Pourquoi je vous conseille vraiment de lire le livre de Jean-Marie Le Pen

Je viens de terminer le livre de Jean-Marie Le Pen. Je ne vais pas vous le « résumer » mais vous énoncer les raisons de l’acheter et, surtout, de le lire.

– En premier lieu il faut l’acheter pour faire un pied de nez aux pisse-vinaigre, c’est une très bonne raison !

– C’est une brique de 403 pages qui contient un index très fouillé et une chronologie qui permet de replacer beaucoup d’événements à leur place

– Le style est rapide, direct, concret aux antipodes de l’hexagonal ou de la novlangue politiquement correcte.

– Les raisonnements sont terre à terre, exemple :  La torture ? « les ordres étaient de juguler le terrorisme par tous les moyens (…) il y a eu des interrogatoires musclés (…) l’armée française revenait d’Indochine, là-bas elle avait vu des violences horribles qui passent l’imagination (…) les moyens qu’elle employa furent les moins violents possibles. Y figurent les coups, la gégène et la baignoire, mais nulle mutilation, rien qui touche à l’intégrité physique » Lors d’une enquête, le préfet d’Oran répond à un pasteur suédois : « Monsieur le pasteur votre protégé, ses couilles il les a toujours ? » «Oui, répondit interloqué l’homme du nord. » – « Pas les militaires français qui se font prendre en opération, ni les musulmans que le FLN massacre : il les leur coupe et il les leur fourre dans la bouche. Je tiens les photos à votre disposition »…

– Jean-Marie Le Pen est un personnage, un gaillard en chair et en os, lourd comme un cheval de trait paysan, équilibré comme un marin qui tangue et qui roule, décidé comme un para de La Légion, solide comme un roc dans la tempête mais aussi frétillant quand il s’agit de femmes et émouvant quand il s’agit des animaux et de ses chiens. Il est issu d’une famille pauvre, marins du côté de son père, paysans du côté de sa mère, il fait l’école et un sévère collège des jésuites puis l’université en droit. Est refusé comme soldat car trop jeune pour faire la guerre en 40. En 1953, il organise des secours aux sinistrés des inondations hollandaises. Il s’engage dans la Légion, fait l’Indochine, Suez et l’Algérie. Sans doute dérange-t-il tant parce qu’il est l’antithèse des baudruches politiquement correctes qui actuellement tiennent le haut du Smartphone. Retourné au civil, il gère une maison de disques. Il suit un parcours politique qui va mener à la création du Front National mais ça ce sera pour le deuxième tome.

– Il nous raconte un temps que plus personne ne connaît : il naît dans le village la Trinité-sur-mer, son grand-père est pêcheur, son père devient cap-hornier puis pêcheur et sera tué quand son bateau sautera sur une mine. J.M devient donc pupille de la Nation, « un peu plus français que les autres ». Il nous raconte comment c’était « avant » : la vie dure, les “métiers d’enfer” quand il était marin-pêcheur lui-même ou mineur dans une mine de charbon belge. Le bonheur en chantant et puis les premières BD, la collection Nelson, la machine à coudre Singer, le rouge à lèvres rouge baiser, les manteaux d’Astrakhan. Ben oui, comme quand nous étions enfants. Le peuple a arrêté de chanter quand le transistor est arrivé ; la liturgie romaine et le chant grégorien ont été remplacés par des niaiseries ; la musique classique et la poésie par le rap barbare. Ben oui.

– Bref il nous raconte l’envers de l’Histoire depuis 1928 jusqu’à nos jours, avec ses mises au point concernant Vichy, De Gaulle, les guerres et l’Algérie, mai 68 et les catastrophes causées par les communistes, les socialistes et la gauche.  Mais aussi les occasions manquées de ce qui allait devenir le Front National.

– Et, bien sûr Le Pen ne serait pas Le Pen s’il ne décochait pas quelques petites piques par exemple à l’encontre de ceux qui ont la mémoire courte…

Après avoir lu ce livre. Nous avons l’impression de vivre dans une époque terrible, mais en fait cette époque terrible dure depuis des décennies, si pas de siècles. Comme dans les familles, les clubs ou les entreprises, tout irait bien s’il n’y avait pas, toujours, un emmerdeur pour semer la zizanie, ainsi les allemands, les communistes et actuellement l’immigration, l’islamisme, le mondialisme, etc. A chaque fois les gens « normaux » qui ont du bon sens (paysan) doivent se battre contre l’absurde qui coûte cher et qui tue.

