Pourquoi, bien que républicain, je hais la République

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Nulle contradiction dans les termes de ce titre, ni effet facile et néanmoins astucieux à la Oscar Wilde, maître du paradoxe. Car il y a la « république » et la « République » telles que l’entendent la plupart des pays d’Occident (et parfois d’ailleurs) dits « républicains », notamment l’Union dite européenne.

Fondamentalement, la « république » est la res publica, c’est-à-dire la « chose publique », celle qui intéresse et détermine la qualité de vie de tous les habitants de cet organisme vivant qu’est la « cité ». « Chose » a donc ici une acception noble, animée, digne de respect. Le législateur anglais, dès 1684, définit très habilement la combinaison des deux concepts : à savoir les affaires, tout ce qui participe des biens, des mœurs, des attitudes, des avantages, des vicissitudes, de la culture, de la mémoire, des relations humaines (res), tout ce qui, en fait, concerne la communauté dans son ensemble (publica). Etre en charge de la « chose publique », c’est s’efforcer d’assurer le bien et le bien-être, la prospérité, le bonheur (terme néanmoins trop polysémique et relatif pour qu’on puisse clairement l’identifier) de la communauté, tout ce qui peut contrecarrer quelque regrettable source de lamentation (« woe ») que ce soit.

L’État en capacité de mettre en œuvre la res publica peut être démocratique – sous certaines conditions – ou monarchique. Rousseau, en l’espèce particulièrement clairvoyant, ce qu’il n’est pas toujours, précise que « la monarchie elle-même est républicaine dès lors qu’elle constitue un Etat régi par des lois ». La république entendue ainsi, monarchique ou démocratique, qui est celle que le peuple, s’il est libre, souhaite obtenir, s’oppose au « despotisme ».

L’Histoire enseignée dans le cadre des diverses Éducations nationales, depuis longtemps, mais particulièrement depuis le triomphe du Mondialisme, a convaincu une large majorité de citoyens, génération après génération, qu’avant 1789, la France vivait, sous les rois, écrasée et réduite à la famine de par la volonté et l’action du Souverain. Pour user d’un poncif obligé de la chiennaille des partis et des groupes de pression, nous dirions que des ténèbres, la Révolution est censée avoir libéré le pays, le faisant accéder enfin à la lumière. Un roi, dès lors, ne saurait être républicain puisque nombreux étaient les sujets dont l’existence était, soit pénible, insatisfaisante, soit misérable.

Comme si les régimes appelés républicains issus de la Révolution avaient été au service du peuple, alors que parmi les guillotinés de la Terreur figuraient infiniment plus de gens du petit peuple – ouvriers, artisans, paysans pauvres – que d’aristocrates ou de gros bourgeois. Comme si les lois votées n’avaient pas servi à dépouiller l’Église pour permettre aux paysans aisés, aux gros commerçants et aux financiers d’en acquérir à bon prix les biens ; à promouvoir, remplaçant les nobles, la classe des possédants : banquiers, industriels, spéculateurs, et leur permettre de gagner le statut de nouvelle aristocratie ; à arracher aux villes, aux métiers, aux corporations leurs privilèges, lesquels garantissaient la qualité des ouvriers et artisans, ainsi que la solidarité à l’intérieur des professions (couverture santé, accident, décès, etc.). La Loi le Chapelier, qui interdit les syndicats de travailleurs mais non les regroupements patronaux, remit entre les mains des négriers industriels des millions d’esclaves recrus de fatigue, mourant prématurément, chair à labeur exploitable à merci.

Oui, la monarchie pouvait, dans la mesure où les obstacles à son action n’étaient pas insurmontables, s’avérer républicaine. N’était-elle pas, de surcroît, corsetée de lois, sur lesquelles les Parlements, rassemblement de privilégiés, gardaient un œil vigilant, et prisonnière du droit coutumier de chacune des provinces et des villes ? Oui, un Louis VII défendant les paysans, petits bourgeois, clercs, victimes des exactions des plus forts, fait acte républicain ; un Philippe Auguste protégeant les gens modestes contre les empiétements des grands fait œuvre républicaine ; un Louis IX pratiquant la charité, la justice, emprisonnant les barons scélérats et développant le droit d’appel agit en républicain.

