Pourquoi ne parle-t-on jamais de l’Holodomor, massacre organisé de 7 milllions d’Ukrainiens par Staline ?

« Lénine était le plus grand des hommes après Hitler et la différence entre le socialisme et la foi d’Hitler est très subtile ».

Joseph Goebbels

Hollande vient de consacrer le nouveau timbre à l’effigie de Marianne dont le modèle est une Ukrainienne, Inna Schevchenko, fondatrice des Femen. Flattée, celle-ci a déclaré qu’ainsi les cathos, les homophobes, et les opposants au mariage pour tous… « seront obligés de lui lécher le cul ». Délicat, non ?

Voila bien à quel niveau de culture sait descendre mou 1er quand il souhaite retrouver le doux parfum des étables de Corrèze qui lui est si cher.

Personne n’a remarqué, (l’inculture historique grandissant en France),  que cette consécration de la nouvelle Marianne s’est faite au moment même où en Ukraine on pleure le 80ème anniversaire de l’Holodomor, et ce n’est pas depuis l’Elysée que soufflera un espoir de renouveau culturel.

Mais quèsaco « l’Holodomor » ?

Si les crimes du national-socialisme font (à juste titre), en France, l’objet de rappels constants des historiens, des politiciens, des journalistes, des producteurs de vidéos et de films, ceux du socialisme sont systématiquement passés sous silence !

D’ailleurs les lois mémorielles (à sens unique) si strictes sur le national-socialisme, ne mentionnent jamais, jamais, jamais… Le socialisme tout court !

Ce qui vous donne allégrement le droit de nier le Goulag, les procès staliniens, les génocides de masse de Mao et même ceux de Pol Pot !

Le tout, sans encourir le moindre blâme, la moindre sanction, des bien pensants !

L’Holodomor a été officiellement déclaré, en 2008, « crime contre l’Humanité » par l’Union européenne.

Mais notre presse nationale s’est bien gardée de le faire savoir à ses lecteurs et auditeurs, sans doute « pour ne pas stigmatiser toute le peuple de gauche », surtout pas d’amalgame !

L’Holodomor, je répète à dessein le mot pour le graver dans votre mémoires, c’est le massacre organisé de 7 millions d’Ukrainiens, blancs et chrétiens, par les communistes dans ces années 30 si chères à Jean-Philippe Désir, alias « Harlem » dans les lieux mal famés.

HumamortstalineCes 7 millions n’ont été qu’un amuse-bouche, puisque les communistes staliniens, communauté dont Marie-George Buffet, Robert Hue et tant d’autres sont toujours d’honorables représentants en France, firent encore exterminer quelques 11 millions de soviétiques ukrainiens, tatars, juifs, tchétchènes… entre 1937 et 1941 avant que leur alliance avec les nazis ayant mal tourné, ne se concentrent sur le danger qu’Hitler était soudain devenu pour eux…

Un Letton, de Lettonie… petit pays balte colonisé par les communistes en 1940, et illustre inconnu pour nos médias aux ordres, a réalisé un film, « The Soviet Story », à partir d’archives occidentales, mais surtout de celles du régime stalinien, tombées il y a une dizaine d’années dans le domaine public.

La vidéo du film (1 h 30) est difficile à trouver gratuitement, par contre des extraits sont accessibles dans plusieurs langues… excepté le français !

L’adresse ci-dessous donne une version en anglais sous-titrée en ukrainien de la partie qui concerne l’Holodomor, rassurez-vous, si vous ne comprenez pas l’anglais, les images se suffisent à elles-mêmes, hélas !

[youtube]gSVs1sQaw4Q&[/youtube]

http://fr.youtube.com/watch?v=gSVs1sQaw4Q&feature=related

Dans le cas où vous ne réussiriez pas à l’ouvrir, car l’accès en est filtré à deux reprises… voici une seconde adresse : http://www.sovietstory.com/

Le plus terrible est que l’Holodomor, cette shoah ukrainienne, a été provoqué par un mensonge de Staline, rappelant étrangement celui récent de mou 1er, avec : « sa reprise du développement industriel et son inversion de la courbe du chômage… » L’histoire de l’union soviétique n’est sur le plan économique qu’une longue série d’échecs du socialisme appliqué à l’économie qui, dès 1921, nécessita un retour à l’économie de marché appelé la NEP, ou « Nouvelle Politique Economique ».

Les famines disparurent, les paysans s’enrichirent, notamment ceux (les « koulaks ») de l’Ukraine, grosse productrice de blé.

En 1930, Staline voulut montrer au monde, comme Mou 1er aujourd’hui quand il raconte (sans rire) que la France a les meilleurs résultats économiques de l’Europe… Que l’économie socialiste donc, était si performante que l’URSS pouvait exporter.

En 1930 toute la production alimentaire de l’Ukraine fut pour « servir de preuves » exportée. Provoquant une famine incroyable, qui poussa la population à la révolte, les Ukrainiens clamèrent qu’il n’était plus question de leur voler leur blé. Alors Staline pour les punir, fit boucler le pays pour que les Ukrainiens ne puissent pas fuir et l’occident ne pas voir ce qui allait se passer.

