Pousser Macron vers la sortie, c’est maintenant que cela se prépare

Pour tous ceux qui aiment la France, la réélection de Macron doit être combattue avec la plus ferme énergie et évitée quoi qu’il en coûte. Et il n’est pas trop tôt pour en parler.

Ce refus de l’homme qui fait tant de mal aux Français doit être assumé et être fait sans arrière-pensée, sans crainte ni aucun remord pour au moins trois raisons :

– La première est liée à l’origine de l’élection de 2017 dont on recherche en vain la cohérence et la légitimité au regard des grands principes de notre République.

Fils spirituel de Jacques ATTALI , petit-neveu d’Alain MINC et filleul de Jean-Pierre JOUYET, le petit Emmanuel, élevé au lait maternel de la banque Rothschild qui en fait un homme riche et éduqué suivant les principes élitistes et autocratiques de l’ENA, a été inventé par ces trois fines fleurs de l’aristocratie politico-financière qui font et défont l’opinion au gré de leurs privilèges de tous ordres. Ils font partie d’une espèce de caste oligarchique jusqu’à présent préservée de l’éveil d’un peuple anesthésié et soumis – voire consentant – à son propre malheur et du même coup adhérant à l’enrichissement sans borne de ses consignataires heureux.

Une fois introduit dans le système confiscatoire de liberté, d’autonomie et de justice, le petit Emmanuel a gravi les échelons qui mènent à l’institution suprême à une vitesse faramineuse. Dans ce parcours supersonique, il n’a fait l’économie, si j’ose dire, en sa qualité de ministre des Finances et de précisément l’Économie, d’aucun subterfuge ni d’aucune malveillance corruptrice pour obtenir les moyens matériels nécessités par son ambition et également celle de ses parrains.

Il a faits rois des affidés qui lui ont renvoyé l’échelle dès que cela se put. Le galopin épris de théâtre autant que de monnaie sonnante et trébuchante n’est pas inintelligent, il a compris dès le début que celui qui a la main sur la communication a aussi la main sur l’opinion. Dès lors, tous les caciques de la finance qui sont aussi ceux des médias n’ont lésiné sur rien pour porter au plus haut l’image du petit qui allait, en retour, porter haut la satisfaction de leurs envies léonines.

L’argent fait le pouvoir et le pouvoir fait l’argent, c’est là un cercle auquel échappe le peuple.

On peut citer pêle-mêle Xavier Niel patron de Free et du journal Le Monde associé à PEGASSE ; DRAHI patron de SFR, RMC, BFM, ALTICE, L’EXPRESS (tout ça sans le moindre premier centime de départ) et nouvel acquéreur de Sothesby’s et patron de LIBÉRATION.  On peut citer aussi LAGARDÈRE patron de PARIS MATCH, EUROPE 1 et du JDD, Bernard ARNAULT patron de tous les médias économiques (Challenges, Investir, LES ÉCHOS) ; PINAULT patron du Point ; BOUYGUES patron de TF1 et du FIGARO… Bref, ils sont dix milliardaires à contrôler l’ensemble des médias dont le petit Emmanuel, devenu entre-temps le Président Macron a su profiter de l’aide de leurs réseaux pour assouvir son ambition et qui, en retour, autorisent leur enrichissement sans limite. Bernard ARNAULT est devenu depuis mai 2017 la 3^e fortune du monde avec 100 milliards d’euros de patrimoine… Merci qui ?