Plus tard, un Louis XIV soutenant la politique de Colbert qui permit que les paysans aient « un niveau de vie supérieur à celui de la plupart des ruraux de l’Europe », dont la tentative d’établir un barème de l’impôt plus juste l’encouragea à imposer la Capitation avec ses vingt-deux classes de contribuables, allant de « la famille royale, les ministres et les principaux financiers » (2000 livres) aux « simples soldats et petits domestiques » (1 livre symbolique), en passant par la classe des « ducs et du premier président » (1000 livres), fit preuve de républicanisme ; s’il dut renoncer deux ans plus tard (1698), ce fut par la faute des plus fortunés. « Le gagne-petit, s’il grogne in petto (qui le saura ?) ne marchande pas sa participation. Et c’est le duc de Saint-Simon, homme de cour, riche, privilégié parmi les privilégiés, qui barguigne et se plaint, et qui même en appelle à la justice de Dieu ».

DE LA MONARCHIE RÉPUBLICAINE AU DESPOTISME MACRONIEN

Les échecs des tentatives royales de faire suffisamment œuvre républicaine, en d’autres termes de maintenir une forme de gouvernement s’occupant en priorité, légitimement, légalement et avec conscience de la res publica, sont dus avant toute chose, comme toujours à travers l’évolution historique, aux plus riches : nobles de haut lignage, membres de la haute bourgeoisie d’affaires et d’industrie, hauts dignitaires des Parlements, mais également d’un nombre significatif de membres du haut clergé. Louis XV en fera les frais puisque, reprenant le projet d’imposition de son arrière-grand-père, il fut mis en échec, au final, par le seul clergé.

La Révolution mettra un terme, pour un temps, aux progrès sociaux des petites gens face aux grands gagnants du renversement de régime : les affairistes, grands bourgeois avides de remplacer la noblesse. Oh, par pour favoriser le peuple ! Ce dernier payera le prix du sang, s’imaginant qu’il sortira de ces temps de troubles en vainqueur, au seuil d’une vie nouvelle et lumineuse. Il déchantera vite. Les vrais bénéficiaires de la Révolution mettront sans tarder une distance entre les classes populaires et moyennes et eux-mêmes. L’établissement du cens électoral, la liquidation des derniers authentiques défenseurs des défavorisés (1794-95), la consécration des banquiers (remise de la banque dite de France à un groupe de financiers privés) et des affairistes par Bonaparte puis Napoléon, l’affaiblissement et les erreurs commises à la Restauration, le règne de Louis-Philippe, l’homme des bourgeois, et celui du malheureux Napoléon III, souverain plein de bonne volonté mais freiné par les possédants dans son intention d’éradiquer le paupérisme, les turpitudes de la troisième République et ses scandales financiers, l’avènement du plus grand Etat voyou de la planète, les Etats-Unis d’Amérique, essentiellement par le biais des deux guerres mondiales, aboutiront à la progression spectaculaire de ce qui deviendra le Mondialisme, tueur des peuples et des nations.

La République, orthographiée avec un R majuscule par les idolâtres d’un régime qui sert les possédants et éblouit les citoyens dont on lave le cerveau depuis des siècles, n’aura plus grand-chose à voir, sauf sporadiquement, avec l’acte authentiquement républicain esquissé par la plupart des rois. Sporadiquement, car les progrès sociaux réalisés ici ou là le seront, non par l’action des assemblées, ramassis de prébendiers plus soucieux de glorification personnelle, de parcelles de pouvoir et de hochets valorisant leur ego (les ors de la République), dont la plupart useront fort mal, que de bien commun, mais par celle de personnalités sincèrement vouées à la chose publique et de mouvements syndicaux puissants. Cette République tronquée, avant-garde de la ploutocratie globale d’aujourd’hui, se sera peu à peu débarrassée des trois obstacles susceptibles de lui faire de l’ombre.

