par son parc nucléaire vieillissant et cassé, elle ne pourra pas y arriver. Elle devra importer de l’électricité très chère, ce qui va alourdir nos factures. En 2035, nous ne pourrons plus conduire un véhicule à essence. Nous devrons acheter une voiture électrique à prix beaucoup plus élevé, plus de 40 000 euros aujourd’hui, pour une autonomie correcte.
Ruine écologique ensuite. La transition écologique va dévaster la planète. Le tout-électrique va aggraver les choses sur le plan écologique tout en étant ruineux pour les États et les consommateurs. La fabrication des batteries rejette deux fois plus de CO2, soi-disant responsable du réchauffement climatique. Fabriquer une batterie, puis un véhicule électrique génère des émissions de CO2 deux fois supérieures à la fabrication d’un véhicule thermique. Tous les experts favorables à la voiture électrique le savent et le disent.
Pour fabriquer les batteries, il faut extraire des métaux rares et polluants. Les batteries des voitures contiennent 16 kg de nickel, 15 kg de lithium, 10 kg de cobalt. Ces métaux lourds et toxiques laissent de colossales montagnes de résidus derrière elles, que les industriels rejettent à la mer ou qui polluent l’air et les sols. L’inhalation de ces poussières de nickel et de lithium expose à des risques d’intoxication aiguë, menant à des fibroses pulmonaires et des cancers du poumon, des problèmes ORL, d’innombrables problèmes de peau.
Et pour l’environnement, c’est un désastre. Le lithium pompé sous les plateaux des Andes assèche les points d’eau, ce qui est une catastrophe agricole et humaine, pour les paysans boliviens et chiliens. La majorité du cobalt du Congo est extrait par des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 dollars par jour. Et ça va empirer quand la demande augmentera. Partout dans le monde, l’exploitation des métaux rares cause des ravages humains et détruit des portions de territoires. Que répondent les écologistes ? Qui se soucie des enfants martyrisés et condamnés ?
Les importations d’électricité proviendront d’une électricité à 63 % d’origine fossile, charbon, gaz, pétrole. On s’apprête à accroître la consommation d’une électricité d’énergie polluante… pour faire rouler des véhicules « moins polluants ».
Les batteries électriques de voitures s’épuisent autant que celles des téléphones. Au bout de 5 à 8 ans, il faut la remplacer. Pour cette raison, les constructeurs automobiles garantissent actuellement les batteries jusqu’à 160 000 km seulement. Leur remplacement sera un énorme coût caché pour les acheteurs, mais représente aussi des risques de pollution non maîtrisés : bientôt, des dizaines de millions de batteries lithium se retrouveront sur le marché des déchets, sans solution de recyclage à ce jour.
Les industriels doivent alléger au maximum les véhicules électriques, parce que les batteries sont extrêmement lourdes. Ils privilégient des carrosseries en aluminium, métal dont l’extraction génère des terribles boues rouges, déchets insolubles issus d’un traitement avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l’arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane.
De même, les éoliennes laisseront dans les champs des traces indélébiles, d’énormes cubes de béton enfouis dans le sol.
Les éoliennes et le tout-électrique coûteront extrêmement cher, produiront peu d’énergie, causeront des maladies irréversibles, et ne seront pas écologiques. Mais les industriels, les financiers, les politiques véreux, élargiront leur fortune dans des proportions immenses. Telle est la finalité première de l’écologie : l’Argent, le Profit, aux dépens du peuple et de la nature.
Avec les énergies renouvelables, éoliennes, tout-électrique, il y a des imposteurs, des margoulins, et des pigeons. Les membres du GIEC sont à la fois des imposteurs et des margoulins.
Pour eux, il y a un réchauffement climatique anthropique, c’est à dire imputable à l’homme.
Et les températures augmentent depuis 1970, dans des proportions alarmantes, pour des conséquences dramatiques, sous couvert d’un amoncellement de chiffres et de courbes.
Toujours les mêmes méthodes, et la même peur lancée au public. Et les politiques, les entrepreneurs, les financiers suivent.
Bien sûr, des problèmes de pollution, menacent la planète, pollution de l’air, pollution des eaux, pollution des terres. Mais des scientifiques réputés et compétents rejettent les thèses climatiques du GIEC. Les périodes de réchauffement et de refroidissement se sont toujours succédé. Le CO2 n’a aucune responsabilité dans l’effet de serre. Pourquoi le nucléaire, désormais propre et quasi sûr, n’est-il pas développé ? Qui participe à la pollution, au pillage et au ravage de la planète, sinon d’abord les mondialistes richissimes, par des échanges et des transports dus aux délocalisations, par leurs voyages incessants autour du monde, par des moyens ruineux économiquement et écologiquement ? Qui laisse la ville de Paris dans un état lamentable ?
Le peuple a conscience des problèmes écologiques et s’efforce d’y remédier autant qu’il le peut. La transition écologique n’est pas un moindre mal, mais un mal pour un plus grand mal encore. Les dirigeants mondiaux et nationaux ne veulent pas le bien du peuple, ils veulent une planète pour eux seuls. L’écologie est avant tout une affaire de gros sous.
Jean Saunier
“L’écologie est une affaire de gros sous” TOUT EST DIT .
Il ne parait pas inutile de rappeler à l’attention de tous, le manifeste très explicite paru chez ‘l’artilleur’ : “les 10 mensonges du GIEC” (par Chr.Gérondeau), afin de raison garder face aux menaces qui nous sont régulièrement assénées.
pour un tout bagnole electrique en France il faudra mettre 70 bornes de recharge par station essence actuelle.
D’abord il est impossible de mesurer la température de la Terre ! ensuite il arrivera un jour où tout le monde se révoltera et fera péter, entre autres conneries, ces éoliennes dégueulasses chères à la théologienne frappadingue.
pourra t’on en finir une fois pour toutes avec ces oiseaux de malheur payés par les états pour débiter leur imposture climatique en vue d’un changement de civilisation but de l’opération ; le problème étant que non seulement nous n’adhérons pas à leur hystérie climatique, mais de plus nous ne voulons pas du monde qu’ils préparent, monde d’appauvri et de soumis à leurs délires
Tout cela c’est de la faute à Louis XIV, c’est évident !
Il a arrêté d’utiliser son moteur diesel, ce qui a entraîné une forte baisse de la température en France, le résultat est bien connu des français : Le froid a ensuite entraîné les mauvaises récoltes et la famine à l’époque de Louis XVI, ce qui a amené la révolution française et la chute de la monarchie.
Conclusion : Méfiez-vous de l’arrêt des moteurs diesel.
ne pas oublier que les “zexperts” du giec sont pour la plupart des fonctionnaires des gouvernements, l’idéologie prime sur les études scientifiques
Le GIEC et ses délires , ces faux rapports élaborés pour la caste mondialiste qui les paye pour imposer aux peuples de plus en plus de contraintes , d’interdictions , de taxes ,de surveillances etc… Les culpabilisants en les maintenant dans des peurs pour mieux les soumettre .
Mais nous sommes foutus avec de tels menteurs et de tous les tarés qui les suivent avec pour certains l’appât du gain!
C’est une imposture mondiale! Ils sont bien prétentieux de vouloir mater les éléments. Depuis que la terre est terre, la nature fait ce qu’elle veut selon des cycles depuis des millénaires……….