Jusqu’en 1933 les paysans furent contraints de travailler sans salaire (cela s’appel de l’esclavage), tous les animaux sans exception abattus, toutes les réserves de nourriture confisquées, les champs gardés par le NKVD (ancêtre du KGB). Ceux qui tentaient d’y voler des grains de blé étaient abattus sur place et toutes les récoltes furent exportées, provoquant une terrible famine entrainant, pour la seule année 1933, 7 millions de morts et des scènes de cannibalisme.

Ce fût le programme d’extermination d’un peuple le plus efficace jamais vu dans l’histoire de l’Humanité, en dehors de toute intervention militaire extérieure.

Hormis cet épisode atroce de famine organisée et exécutée sans pitié, le film entier devrait être diffusé dans les classes d’histoire, car il démolit deux mythes particulièrement bien ancrés dans notre pays :

  • Le premier mythe nous fait croire que le communisme, contrairement au nazisme, part d’une bonne intention,
  • Le deuxième mythe consiste à faire croire que le socialisme internationaliste et le socialisme nationaliste des nazis n’ont absolument rien en commun, grâce à une petite ruse sémantique.

Si au lieu de traduire le mot « nationalsozialismus » par « national-socialisme » qui est un germanisme, on le traduit en bon français par « socialisme national », ça change tout, et ça… socialistes et communistes bien sur ne le veulent pas !

Dans le film, Edvins Snore (le Léton) nous raconte, témoignages, images et documents d’archives à l’appui, l’histoire commune de deux branches radicales du socialisme : le socialisme-national allemand et le socialisme-internationaliste russe.

Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est la guerre des classes, et la guerre des classes implique de liquider une partie de la population. Car pour restructurer la société, il faut d’abord éliminer non seulement les opposants politiques, mais aussi les intellectuels, les meilleurs travailleurs, les artistes non conformes à la doctrine, etc.

Des groupes entiers de la société.

C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine, Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les socialistes les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples entiers sont considérés comme trop réactionnaires.

Karl Marx prônait lui-même « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques, les Bretons et les Highlanders d’Écosse », tous des peuples trop peu évolués pour la révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès…» de l’humanité.

Elle fut mise en œuvre par le socialiste-national Hitler qui avait décrété que « les races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité » étaient les Juifs, les Roms et les Noirs, entre autres…

C’est cette ingénierie sociale qui imprégnait sans doute la tête de Pierre Bergé, quand il souhaitait « des bombes sur la Manif pour tous », et celle de Clément Méric disant que « ils ne devraient même pas être vivants… ».

C’est celle qui est mise en œuvre de façon plus douce, plus pernicieuse et plus lente par ceux qui veulent aujourd’hui remplacer le peuple français par des peuples immigrés plus dociles au « progrès » que seraient pour eux, le multiculturalisme et le métissage généralisé, et incitent le peuple français à s’homosexualiser, sous prétexte « d’égalité », afin de réduire sans doute encore plus un taux de fécondité déjà faible.

Dans les années 30, à l’odeur nauséabonde selon les socialistes… Ceux-ci soutenaient Hitler dans leur majorité, que ce soit en France (faites vos propres recherches) ou dans les pays anglo-saxons, où le socialiste Georges-Bernard-Shaw promouvait le nazisme dans les médias. Et ce n’était pas parce qu’il ignorait les crimes qu’Hitler allait commettre, non,  bien au contraire c’est justement parce qu’il les connaissait !

Shaw demandait publiquement que les personnes inutiles pour la société soient assassinées de manière humanitaire (sic), Il « encourager l’euthanasie pour les plus de 62 ans », demande que fait maintenant Jacques Attali.

Le socialiste Shaw lança même dans le journal Listener du 7 février 1934 un appel aux scientifiques pour qu’ils découvrent un gaz « humanitaire » qui permettrait de tuer instantanément et sans douleur.

Shaw en avait rêvé, les nazis le mirent aux point 10 ans plus tard, sous le nom de Zyclon B !

Heureusement en France, tous les socialistes n’étaient pas d’accord, et nos modernes socialistes s’appuient sur cette minorité pour sauver leur « morale ». Ceux-là, (cette minorité) considéraient comme inacceptable de tuer les gens par catégories de races ! Car pour suivre les enseignements de Marx, la sélection devait être basée sur l’appartenance de classe… Un pays vraiment marxiste devait exterminer sa population avant tout selon le critère de classe et non de race !

Ah ! Mais sa fait toute la différence madame !

C’est ce que pense sans doute, le ministre Vincent Peillon quand il dit « regretter que les catholiques ne puissent être supprimés… ». Et il s’appuie, lui aussi, sur Marx lorsque qu’il déclare, « Les classes et les races trop faibles pour maîtriser les nouvelles conditions de vie doivent laisser le champ libre… » Elles doivent périr dans l’holocauste révolutionnaire sans doute ?

Supprimez le mot « race » comme la fait mou 1er, et il reste les classes : réacs, hétérosexuels, chrétiens, riches, chefs d’entreprises…

Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28 novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et les nazis, précisait : « Doivent exclus de la société socialiste…les membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers, les personnes qui ont voyagé à l’étranger, les personnes qui font de l’esperanto (!), les philatélistes (!!), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés religieuses, les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers… ».

A bon entendeurs, salut !

André GALILEO