En premier lieu, la royauté, instrument arbitral (et non arbitraire) indépendant des partis, ayant pour devoir d’assurer un équilibre, certes toujours fragile, entre les forts et les faibles, les dominants et ceux qu’ils rêvent d’asservir. « Le roi, écrit le regretté Vladimir Volkoff, est médiateur par excellence. S’il cesse d’être médiateur, il cesse d’être roi pour devenir chef de bande. Le chef d’une bande qui se trouve être au pouvoir. » Et qu’ont été d’autre un Mitterrand, un Sarkozy, un Hollande, en France, un Blair au Royaume-Uni, les membres de l’Etat profond aux Etats-Unis ? Qu’est d’autre, en Europe, le pire d’entre tous : Macron ? Capone caractériel, sociopathe, dégénéré, parangon de l’arbitraire, libre de ses mouvements – dictés par les maîtres du Mondialisme, de Davos à Wall Street et de Londres à Washington – et qui décide tout seul, sans que l’Assemblée nationale et le Sénat, avec leur fausse opposition, ne se dressent face à lui, « d’emmerder » les citoyens, de lancer le peuple de France dans une guerre avec la Russie, grande nation pouvant faire de notre Europe une puissance, d’appauvrir le pays (sauf la caste au pouvoir et ses obligés), d’effacer sa souveraineté, sa mémoire historique et culturelle, de pervertir ses mœurs, de détruire la famille traditionnelle, de faciliter l’invasion migratoire qui altère peu à peu sa substance avant de la faire disparaître ?

Ensuite, l’Eglise catholique. En fracassant les barrières dressées par elle contre la sauvagerie sexuelle par la canalisation des instincts, la République macronienne – mais c’est le cas un peu partout en Occident élargi – allait progressivement, prenant la suite de ceux qui l’ont précédée, mettre un terme à une entreprise hautement salutaire : « les mœurs assainies, la communauté stabilisée, la démographie en progrès, et même une forme de bonheur favorisée ». « Mais, ajoute Volkoff, Eros n’est pas le seul primitif, le seul bouillonnant. » N’oublions pas « la violence individuelle que fait le plus fort au plus faible, et à quoi… l’Église a tenté d’appliquer le sacrement de la chevalerie. » C’est l’Eglise qui, par la voix de Thomas d’Aquin faisant écho à celle d’Aristote, interdira le prêt à intérêt, l’argent ne devant pas, question de morale, servir à produire de l’argent au détriment d’emprunteurs souvent incapables de rembourser leurs dettes (nos États en savent quelque chose). Conception ô combien gênante pour les spéculateurs, affameurs de la plèbe, ayant réussi à faire aujourd’hui de nos Etats leur bien propre.

Enfin, troisième obstacle, le peuple. Pour que se concrétise le vieux rêve ploutocratique d’un gouvernement mondial qui, avec ses argousins technocratiques, ses obligés politiques et ses adulateurs intéressés ou candides, ne comprenne guère plus de 80 millions d’individus, encore convenait-il de réduire – par le déclassement, le chômage, l’inflation, la maladie, les faux vaccins, l’euthanasie, la guerre – la masse des habitants de la planète (8 milliards) à la portion congrue ; portion, qui plus est, dont on fera enfin un troupeau soumis. Rome, il est vrai, avait déjà agi dans ce sens – surtout la Rome républicaine, la plus cruelle – avec ses esclaves (mais toute l’Antiquité, partout, en usait) et sa populace qui, gavée de jeux, de pain et de vin gratuits, abandonnait toute initiative politique aux puissants, se révoltant de temps à autre, toutefois, et massacrant tel ou tel gouvernant. Il fallut néanmoins attendre les ressources techniques du XXe siècle et celles, plus performantes encore du XXIe, pour que les plus riches aient en main la maîtrise, pas uniquement de la masse mais également du plus ultime et plus insignifiant citoyen.