On peut aimer ou ne pas aimer cet homme, dans les deux cas cela vaut la peine de lire son livre car au-delà de sa biographie personnelle, qui n’est pas banale du tout, il nous décrit un temps qui n’existe plus et que j’ai eu du  plaisir à retrouver, sans être d’accord avec lui sur tout. Il m’a rappelé mes grands-parents paysans, mais aussi ce jour où mon père, après avoir écouté le journal parlé à notre petite radio nous dit « Dien Bien Phu est tombé… la guerre est finie… » Enfin je comprends ce que signifiaient les « Poujade avait raison » peinturlurés sur les murs que nous voyions quand nous descendions vers le Sud pour aller camper. Et puis, pèle mêle, entre « Les âmes mortes » de Gogol et « Les silences du Colonel Bramble » de Maurois, les livres de Lartéguy que mon père me permettait de lire pendant que nous étions couchés à rôtir sur les rochers de La Ciotat.

J’ai eu un ami très cher, aujourd’hui décédé, colonel de l’armée suisse, né lui aussi dans les années 20, avec qui je n’étais pas d’accord sur tout, mais avec qui il était passionnant de bavarder entre personnes éduquées. Lui, ingénieur, chef de grosse entreprise, avait fait latin grec, moi, physiothérapeute, j’avais fait latin math ce qui me donnait quand même un peu de crédibilité, malgré la différence d’âge et d’expérience.

Quand je vois à la télé les hystériques écervelées qui s’esclaffent à gorge aussi déployée qu’une porte cochère, qui criaillent et coupent la parole comme si leur maman ne leur avait pas appris les bonnes manières, je me dis, en pensant à cet ami, que, ô combien aux antipodes de la télé, cela doit être des moments rares de pouvoir rencontrer le Vieux Menhir et passer avec lui une soirée à parler entre gens qui ont reçu « une éducation », avec un bon p’tit calva et les chiens couchés devant le feu ouvert… et, pendant que les défenses arrogantes du Vieux se fondent, partager des confidences qui n’auront vécu qu’un seul soir…

Il y a dans ces Vieux (= encore plus vieux que moi) une consistance indépendante de l’air du temps, un fond solide comme celui qui se dépose au fond des pots de confitures. Quand j’étais petite c’était encore « comme ça ». Aujourd’hui, tout est différent. Les jeunes découvriront dans ce livre l’ambiance de leurs grands-parents et surtout des opinions pas politiquement correctes. Pour les vieux… ben oui… c’était mieux, plus vrai, avant… C’était mieux quand c’était pire… Et puis la question amère : et maintenant, qu’est ce que nous allons pouvoir faire pour nous sortir de ce merdier désespérant ?

Anne Lauwaert

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54 Commentaires

  1. Merci, madame. Je pense exactement la même chose que vous, nous devons être de la même génération…. celle qui disposait encore d’esprit critique et d’analyse. Avant le pré-pensé, pré-digéré. Voir Michel Onfray : “je ne l’ai pas lu, et je ne lirai jamais, mais je vais vous en parler à la lueur des extraits parus dans les hebdomadaires (Le Point, Libération, Le Monde, etc.” N’est-ce pas dans l’air du temps ? Hélas !

  2. Merci Anne pour votre article bien argumenté concernant
    une partie de la vie de ce grand Patriote qu’est JMLP
    un livre que je conseille, surtout pour tous ceux qui se font une idée complètement fausse du personnage, un homme droit et honnête contrairement à l’image mensongère et fausse que les meRdias n’ont cessé de véhiculer pendant toute sa vie politique

  3. ça donne envie de le lire !!! une petite pensée amicale à Marine et Marion !!!!

  4. J’ai eu bien du plaisir à lire ce livre de ce patriote diabolisé à tort par tant de Français. Vivement le deuxième tome!

  5. Morceau de Civilisation du “c’était mieux avant” ! Breton de coeur, amoureux de la Trinité et du Golfe, ayant suivi le Poujadisme et les débuts de JMLP, son départ en Algérie, alors député… je le respecte en tant que Vrai Français.
    J’attends le second tome….