–  La deuxième raison qui doit nous pousser à dire NON à MACRON est son insupportable détestation des Français et sa parfaite indifférence de la France. Je sais bien que les gens dans leur ensemble ont tendance à avoir la mémoire courte et ils sont souvent portés par une indulgence un peu aveugle à ne plus se souvenir des humiliations que ce Président a fait subir à quelques  citoyens en particulier et au peuple en général. Alors petit retour en arrière : “Je traverse la rue, je vous trouve du travail” ou bien “des Gaulois réfractaires au changement”, ou bien encore “On met un pognon de dingue dans les minimas sociaux” ou bien toujours “Je ne céderai rien ni aux fainéants, ni aux cyniques”, toujours “Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d’aller regarder s’ils ne peuvent pas avoir des postes …” et puis “Une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et ceux qui ne sont rien”. Et puis encore “La meilleure façon de se payer un costard, c’est de travailler”, les femmes salariées de Gad, “pour beaucoup illettrées”, « les Français, des FAINÉANTS ET DES CYNIQUES» et enfin  « QU’ILS VIENNENT ME CHERCHER ».

Qui aurait osé dire ces choses ? Quel homme d’État digne de ce nom aurait eu l’audace de prononcer ces paroles ?

Quel Président avons-nous qui dénature en permanence l’image du pays… Quand il invite à l’Élysée des rappeurs qui « niquent la France » et s’affichent dans les salons de la République  maquillés comme des poupées étranges et vulgaires en bas résilles ?

Quel Président avons-nous qui, avant même son investiture mais déjà ministre, s’en va à Alger, lieu symbolique d’une partie de l’histoire de France et accuse son pays de criminel à l’égard de l’humanité au seul prétexte de sa présence bienfaisante sur ce sol ? Que serait cette Algérie aujourd’hui structurée, équipée et construite alors qu’elle n’était que marécages putrides et insalubres à l’arrivée des Français en 1830, alors même qu’elle n’existait pas en tant que pays ?

Quel Président avons-nous aujourd’hui qui a mis au cœur même du domaine décisionnel de la problématique sécuritaire du pays, un homme, Ben Alla, dont toute la nature de ce qu’il est et représente aurait dû le tenir éloigné ?

– La troisième raison qui doit nous faire refuser un second mandat à MACRON est son indécrottable volonté de laisser la France noyée par une immigration contre-nature et mortifère. Il s’agit naturellement de la venue en masse de ces populations musulmanes qui ne se sont jamais assimilées et qui, au contraire, agissent comme une espèce d’alien étouffant qui finira par le maîtriser et en faire une terre d’islam.

Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de s’étendre trop sur le sujet tant ses gestes en la matière sont significatifs, sauf à rappeler ses maladresses et ses retournements relatifs aux séparatisme ou la laïcité.

Enfin, ne vous arrive-t-il pas d’avoir un peu honte de l’attitude soumise de ce Macron bien peu viril face à son alter ego germanique, la bien teutonne Angela ? Ne sait-il pas que depuis deux siècles, c’est-à-dire depuis la bataille d’Iéna en 1806 dont Napoléon sorti vainqueur, l’Allemagne est l’irréductible adversaire de la France, sinon son ennemie intime ? Ils ont pris leur revanche en 1870 et depuis n’ont de cesse de reléguer la France toujours derrière. Le Kaiser Bismarck a imposé son joug jusqu’à ce que Clemenceau lui fasse rendre gorge avec l’aide des alliés. Il y a eu ensuite “la drôle de guerre” encore perdue par l’Allemagne. Mais rien n’est définitivement réglé dans l’esprit des dirigeants d’outre-Rhin qui nous font payer aujourd’hui, par leur puissance économique, les différents d’hier. Il sont les maîtres de l’Europe par UE interposée, ils se taillent la part du lion et ne laissent que les miettes dont nous semblons nous contenter (voir les récents accords de libre échange signés avec la Chine).

Depuis 2017 l’emploi s’est dégradé, l‘économie dégringole, la démocratie se dilue et la place de la France dans le monde s’amenuise… Et tout cela n’a rien à voir avec la pseudo-crise sanitaire dont il se sert pour asservir encore un peu plus le peuple de France qui souffre et malheureusement courbe l’échine.

Il est bien temps que cela change. Il est temps que les patriotes prennent les choses en mains pour que la France redevienne la France.

Jean-Jacques FIFRE