Qu’est-ce, en effet, que la République dont on nous gargarise, sinon celle qui a achevé la réification de la res publica, l’a réduite à l’état de « chose » au sens presque minéral du terme. Aussi comprend-elle les citoyens eux-mêmes, devenus, par le biais de la peur, soutenue par la propagande n’autorisant plus qu’elle-même (la liberté d’expression fait désormais partie du passé), cheptel, troupeau frappé de sidération, incapable d’appliquer le plus infime élément de réflexion et d’analyse à propos d’une pandémie dont il était pourtant aisé de percevoir la non-existence.

Étape par étape, il était évident qu’il convenait de s’interroger. Des voix officielles annonçaient depuis des années – prémonition suspecte – qu’un jour un virus dangereux forcerait le confinement de tout le monde et la mise à l’écart de libertés fondamentales. Puis des scientifiques éminents (Montagnier et d’autres), ayant étudié le virus, signalèrent qu’il avait été manipulé en laboratoire, que des séquences de sida lui avaient été ajoutées ? Vint ensuite, en violation de la loi, une interdiction inouïe, qui eût dû faire se dresser l’ensemble des citoyens : celle faite aux médecins de soigner, c’est-à-dire d’appliquer le serment d’Hippocrate ; et des médicaments efficaces, utilisés depuis des décennies – ivermectine, hydroxychloroquine – furent déclarés dangereux et interdits d’utilisation. La censure s’exerça ensuite, absolue : quiconque donnait de la pseudo pandémie en cours une version différant de la version officielle était déclaré ennemi public et risquait de tout perdre : son emploi, sa place dans la société, sa liberté même.

Enfin vint le remède miracle, unique autorisé : un vaccin mis au point en quelques mois par quelques laboratoires, comme par hasard américains, seuls habilités à les mettre sur le marché. Élément qu’on eût dû prendre en compte, alors : ces laboratoires exigeaient d’être déchargés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires (c’est donc qu’ils s’attendaient à ce qu’il y en eût ? qu’ils étaient consubstantiels au vaccin ?). Et le pire est que l’Union dite européenne et les gouvernements nationaux donnèrent leur accord à cette exigence scélérate, malgré des tractations secrètes menées par la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, incompétente et depuis longtemps accusée de corruption, et bien que les contrats signés fussent interdits de lecture, même par les députés. Il finit par y en avoir un résumé, largement caviardé. Les effets secondaires ne tardèrent d’ailleurs pas à se manifester, progressivement, de plus en plus graves : 179658 pour Pfizer de décembre 2020 au 15 mai 2021 ; 101843 pour la France seule jusqu’en octobre 2021. Quant aux effets, ils sont innombrables : zona, troubles du rythme cardiaque, thrombopénie/thrombopénie immunologique/hématomes spontanés, déséquilibre diabétique, pancréatite aiguë, syndrome d’activation des macrophages, réactivation du virus Epstein-Barr, méningoencéphalite zostérienne, aplasie médullaire idiopathique, polyarthrite rhumatoïde, troubles menstruels, syndrome inflammatoire multisystémique, etc. La liste est encore longue.

Pour couronner le tout, la vérité éclate, toute nue : le « vaccin » n’immunise pas. S’il est efficace, un vaccin doit empêcher toute personne inoculée d’attraper la maladie qu’il est censé combattre et prévenir toute transmission. Or, après les injections, combien sont-ils à avoir été victimes du virus et à l’avoir communiqué à d’autres ? Le fait est donc que nous ne sommes pas ici en présence d’un vaccin. Ou si c’en est un, il est inefficace, source d’effets secondaires dangereux, de plus en plus souvent mortels, de stérilité, de déformations du fœtus, d’altération de l’immunité naturelle. Plus grave alors, le fait qu’il est imposé. On ne jette pas – pas encore – en prison ceux qui refusent l’injection, mais on les contraint par chantage : perte d’emploi, isolation sociale, vindicte officielle et populaire.

La France s’illustre une fois de plus dans l’abjection : mise à pied du personnel soignant refusant le pseudo vaccin, sans salaire, sans indemnité de chômage ; seule de tous les pays, elle persiste au-delà de l’indignité dans son refus de le réintégrer. Résultat : la misère, la dépression, le désespoir. Est-ce un hasard si dans une telle attitude, le seul pays est la France ? Non, parce que la France, la République, c’est Macron, personnage malfaisant, retors, indifférent à l’humain, caractériel, cruel, adolescent retardé, mis en place puis remis en place par les cénacles mondialistes pour détruire la France.