  6. Madame Lauwaert,
    Libre à vous de croire tout ce qu’écrit Jean-Marie Le Pen. Mon premier et défunt mari était algérien. Il a lutté – à tort ou à raison mais jamais, jamais avec violence – pour l’indépendance de son pays et il a passé à deux reprises un an en “camp”. La première fois, il avait quinze ans. Son intégrité physique , comme vous dites, en a pris un coup : arracher des molaires sans anesthésie à un jeune homme, juste pour le plaisir de le faire souffrir, voilà ce dont ont été capables – et se sont rendus coupables – des gens que défend mordicus Jean-Marie Le Pen. Pardonnez-moi, Madame, mais cela s’appelle TORTURE.
    Je ne lirai pas le livre de Jean-Marie Le Pen. Pas question de donner un sou pour lire – si je vous en crois – de tels mensonges éhontés.

    • Et bien si votre premier mari a lutté pour l’indépendance de son pays sans jamais de violence… il est l’exception qui confirme la règle. Le combat du FLN était sans doute justifié : l’Algérie n’a jamais été la France mais le combat du FLN s’est TOUJOURS déroulé dans l’hyper violence. C’est un fait indiscutable. Et ce depuis, le tout début de la guerre d’Algérie. Votre mari avait quinze ans mais il y a eu également des bébés, dont le seul tort était d’être européen, qui ont été sauvagement tué par les membres du FLN (par exemple : tuerie d’El-Hallia).

    • JE ne sais si vous dites vrai, mais je suis a peu pres sur que votre “mari” a choisit de vivre parmi ses “bourreaux” plutôt que de construire son pays

    • ISABEL . Votre mari avait 15 ans et torturé en lui arranchant une dent . Moi Isabel j’avais le même age que votre mari et en 1957 j’avais 13 ans et j’ai été bléssé gravement dans l’attentat de BOUFARIK où les compagnons de lutte de votre mari avait mis sous des selles de vélos parquées en pleine avenue centrale de la ville deux bombes à retardement . La 1° a complètement defigurée deux gosses qui se promenaient sur le trottoir en cie de leurs parents sur deux petites voitures à pédales .. la 2° a fait bcp plus de dégats car tout le monde s’est précipité quand le bruit de la détonation a été entendue aux alentours .. 5 mn après la 2 °bombe a explosé. 2 copains d’enfance morts défigurés et mois la vie sauve par un berger allemand.. y en en marre d’entendre les malheurs d’un seul côte…

  7. Qui sait si monsieur Le Pen lit Riposte laïque et nos commentaires ?

  8. Je vous confie que je n’ai plus la patience de lire les livres écrits pour faire de la littérature, et surtout pas les gens qui écrivent ou qui parlent façon baudruche-Macron.

  9. Il y a des passages impressionnants quand il décrit la vie des marins cap horniers… et « Le printemps 44 fut d’une beauté indescriptible. Sous un ciel léger la brise de terre odorante arrachait aux pins des nuages de pollen tandis que des théories de Sinagots venus de Séné aux coques noires et voiles rectangulaires rouges , descendaient le courant de marée, découpant l’azur du ciel de leurs voiles, comme des couperets sanglants. Avec les vaches et les pommiers en fleurs ils composaient une marine façon Rosa Bonheur. »

  10. Jean Marie Le Pen est un vrai écrivain. Certaines de ses phrases sont de véritables bijoux. Comme : Pour aider ma mère à joindre deux bouts qui refusent énergiquement de se rapprocher malgré les sacrifices spartiates qu’elle s’impose, je m’embarque sur son bateau.
    Peut être un Goncourt ?

    • oui il y a des passages vraiment poétiques et d’autres,… disons… bien tapés!

    • un Goncourt ? chiche la gauchiasse bobo en attraperais une jaunisse !!!!!

    • Je n’ai pas fini le bouquin mais il est indéniable que l’auteur (l’écrivain) a du style et un style plutôt élégant.

