Pourquoi Tariq Ramadan est un homme dangereux

La gangrène islamiste diffusée par Tariq Ramadan et son acolyte al-Qaradâwî est mortelle pour les sociétés humaines.
Il faut la débusquer, l’attaquer partout où elle se trouve. Il ne faut pas la laisser proliférer avant qu’elle ait corrompu toutes ces masses désœuvrées et sans perspectives, sauf les promesses de l’érection éternelle et des rivières de vin.
Ces masses incultes et fanatisées à outrance constituent un véritable vivier pour les islamistes qui peuvent transformer ces desperados de la vie en autant de bombes humaines.

Ainsi, cette gangrène se décline en plusieurs variantes : du hard, façon al-Qaradâwî, au bling-bling sur le modèle de ce caméléon de Tariq Ramadan, petit-fils d’un grand admirateur du Führer nazi, antisémite notoire et obsédé par la renaissance (Ennahdha) du Califat, le Reich islamique, aboli par Kamel Atatürk. Cet agent djihadiste, idolâtré par les élites en herbe musulmanes partout dans le monde, un orfèvre hors pair dans l’art de la takkiya, donne l’impression à son interlocuteur que tout ce qu’il dit est vrai sans avoir besoin de le justifier lui-même.

Se voulant toujours rassurant publiquement afin de ne pas réveiller la méfiance de son auditoire non musulman tout en tenant un tout autre discours auprès de ses coreligionnaires. Retors, il use de toutes les manœuvres pernicieuses pour endormir la vigilance de ses détracteurs en se parant de son sourire de gendre idéal qui cache un prédateur redoutable.
Comme tout islamiste convaincu, il adapte son langage en fonction de ses interlocuteurs et des circonstances.
Se voulant l’héritier de la pensée de ce grand-père maternel inhumaniste, antisémite, créature du colonialisme britannique et philonazi patenté, il s’inscrit dans la continuité de l’œuvre scélérate de ce grand-père auquel les islamistes tunisiens vouent un véritable culte. Non seulement sa visite est indésirable en tous points de vue mais également cet homme devrait être mis en quarantaine à cause du virus wahhabite dont il est porteur et susceptible de provoquer une véritable pandémie mortelle.
Il est insultant pour la mémoire des victimes de la barbarie nazie ainsi que la barbarie wahhabite que cet homme soit le chouchou des médias en Occident.

Comment un homme qui n’a jamais renié l’héritage idéologique de son grand-père maternel pouvait bénéficier d’autant d’audience dans les médias occidentaux qui lui déroulent aveuglement le tapis rouge ? De même que les autorités politiques occidentales le laissent répandre son poison haineux dans les cités-émirats.
Adoubé et sponsorisé par l’Émir du Qatar, qui lui a acheté sa chaire d’islamologie, comme si l’islam pouvait être une science fondamentale à moins qu’il ne s’agisse du fondamentalisme musulman fondamental, Tariq Ramadan est le premier agent de propagande de l’islam ou islamisme modéré.
Au même titre que le PSG, il est la vitrine publicitaire de ce caillou désertique qui corrompt tout et achète tout. C’est un véhicule publicitaire, un homme-sandwich, dont le rôle est de faire la promotion des valeurs idéologiques rétrogrades et ultra-conservatrices.
Il se doit, à toutes ses sorties publiques, de donner une image idyllique et enjolivée de l’islam modéré comme celle qu’il cherchera à vendre aux Tunisiens.

Séducteur et hâbleur né, bonimenteur, il a l’art d’embobiner son auditoire comme un arracheur de dent.
Les premiers bénéficiaires de cette visite qui sera hyper médiatisée seront les islamistes tunisiens.
Cette visite est criminelle et néfaste pour l’identité nationale. Elle ouvre la voie au futur Califat wahhabite.
Ne prenez pas cette visite comme une simple visite de courtoisie, elle est lourde de sens idéologique. Pire que celle de son compatriote, le boucher du Caire, Wajdi Ghénim. Il n’y a pas de parole innocente chez les islamistes.
Chaque parole porte en elle les germes du poison de la théocratie islamique. Liberticide, totalitaire, despotique, raciste, féminicide et nazie.

Salem Ben Ammar