La République qui me lève le cœur est précisément celle-là : celle qui réifie la chose publique, qui la détourne du chemin qui devrait être le sien, qui privilégie les intérêts privés au bien général, qui, trahissant les nations et les peuples d’Europe, sert le délire vétérotestamentaire de l’Etat pirate américain et son désir insatiable de dominer la planète, d’infliger à toute nation, à tout peuple la férule de sa volonté décrétée soutenue par Dieu.

Pour battre et ravaler, à son juste niveau de sous-produit de la civilisation européenne, le tyran d’outre-Atlantique, c’est vers la vraie république qu’il faut retourner, la res publica authentique et véritable, finalement sauvée de la « chosification » financière, technologique et transhumanisée qu’on lui fait subir. Pour y parvenir, il n’est qu’une voie : couper les liens entre les deux rives de l’Atlantique Nord, chasser du territoire européen les armées de Washington, confisquer leurs bases militaires, détruire leur matériel, surtout le matériel nucléaire, éliminer par tous les moyens les traîtres qui nous dirigent et nous manipulent (présidents, premiers ministres, commissaires, parlementaires) et leurs maîtres (banquiers internationaux, multinationales, ONG subversives, soutiens du wokisme et du LGBTisme, intellectuels et journalistes collabos, forces de l’ordre au service du pouvoir – tels les Brav-M, Tontons Macoutes de la macronie, – propagandistes en train de détourner l’Education de sa fonction originelle, tout en engageant un retournement politique et économique spectaculaire, ce qui signifie en l’occurrence, outre abandonner totalement le dollar, signer des traités avec les BRICS, s’allier clairement au conglomérat Russie-Chine-Inde-Iran-Arabie saoudite, auquel doivent être inclus nombre d’Etats africains, latino-américains et asiatiques las d’obéir au tyran américain.

Peut-être, alors, pourra-t-on à nouveau admettre d’aimer la république, l’autre, la République, « machin » sans valeur et ennemi du bien commun, ayant enfin mordu la poussière.

Michel Bugnon-Mordant

Géopolitologue, écrivain, essayiste

 

 

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11 Commentaires

  1. Mon Dieu, comme tout cela est vrai !
    Merci, Monsieur, pour ce beau texte.

  2. comme le dit E.Zemmour, et lui seul, vive la République et SURTOUT vive la France

  3. Ce Mot ne veut plus rien dire, la preuve, la république populaire démocratique de Corée du Nord…hahaha. Pareil en France maintenant.

  4. Une République c’est un Parlement, une oligarchie. Ca a été inventé à l’époque des rois. Platon l’opposait à la démocratie.
    On fait juste changer le sens des mots pour créer de la fascination.

  5. FAUX!
    Mélenchon ne déteste pas la “république”, il HAÏT la FRANCE!
    La nuance est de taille!
    C’est LUI, la République, et il ne peut pas ne pas “s’aimer”, lui le mégalo alter mondialiste!
    Chacune de ses diatribes publiques se termine par “et vive la république”, alors qu’il ne prononce JAMAIS le mot honni de “France”!
    Jamais non plus le mot “LAÏCITÉ, ce socle de nos Libertés.
    Mondialiste à la Macron-Bilderberg ou alter-mondialiste du métissage sous- culturel, même combat contre la Nation-France!

  6. A vous lire, on fini par penser que les rois étaient des syndicalistes ! Aujourd’hui c’est le contraire ce sont les syndicalistes qui sont rois.

  7. les célèbres valeurs de la république, les valeurs du pape françois, etc. même combat

  8. perso avant d’etre en “république” nous d’abord en France,en France,et rien d’autre,car dans quelques années si on les laissent faire le mot “France” ne va pas disparaitre mais beaucoups moins utiliusée,ils veulent peut etre une “république islamique” ? mais avant,bien avant ca se réglera dans les rues.

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