  11. Merci Madame ; n’ayant pas les moyens d’acheter ce livre, j’attends avec impatience la parution du tome 2 pour me remémorer mes années “MINUTE” et “NATIONAL HEBDO” …

    • trouvez quelque’un qui vous le prete, vous allez passer debonnes soirées !
      appel: y a-t-il qualqu’un qui veut preter le livre à Cigale?
      une idée: ceux qui ne tiennent pas à le garder, distribuez-le , offrez-le aux cigales autour de vous

      • Merci de votre “appel” que je n’aurais pas osé faire !!! ce qui est très aimable car je doute de le trouver dans ma bibliothèque municipale (Ville de gauche depuis plus de 50 ans…) Merci encore.

        • Où êtes-vous ? Pour vous le prêter aussi longtemps que vous voudrez ! Ma famille ne le lira jamais, mes amis l’ont déjà…

          • Je suis dans le 13 ! sinon je pourrai tout de même vous régler les frais d’envoi par la Poste ! Merci de votre proposition.

  12. Un homme de culture, de convictions qui a vécu ce qu’il a vécu,c’est quelque chose quand il se met à la plume .

  13. J’espère que ceux qui achèteront son livre ne seront pas arrêtés par les flics à la porte de la librairie et fichés SS par la suite.

    • ah ah ah on en es pas encore là mais patience …ça va venir !!!

  14. Il est difficile de trouver le livre de Jean Marie Le Pen, en librairie, certain obéissent à la Non diffusion du livre, soit par lâcheté, ou par mépris, par contre la grande distribution elle le met dans leurs rayons librairies.
    Eux ils font peut être du business mais au moins ils l’on en vente; devant les poltrons de libraires, achetons dans la Grande Distribution qui elle n’a pas d’état d’âmes socialisant.

  15. J’ai mis moins d’une semaine à lire son livre. Je me suis régalé. Même ceux qui le détestent reconnaissent que c’est un grand écrivain qui a une grande culture. J’attends avec impatience le 2ème tome correspondant à la 2ème partie de sa vie, de la création du FN à nos jours, que j’ai mieux connue et pour cause vu mon âge.

  16. Le menhir est toujours là. Breton et français toujours.. lucide, vivant, ‘nature’ et franc du collier. J’ai moi aussi retrouvé en partie une France de mon enfance qui hélas grâce aux bolcheviques et aux curés de gauche s’enfonçait peu à peu dans le foutoir que nous connaissons aujourd’hui…Mais cette histoire remonte loi bien avant les mal-nommées “Lumières”…

  17. Merci Jean Marie ,j’ai travaillé avec vous plus de 10 ans sur les Meetings ou vous discouriez sans Notes ,il n’y a que vous pour le faire ,et Bonjour de Brocéliande !

  18. Son dernier livre est sans surprise excellent !!! Je viens de le finir avec un pincement au coeur !!

  19. Merci, Anne ! C’est un bonheur que de lire le Menhir, il écrit aussi bien qu’il parle, ce qui n’est pas le cas des “autres”…surtout pas du locataire actuel de l’Elysée qui nous balance des mots “ronflants” pour nous faire croire qu’il est intelligent et cultivé !

  20. Anne, 100% d’accord. Nous vivons actuellement une époque pourrie à la moelle, et effectivement ça a débuté avec mai 68 et depuis d’années en années ça ne cesse d’empirer. Nous n’avons pas encore touché le fond malheureusement.

  21. c’est sûr qu’il n’est pas banal – il peut vous dire des choses qui vous choquent et qu’il explique avec une logique déconcertante
    mais attendons le deuxième tome – ce que j’admire dans son parcours: petit paysan, marin pêcheur, mineur, para dans la Légion … le reste est plus “normal”
    c’est un boulanger qui sait d’où vient la farine

  22. Très bon livre , écrit avec passion et honnêteté , la vie d’un grand Monsieur visionnaire .
    Merci Monsieur Le Pen , j’attends avec hâte le second volume .

  23. JEAN MARIE LE PEN !! Rien que le nom , il nous donne cette satisfaction et cette Fierté si précieuse d’être français , d’être euro-chrétien, d’être nationaliste français et franc , debout comme lui , de son camp , comme un menhir celtique ou une cathédrale gothique de nos ancêtres , avec se sentiment si ancré dans le souvenir de leurs cimetières millénaires . LE PEN , le Nom et le Verbe ça donne des hémorroïdes à ses ennemis , à ses détracteurs , la chienlit , la vermine et toutes ces laideurs qui ont envahi ce beau pays de St Louis , de Jeanne d’Arc , de Barrès et de Michel Audiard .. Ca sonne bien le nom de LE PEN JEAN MARIE , c’est vraiment gaulois ,beau , aryen , européen , rien à voir avec la racaille migrante et leurs complices cosmopolites .FN , La Vraie France

  24. Est ce qu’il raconte son amitié avec le clown Dieudonné? Ça doit être le chapitre le plus comique du bouquin. Dieudonné, lui même copain avec Tariq Ramadan. Qui se ressemble s’assemble.

    • ça ne m’a pas fait impression… mais c’est aussi une raison pour que vous lisiez le livre et nous en fassiez une critique

    • Je vérifie dans l’index: il n’y cite pas Dieudonné, il lui préfère Céline Dion, ça se comprend – je vous tiendrai au courant quand j’aurai lu le deuxième tome –

    • @ vous, Dany…
      “Est ce qu’il raconte son amitié avec le clown Dieudonné?”…

      Ben, pour le savoir (ça et plein de choses encore), achetez son livre (22,90 E)…

      Mais peut-être n’est-ce qu’une amitié due à la bretonnité de la mère de Dieudo, allez savoir ; et si comme le chante en slam avant de passer au plat de résistance de sa “Blanche Hermine” le gauchiste opportuniste Gilles Servat auteur de l’oeuvre, la bestiole est blanche, certes, mais elle a la queue noire, là encore ce “Penn kalet” de Jean -Marie n’y a pas vu malice.

      Et l’humour est enfant de bohème, lui aussi, non ?

  25. Je précise : le Barbier de Serville à l’écharpe rouge
    de clown, signe de suffisance et surtout d’insuffisance…

  26. Rectificatif : Quand je vois à la télé les hystériques écervelées qui s’esclaffent à gorge d’employées de LCI, de BFMTV et de CNews pour servir la soupe et se mettre en scène comme des précieuses ridicules, qui criaillent et qui coupent la parole aux invités et aux faux experts, mais les vrais partisans cachés, sans oublier le très raisonneur toujours paradant, le Barbier de Serville à l’écharpe rouge
    de clown, signe de suffisance et surtout d’insuffusisance…

  27. Je partage votre avis.
    Au moins il s’exprime d’une façon posée , calmement, en parlant de son parcours. Il n’élude pas les questions. Ça change des hystériques à la christine angot.

  28. Patron d’une maison de disques. Oui mais qu’elle maison de disques… Vous préférez ne pas en parler ? Cela vous gêne !

    • Et après ? Allez allez .. au lieu d’insinuer comme une tartiflette frustrée.

    • croyez-vous qu’on à mon âge il y ait encore quelque chose qui me gène? mais voyez-vous on me reproche que mes articles sont toujours trop longs… alors je ne sais pas recopier les 400 page – amis lecteurs, la maison de disques c’est une raison de plus de lire le livre

    • On peut aimer la Marseillaise sans être un ripoublicain ;
      on peut aimer écouter “Ein Heller und ein Batzen” (Heidi-Heido) qui est une chanson à boire, ou apprécier H. von Karajan, ou lire Heidegger, sans être un nazi !
      On peut aimer écouter Chostakovitch ou Khrennikov sans être un stalinien !
      Tout est affaire de goût musical, littéraire et autres : le reste est “un point de détail”.

      • Il est obsédé par son peuple te sa religion cachée ce vieux taré de naissance. Que ses journées doivent être longues à se trémousser comme un pantin retraité devant RL sur son tabouret .. LOL

  29. Excellente analyse et commentaires sur” l’ énorme pavé de notre menhir national J.M LE PEN jeté dans” le marécage nauséabond ” qu’est devenu notre pays!!!!

  30. Je vous cite, Madame :

    – En premier lieu il faut l’acheter pour faire un pied de nez aux pisse-vinaigre, c’est une très bonne raison !

    Ça peut constituer en effet une saine démarche première. Ce fut la mienne. Mais quel plaisir, ensuite de retour de son achat (ostensiblement promené dans le magasin) de le parcourir, même quand on sait les fins de films de nos défaites…

    Tenez, rendez-vous page 237…

    Mais ce n’est qu’une !

    Merci pour l’avoir aimé, ce livre, nous ne sommes pas les seul, hein !…

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